EAY - bleeding out

Sujet: EAY - bleeding out Jeu 13 Juin - 16:59

esfir annushka yakovlev w/ emilie nereng

the character

the person

→ habite à londres.
→ âgée de vingt ans.
→ née le 09/10/1992 à londres.
→ est danseuse.
→ un t-shirt likes boys, likes girls ou bicurious ? likes boys.
→ est actuellement célibataire.

→ pseudo : marine.
→ âge : dix-huit ans.
→ comment avez-vous connu le forum ? bazzart.
→ code : da vinci.
→ crédits : tumblr
→ de quelle couleur sont les petits pois ? blabla.

it's my life, it's now or never

« Esfir... Esfir... » La voix est douce et j'ai bien du mal à sortir des limbes du sommeil, je ne sais pas quelle heure il est, mais c'est certainement pas l'heure pour moi d'ouvrir les yeux. Un grognement passe mes lèvres pour signifier ma désapprobation et je plonge encore un peu plus ma tête dans mon oreiller qui est vraiment, mais vraiment trop confortable pour le moment. Mais voilà, ça ne fonctionne pas vraiment et une main commence doucement à me secouer et c'est à contrecoeur que j'ouvre un oeil pour découvrir une ombre au-dessus de moi. Un hurlement pourrait passer mes lèvres, mais voilà je reconnais la petite silhouette et je pousse un soupir avant de me déplacer un peu pour lui faire un peu de place, c'est presque une habitude entre nous. Toutefois, je ne sens pas de mouvement à côté de moi et je me tourne dans sa direction pour la voir là, toujours debout en train d'attendre je ne sais trop quoi. « Liouba, j'aimerais bien dormir alors allonge-toi tout de suite ou retourne dans ta chambre. » Ce n'est pas très gentil, mais je ne suis pas réellement du genre agréable quand je suis réveillé au milieu de la nuit pour je ne sais trop quoi, même si c'est par la personne que j'aime le plus au monde. N'ayant aucune réaction de sa part, je referme les yeux et suis presque prête à me laisser entraîner dans le sommeil quand sa petite voix retentit à nouveau, faiblement. « Je ne me sens vraiment pas bien... » Sans même prendre le temps d'interpréter, je suis assisse dans mon lit, ma main cherchant l'interrupteur de ma lampe de chevet et quand la lumière éclaire son visage, je dois retenir un cri de passer mes lèvres. Elle est pâle et un peu de sang recouvre son menton. Je me lève d'un bond et m'approche d'elle pour toucher son front, il est tout bonnement brûlant. Mon dieu, qu'est-ce que je dois faire ? « Tu as été voir maman ? » Sa tête se secoue négativement et je me souviens qu'elle n'est pas là, en rendez-vous je ne sais où en compagnie de son nouvel homme du moment, un type nettement plus jeune. Qui pourrait être son fils encore une fois. Les larmes menacent de couler sur mes joues, mais il faut que je reste stoïque, il ne faut pas que je lui montre que j'ai envie de paniquer. Mais elle est moins bête que moi, elle a toujours été la plus futé de nous deux. « J'ai vomi du sang, ce n'est pas normal, ça me rappelle la dernière fois. » Oui, moi non plus je ne pourrais jamais oublier, elle n'avait même pas encore cinq ans, mais tout avait basculé et cela avait aussi signé la fin de notre vie de famille. Notre père avait subi, tenter de rester fort pour nous tous pendant que notre mère avait tout bonnement prise la décision de vivre sa vie comme elle l'entendait, occultant que sa petite fille était malade. « Tu crois que c'est revenu ? » Oh que non, il ne faut pas que ce soit ça, il ne faut pas qu'elle souffre encore, Liouba ne le mérite pas une seule seconde et je ne supporterais pas de la voir ainsi. Pas encore une fois. « Il n'en est pas question, crois-moi, je vais appeler les urgences pour leur demander ce qu'il faut faire, allonge-toi pendant ce temps. » Je la couvre rapidement, cela même si elle est déjà brûlante et ferme la porte avant de courir dans le salon pour attraper le fixe et composer le numéro maudit à mes yeux. Les tonalités me semblent tout bonnement interminable et je pousse presque un soupir de soulagement en entendant une voix à l'autre bout du fil. « Les urgences, bonsoir, que puis-je faire pour vous ? » Une boule bloque ma gorge et je dois déglutir avant de répondre. « C'est ma petite soeur, elle a douze ans, elle a énormément de fièvre et elle a vomi du sang. Qu'est-ce qu'il faut que je fasse ? » J'entends un brouhaha indistinct venir du téléphone avant qu'on ne me réponde. « Elle est consciente ? » Je secoue la tête. « Oui, c'est elle qui est venue me réveiller pour me dire qu'elle n'était pas bien. » Je me demande parfois s'ils prennent toujours autant de temps pour donner une réponse. « Bien, a-t-elle des antécédents ou a été malade ces derniers jours ? » Ma main tremble, la peur me tenaille de plus en plus. « Quand elle avait cinq ans on lui a diagnostiqué une leucémie, mais elle est guérie maintenant et cela depuis près de cinq ans. Ce ne peut pas être ça, j'en suis certaine. » Des doigts sur un clavier et le timbre revient dans mon oreille. « J'envoie une ambulance à votre adresse, vos parents sont auprès d'elle ? » Là, j'ai presque envie de rire. « Non, maman n'est pas là et papa n'habite plus avec nous. » « Okay, alors l'unité de soins ne va pas tarder à arriver, essayer de prévenir votre mère pour qu'elle vous rejoigne le plus rapidement possible à l'hôpital, si votre soeur à besoin de soins il va falloir son autorisation, est-ce clair ? » Pourquoi, pourquoi, la question résonne dans ma tête. « Pas de problème, je vous remercie. » Je raccroche sans même attendre de réponse de sa part et rejoins ma soeur en quelques secondes, elle est toujours allongée et semble encore plus pâle que tout à l'heure, pourtant elle pose son regard sur moi dès que j'entre dans la chambre. « Une ambulance va arriver, mais ne t'inquiète pas, je suis presque certaine que ce n'est rien. » Un petit sourire sur les lèvres, elle ferme les yeux et j'ai presque envie de pleurer parce qu'au fond de moi, je le sais, je le sens, ce n'est pas rien.

« Ce n'est pas que je ne veux pas maman, c'est ce que je ne peux pas, je bosse moi ce soir. » Un soupir pour toute réponse, voilà comment une femme de plus de quarante réagissais quand sa fille de dix-huit ans lui disait non. Parfois j'en venais à me demander si je n'étais pas l'adulte dans cette relation et qu'elle n'attendait pas de moi que je fasse en sorte de lui rendre la vie plus facile. Normalement c'était l'inverse, mais je crois que cela lui avait échapper et depuis bien des années maintenant. « De plus ce soir tu dois faire ta sortie avec Liouba, tu ne peux pas me demander ça, tu sais très bien qu'elle ne s'en remettra pas si tu lui fais encore ce genre de coup. » Ma petite soeur, j'essayais à chaque fois de jouer cette carte, mais le manque d'instinct maternel chez notre génitrice frôlait le moins cinquante, donc je n'étais pas sûr que cela marche. Comme très souvent, elle allait encore très certainement préférée sa sortie en compagnie de ses copines et de son nouveau copain qui avait tout juste trois ans de plus que moi. « Ah oui, mais bon ce ne sera certainement pas pour ce soir, elle comprendra très bien. » Oh que non, je savais très bien qu'elle n'y arriverais pas, mais cela ne servait à rien d'essayer de parlementer avec une femme qui se prenait pour une adolescente depuis plus de dix ans maintenant. « Quoi qu'il en soit, je ne peux pas prendre ta place pour aller voir Mme Garson, je ne veux pas perdre mon boulot. » C'était en partie grâce à mon salaire que nous arrivions à vivre décemment à la maison, maman payait les factures et utilisais le reste de son argent pour aller faire des folies je ne sais trop où. Alors, moi avec ce que je gagne, je fais en sorte qu'on ne meurt pas de faim et que ma soeur soit décemment habillée pour aller à l'école, chose qui est vraiment importante pour moi. Je ne veux pas qu'elle se sente encore plus différente des autres, sa maladie lui a déjà collé un bon nombre d'étiquette dont elle aura du mal à se débarrasser. « Bien laisse tomber, je savais que je ne pouvais pas compter sur toi, c'est le résultat pour tout ce que j'ai fais pour vous. » J'ai presque envie de hurler, mais je raccroche simplement avant que les mots ne dépassent ma pensée, ce qui arrivera très bien un jour où l'autre. Il va falloir que je trouve très vite une solution, pourquoi ne pas prendre un appartement avec Liouba pour que nous puissions enfin vivre un tant soit peu pour nous et non pour notre mère. Ce serait une bonne solution, mais je suis encore jeune et j'ai peur de ne pas être à la hauteur. « Poupée, c'est bientôt ton tour. » Je lance un sourire à Malcolm avant qu'il ne ressorte de ma loge et je me regarde rapidement dans le miroir. Comment est-ce que je suis arrivée ici, moi la petite fille pleine de rêve ? Les désillusions, c'est ce qu'il y a de plus vrai dans ce monde dans lequel nous vivons, parce que si tout était rose, je ne me retrouverais certainement pas dans un club de strip-tease. Ce n'était pas une ambition pour moi de me retrouver sur scène pour me déshabiller, mais cela paye plutôt bien et l'argent est ma priorité pour le moment. Mais je ne désespère pas, j'arriverais à me faire un nom dans le monde de la danse, mais pas dans celui-là, il ne faut pas que j'oublie ce rêve qui vie en moi depuis presque toujours. Oui, un jour mon nom sera en haut de l'affiche dans un immense spectacle et des gens seront éblouis parce que je suis capable de faire. Toutefois, pour le moment, c'est tout autre. J'ai un show à assurer et je vais le faire avec toute la volonté, toute la force que j'ai en moi afin d'oublier les nombreux regards qui vont me déshabiller tout en suivant mes gestes. Il faut que je sois forte, parce que je ne le fais pas que pour moi, je le fais pour le bonheur de la plus merveilleuse des personnes sur terre. Ma soeur, ma Liouba.

truth or (almost) dare

Parce que c'est fun, que ça vous donne un aperçu du genre de situations dans lesquelles votre personnage pourrait se retrouver un de ces jours sur TTR et que ça nous donne, nous lecteurs, un aperçu des quelques réactions que votre perso' pourrait avoir, voici un mini Truth or (almost) Dare. Enjoy !

→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? Je lui répondrais tout d'abord que mon rêve n'est pas d'être actrice, mais d'être une danseuse reconnue et que j'accepterais volontiers de devenir la star de son nouveau film si je peux lui montrer mes talents. C'est tout ce que je me demanderais, parce que sincèrement, je ne me vois pas réellement actrice, je ne dois certainement pas avoir le talent nécessaire. Mais qui sait, après tout cela peut-être ma chance, vous savez celle qui ferait que ma vie ainsi que celle de ma sœur changerait du tout au tout.

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Étant du genre très protectrice et sensible, je ne vois qu'une seule possibilité, une seule réaction que je pourrais avoir. Malgré le regard des gens, les chuchotis et bien je m'approcherais d'elle pour lui parler, savoir ce qui lui arrive pour qu'elle soit dans cet état. Je déteste voir les gens tristes, c'est quelque chose de très dur à supporter pour moi et ça me vient des nombreuses déceptions que j'ai pu lire dans le regard de ma petite sœur. J'essayerais de trouver les mots juste pour la calmer et pourquoi pas aller prendre un remontant en sa compagnie pour qu'elle puisse oublier pendant un moment ses malheurs.

→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Je le frappe littéralement, non mais il me prend pour qui ? Ce serait de l'inceste, c'est tout bonnement impossible à mes yeux, mais après je ne juge pas l'amour, cela peut arriver à n'importe qui. Mais pour moi, c'est tout simplement inconcevable et puis de toute manière j'ai de la chance car du côté de ma mère je n'aie qu'une cousine que je ne vois jamais et du côté de mon père, toute ma famille est en Russie. Il est clair toutefois que je lui ferais bien comprendre qu'il n'y a aucune chance avant de lui mettre une bonne baffe pour lui remettre les idées en place, il n'y a que ça de vrai.

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ?
Je dirais bien une sortie au théâtre de Londres, rien que pour faire plaisir à ma petite sœur qui rêve de devenir actrice depuis son plus jeune âge. C'est une véritable passion pour elle que ce genre de choses, ce n'est pas réellement le mien, mais pour elle je serais tout simplement capable de tout et n'importe quoi. Sinon, si je ne travaille pas et bien je ne suis pas contre une soirée tranquille étaler sur mon canapé à regarder de vieux films tout en mangeant une pizza. Rien de bien passionnant, mais voilà, ma vie est loin de l'être.

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Je lui dirais que pour subvenir aux besoins de ma sœur ainsi qu'aux miens, je suis obligé quelques soirs par semaine d'enlever mes vêtements sur une scène sous le regard scrutateur d'hommes qui sont loin d'être des anges. Que cela n'est pas facile pour moi, mais que je le fais depuis deux ans et que maintenant, c'est presque devenu normal pour moi. J'occulte avec une facilité presque déconcertante les bruits, les surnoms ainsi que les mains qui me touchent quand un billet est glissé sous l'élastique de mon sous-vêtement. Cela me ferait un bien fou, car personne n'est au courant de ma condition si ce n'est mon meilleur ami, celui en qui j'ai confiance depuis mon plus jeune âge.

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Tout d'abord, je me traite d'idiote pour lui avoir fait confiance et je choisis la seconde option, celle de voler la bague. Je préfère perdre un ami que de perdre ma petite sœur, ce serait la chose la plus horrible qui pourrait m'arriver. Alors, oui ce ne serait pas très glorieux, mais c'est la seule solution qui me permettrait de garder ce qui m'est le plus cher auprès de moi.

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! J'abandonne la partie de suite, je ne suis pas du genre à faire en sorte de briser un couple tout simplement, car je pense avoir trouvé l'homme de ma vie. L'amour est quelque chose de sacré, quelque chose qui a été absent bien longtemps de mon existence, alors s'il est heureux ainsi je me retirerais sans rien dire. La résignation, ce n'est pas super, mais bon au moins je garderais ma bonne conscience pour moi et c'est le plus important à mes yeux.

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? J'espère que je me serais faite un nom dans le monde de la danse et si ce n'est pas le cas, avoir quitté mon boulot de strip-teaseuse pour avoir mon propre studio pour ainsi enseigner à des jeunes. Bien entendu, j'aimerais bien pourquoi pas avoir un homme dans ma vie, si c'est ma destinée et un enfant, un petit être à qui je pourrais donner tout l'amour dont j'ai manqué pendant mon enfance. C'est tout ce que je demande, cela et que ma sœur est aussi réussie, qu'elle soit heureuse et que le malheur soit enfin derrière elle.

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Truth, parce que la vérité est importante et cela même si elle fait souffrir.

they don't really care about us

Enfin, pour conclure cette fiche de présentation, voilà une petite mise en situation concernant les facultés d'Oxford & Cambridge. Quelque soit l'endroit d'où provienne votre personnage, il vous faut répondre aux questions. Nous ne vous demandons pas de longs développements mais vos réponses nous permettrons d'évaluer votre compréhension du contexte et des détails ayant trait au forum.

→ En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » N'ayant pas été à l'université par manque de possibilité, je lui dirais de choisir par rapport à ses envies, mais qu'elle n'est pas peur, car chacune lui apportera les bases pour être une excellente reine. Toutefois, je lui dirais qu'elle a le temps de faire ce choix, qu'elle est encore qu'une jolie petite princesse et que ce n'est que lorsqu'elle sera au lycée qu'il lui faudra choisir, c'est à ce moment-là que la réponse sera la bonne. Il ne faut jamais se précipiter ce n'est jamais bon et ça n'importe jamais rien de bon.

→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » Alors, je lui dirais que je ne sais pas vraiment en quoi consiste ce club, que n'ayant pas eu l'ambition de devenir Reine de notre magnifique pays, je n'ai encore jamais mit les pieds à l'université. Toutefois, je lui expliquerais que ce que j'en ai entendu n'est pas obligatoirement valorisant, que ce n'est pas toujours de bonnes personnes, qu'ils font seulement en sorte de faire du mal aux autres. Là, je lui dirais que ce n'est pas la voie que doit prendre la future monarque de notre pays, qu'elle doit toujours faire attention à ce qu'elle fait pour ne pas avoir de regret.

→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Je lui dirais que oui, c'est un peu le même style de personne et que si elle va dans cette université, elle devra aussi faire attention à ce qui l'entoure, à ce qu'elle fera et ce genre de choses.

→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Encore une bonne question. Je lui dirais qu'il y a des possibilités très certainement pour un transfert vers une autre université, mais que ce ne doit pas être une partie de plaisir pour faire tout cela. De plus, il faudrait lui avouer que ce n'est pas obligatoirement l'amour fou entre Cambridge et Oxford et que si elle vient d'une université pour finir dans l'autre, il y a toujours un risque pour que des idiots le lui fasse rappeler. Je préfère être clair pour ne pas qu'elle pense que tout sera facile, la vie est loin d'être une partie de plaisir.

→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »