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MessageSujet: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeJeu 27 Juin - 22:11



leopold octavius lawrence w/ aaron johnson
the characterthe person
→ habite à cambridge
→ âgé(e) de 22 ans.
→ né(e) le 8 juillet 1991 à londres
→ est acteur, et accessoirement chieur professionnel.
→ un t-shirt likes girls
→ est actuellement celi-bâtard.
→ pseudo : morgane
→ âge : twenty-two
→ comment avez-vous connu le forum ? il m'est venu dans un rêve
→ code : James Potter ne s'abaisse pas à ce genre de choses
→ crédits : arrogantbullyingtoerag
→ de quelle couleur sont les petits pois ? bleus.


Dernière édition par Leopold O. Lawrence le Jeu 27 Juin - 22:29, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeJeu 27 Juin - 22:14


it's my life, it's now or never

la gourmette
Ce qu'il déteste à propos des castings, c'est l'attente. Ces petites chaises blanches dans un couloir aux murs blancs avec des portes en bois blanc, trop propre, trop clair. Des gars de son âges, assis à ses côtés, un oeil sur leur script dont ils apprennent les lignes à la va-vite, un autre sur leur téléphone, au cas. Certains le dévisageant, le reconnaissent parfois. C'est long. Trop long. Il ne supporte pas ça et, très vite, se met à taper du pied nerveusement sur le sol, toute la jambe agitée de soubresauts qui en dérangent plus d'un. Tant pis si ça les déconcentre, moins de concurrence comme ça. Il en viendrait même presque à s'en ronger les ongles, comme lorsqu'il était gamin, avant un examen, mais a mis assez longtemps à perdre l'habitude pour ne pas replonger. Et, shit, il aurait bien besoin d'une clope. Le genre de truc qui ferait grincer des dents son psychiatre, pour sur. Alors il se concentre sur deux manies, c'est bien plus qu'assez pour l'instant.
Taper du pied et jouer avec la gourmette à son poignet. Un gros truc bien lourd, en argent, qui a toujours été trois fois trop grand pour lui. Même maintenant, taille adulte, le bracelet tombe encore bien en dessous du poignet, presque sur la paume, et il manque de le perdre au moins trois fois par semaine. On lui a dis mille fois de l'ajuster à sa taille. Hors de question.
Le bruit de la gourmette qu'il fait tourner autour de son poignet, un léger tintement métallique, ajouté à celui de son pied au sol, lui attire un soupir de la part de son voisin, auquel Leo répond d'un rapide sourire suffisant. Puis sa concentration se fixe immédiatement sur la gourmette, les lignes du script défilant dans sa tête comme l'eau courante d'un ruisseau, le 'Nicholas' gravé dans l'argent brillant à chaque mouvement de ses doigts. Un peu rouillé au niveau du N, le s commençant à s'effacer avec le temps. Souvenir d'un père effacé de sa mémoire d'enfant depuis bien longtemps, dernier vestige d'une époque révolue.
"Tiens, garde-la en mon absence, tu me la donneras à mon retour." Un enfant tout heureux de se voir confier une mission, protégeant l'objet précieux d'une main de maitre. Un enfant à qui l'on dut expliquer, deux semaines plus tard que, non, papa ne rentrerait pas. Parti au ciel, pour toujours. Un enfant ne comprenant pas, mettant des années avant que les pièces du puzzle ne s'assemble dans son esprit. Un père journaliste. Un pays africain en guerre. Une bombe, trop près, trop puissante, trop au mauvais moment. Et puis plus rien.
Il manque de soupirer à son tour, se morde la lèvre inférieure à la place. Son pouce s'approche dangereusement de sa bouche, ongle déjà coincé entre deux dents, lorsque la porte au bout du couloir s'ouvre à la volée.
"Leo Lawrence."
Sauvé par le gong. Son psychiatre serait fier de lui.

la bouée
Bonnie poste la vidéo sur son mur Facebook, sans introduction, sans explication, sans rien qu'un petit "ahah <3" en commentaire. La vidéo est une interview du cast des Misérables en pleine promotion du film, Eddie Redmayne expliquant comment mentir sur ses compétences de cavalier lui a valu de détruire la moitié d'un plateau de tournage. Leo lève les yeux au ciel devant un tel élan d'immaturité, mais un sourire en coin s'affiche tout de même sur ses lèvres.
"Une dernière chose, Lawrence. Tu sais nager?"
Il n'avait même pas daigné hausser un sourire, répondant un "bien sur!" fier et déterminé. Bien sur qu'un acteur anglais a le combo équitation-combat à l'épée-natation sur son CV, c'est évident. Grave erreur, surtout en se retrouvant face à une piscine lors du premier jour des répétitions, fixant l'eau d'un air terrifié. Par chance, l'histoire ne fit pas trop de bruit et il fut rapidement remplacé par un acteur, plus musclé, plus compétent. Tant pis. Il n'a jamais voulu rivaliser avec Kevin Costner, de toute façon.
Il sait bien que Bonnie ne fait que le taquiner sur le sujet avec cette vidéo. Pourtant, il aura fallu des années de thérapie pour venir à bout de sa peur de l'eau, revenu au galop et le tétanisant lors de la traversée de la Manche en ferries pour un voyage scolaire en France. Des années de thérapie pour vaincre cette peur, pour finalement réussir à aller dans une piscine (uniquement s'il a pied) sans crise de panique. Des années de thérapie pour venir à bout de ce cauchemar qui dure depuis l'enfance, depuis que son crétin de cousin l'avait balancé à la mer en disant qu'il faut apprendre à nager par la manière forte, comme les petits chiens. Boire la tasse, poumons emplis d'eau salée, manquer de se noyer alors qu'on appelle les pompiers, voir des points noirs en revenant à lui après quelques minutes entre la vie et la mort, et puis rester traumatiser jusqu'à l'âge adulte. Pas de concours de t-shirts mouillés, pas de fête super branchées autour d'une piscine hollywoodienne avec Emma Stone lors de ses passages à LA. Juste de (trop nombreuses) heures de thérapie.
Et Bonnie qui n'en sait rien. Alors il ravale ses idées noires, affiche un sourire forcé devant son écran, aime la publication et répond "tu te crois drôle alors qu'en fait pas du tout" avec ce ton prétentieux qu'elle sait déchiffrer comme de l'humour.
Il n'a jamais aimé Whitney Houston de toute façon.

le soutien-gorge
Le cadre est fièrement accroché au mur du bureau, entre deux diplômes. Du simple bois et du verre, rien de bien extravagant, mais cela a toujours été là aussi loin que Leo s'en souvienne, tel un trophée de chasse. L'article qu'il contient, soigneusement découpé dans un journal quelques vingt-cinq ans plus tôt, est légèrement jauni par le temps mais pas impossible à lire. Il vante les mérites du mouvement féministe britannique dans une protestation de plus pour leurs droits. Mais c'est la photographie accompagnant l'article qui a toujours fasciné Leo.
Sa mère, au premier plan, avec une marée humaine d'amazones derrière elle. Sa mère, juchée sur les épaules de son père, hurlante, furieuse, le torse nu, brandissant son soutien-gorge telle la plus dangereuse des armes. La photo le fait sourire parfois, tellement elle est clichée - ne manquerait plus que le bout de tissu soit en feu. Mais cette photographie, cet instant volé d'une femme au mental d'acier, lui inculque tellement de respect qu'il s'est toujours tu de faire une quelconque remarque ironique.
Et là est bien l'ironie, en fait.
Il a tellement de respect pour sa mère, les combats qu'elle mène, les travaux qu'elle fait. Il a même été à quelques unes de ses conférences, écoutant attentivement. Il pourrait réciter par coeur toutes les théories féministes, tous les arguments utilisés par la communauté LGBT*, massacrerait n'importe qui dans un débat. Il a même lu Feminine Mystique alors qu'il n'avait que seize ans. Sur papier, il est le meilleur allié que femmes et queers puissent avoir, avec tout son pouvoir d'homme blanc-hétéro-cis-de classe moyenne.
Et pourtant...
Pourtant c'est un connard sans coeur auprès de ces dames. I en est bien conscient. L'ironie de la chose l'amuse fortement. Oh, il connait ses limites, évidemment. Avec autant d'années sous le même toit que la grande Elizabeth Lawrence, il ne peut en être autrement. Tout cela est gravé dans sa mémoire, dans ses gènes, et cela ressort toujours au bout d'un moment. De la mauvaise manière, voilà tout. Comme de ne pas être galant avec ces dames, parce que la galanterie montre la dominance masculine, et ne veulent-elle pas été traitée de manière égale? (Il finit toujours par payer le resto, lorsqu'elles arrivent à tenir jusqu'au dessert.) Ou de dire texto que, oui, elle a pris un peu de poids, c'est vrai. (Et se débarrasser bien vite de tous les magazines féminins à la con qu'elle achète et qui lui dictent à quoi elle devrait ressembler.) Ne pas leur tenir la porte ouverte, ne pas leur offrir de fleurs, s'engueuler avec elle sur des sujets épineux même lorsqu'il sait qu'il a tord. (Savoir qu'un "non" est définitif, ne pas la toucher si elle n'en donne pas l'autorisation, ne jamais ô jamais lui dire que son opinion est fausse lorsqu'elle parle féminisme et patriarchie. Lui dire qu'elle est belle telle qu'elle est, la laisser le battre à plate couture à Counter Strike, ne pas lui en vouloir lorsqu'elle finira par rompre avec lui.)
Sa mère dit toujours qu'il est un agneau dans un costume de grand méchant loup. Dommage que le masque lui colle ainsi à la peau.

la statuette
De la soirée, il ne se souvient pas de grand chose. Le tapis rouge, oui, une main accrochée à la taille d'une de ses co-actrices, presque nerveusement, mitraillés de partout et affichant des sourires se voulant radieux et naturels. Il se souvient des interviews, répétant inlassablement à quel point il était honoré que leur série ait autant de succès outre-Manche et à quel point travailler avec le reste du casting fut une expérience merveilleuse - même sourire surfait. Puis plus rien, si ce n'est les trop nombreuses trop gratuites coupes de champagne et la vodka coulant à flot. Il se souvient à peine de la bimbo Disney criant le nom de la série dans la catégorie "Drama Serie" puis le sien, un peu plus tard, "Drama Actor". Il était monté sur scène alors, deux fois, avec toute l'équipe puis seul, riant comme un débile avec ses amis acteurs puis faisant un speech ridicule pour remercier sa mère, son agent, tous les gens importants. L'alcool faisait déjà trop son effet, alors qu'il n'était pas plus de dix heures. Le décalage horaire et la chaleur de Los Angeles n'aidaient pas vraiment.
Et puis il s'est réveillé le lendemain, avec un mal de crâne digne des plus grandes comédies américaines, une fille à moitié nue dans son lit, la chambre d'hôtel saccagée. Et puis ces deux foutues planches de surf servant d'awards, posées contre un mur, le narguant presque dans leur inutilité.
Il lui fallut une heure de plus pour vider ses tripes dans les toilettes, foutre la demoiselle dehors et manger quelques chose, histoire de reprendre un peu de couleurs. Puis il appelle son agent, se fichant bien de l'heure qu'il peut être à Londres à ce moment précis. Une heure au téléphone à expliquer que c'est fini, qu'il en a marre de cette série à la con qui n'attire que les gamines de quatorze ans, qu'il veut finalement être pris au sérieux en tant qu'acteur, bordel. Une heure, tête encore embrumée par l'alcool, à essayer de marchander avec son agent, jusqu'à finalement balancer.
"On filme la dernière saison le mois prochain, okay. Après ça, tu m'appelles seulement pour me proposer un rôle digne d'une statuette que je peux poser sur une étagère."
Et, sans grande surprise, cela pris plusieurs semaines, plusieurs mois, avant que l'on ne trouve un tel rôle. On lui proposait, il répondait d'un simple non. Non, plus de rôles d'adolescent en rut. Non, plus de séries pour midinettes. Hors de question de lire une histoire pour CBeebies, merci beaucoup. Il se retrouva donc dans une publicité pour parfum, parce que sa belle gueule vend du rêve qu'il le veule ou non, et dans quelques rôles de séries d'époque comme la BBC en raffole tant. Rien de bien excitant pour lui, comme il le répétait encore et encore à son agent. Jusqu'au jour où...
"James Potter."
Annoncé de but en blanc avant même qu'il ne puisse dire "allo" après avoir décroché, et il s'arrête net dans ce qu'il était en train de faire - s'assoir dans le canapé aux côtés de sa mère, arrêté en plein geste dans une position des moins naturelles.
"Sérieusement?"
Sa voix vacille, légèrement, avec un couinement tout sauf masculin à la confirmation de son agent, agrippant le bras de sa mère pour ne pas se lancer dans une mini crise d'hystérie. Sérieux et professionnalisme avant tout.
"Ils ont déjà un directeur?"
"Ta tante."
Il s'accorde trente secondes, que son agent prendra pour de la réflexion, afin de se tourner vers sa mère, yeux et bouche grands ouverts, secouant son bras frénétiquement. A cela près de sauter sur place comme un gamin de trois ans le matin de Noël. Et encore. Noël revient tous les ans, pas ça. Puis, dans un petit raclement de gorge, il se redresse, dos droit, sourire en coin et attitude pseudo-désinvolte.
"Envoie-moi le script, j'y jetterais un coup d'oeil" avant de ne raccrocher. Il sait qu'il y a encore le casting, puis les rappels, réciter des lignes devant trois tonnes de personnes. Mais ce rôle est fait pour lui, il le sait, il le sent. Le rôle d'une vie, celui qui changera tout pour sa carrière. Alors il se tourne vers sa mère, sourire suffisant aux lèvres, se passant une main dans les cheveux. "James Potter." Le sourire s'agrandit sur ses lèvres en prononçant le nom. "Je vais jouer James Potter."

le livre
"Je ne sortirais jamais avec toi, même si je n'avais plus le choix qu'entre toi et le calmar géant!"
Sa voix, pleine d'un sourire à peine dissimulé, se transforme en rire étouffé alors qu'il termine la phrase, relevant la tête pour regarder sa mère. Elle lève les yeux au ciel à l'amusement de son fils mais un sourire se dessine sur ses lèvres également, et elle tend le bras pour lui ébouriffer les cheveux. Il grogne et fait semblant de la repousser, pour la beauté du geste, mais retourne directement à sa lecture, yeux emplis d'amusement.
"Elle a du répondant, cette petite," Ms Lawrence commente.
"Rien que je n'ai déjà entendu," répond Leo du tac-au-tac, s'attirant une vraie mine exaspérée cette fois.
"Un jour, l'une d'elle va te casser le nez, et tu ne pourras pas dire que je ne t'avais pas prévenu."
Seul un petit rire s'échappe des lèvres du jeune homme, trop plongé dans sa lecture pour écouter sa mère. Ce n'est rien qu'il n'a pas déjà entendu avant, de toutes façons. Il sourit à une insulte de plus de la part d'Evans avant de n'arriver à la fin du chapitre, et pose le livre devant lui avec un petit soupir de contentement.
Son regard se fixe sur le phénix, brillant et majestueux, de la couverture. Le livre est vieux, acheté à minuit par un petit garçon tellement excité que les lunettes en plastique lui en tombaient du nez à chaque trépignement d'impatience, baguette magique faite maison en main prête à éborgner quiconque s'approchait trop près. Comme pour le livre précédent, et les deux qui suivront, cela finira en nuit blanche, avec une lampe de poche, bien caché sous les draps. Aujourd'hui, le livre a bien vécu, lu et relu, trimbalé partout, pages cornées, abimées, tachées. Et, surtout, il aborde une multitude de post-it, collés sur une dizaine de pages dans un chapitre bien précis - le vingt-huitième - et les lignes soulignées, stabilosées, annotées. Un travail qu'il n'accomplissait même pas avec ses livres universitaires, c'est dire. Quelques autres post-its se promènent dans les six autres bouquins, à chaque mention du garçon se transformant en cerf. Un travail de titan, mais pas vraiment. Une bonne excuse pour une relecture, surtout.
"Tu sais qui incarnera ta chère et tendre?" lui demande sa mère.
Elle pose une tasse de thé fumante devant lui, dont il la remercie d'un sourire avant de ne se brûler les lèvres. "Aucune idée, ils sont encore en auditions. Certains parlaient de Gillan, tu sais, celle de Who. Mais elle fait sa carrière à Hollywood maintenant donc..." Il hausse les épaules. "Et la rouquine de Castle ne sait pas imiter l'accent anglais, dommage pour elle. Et pour moi."
Son sourire en coin disparait lorsqu'il se prend un coup sur la tête avec le journal du matin, remplacé par un faux cri de douleur.

truth or (almost) dare
Parce que c'est fun, que ça vous donne un aperçu du genre de situations dans lesquelles votre personnage pourrait se retrouver un de ces jours sur TTR et que ça nous donne, nous lecteurs, un aperçu des quelques réactions que votre perso' pourrait avoir, voici un mini Truth or (almost) Dare. Enjoy !

→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? "Ahah trop tard."

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? La surveiller du coin de l'oeil, juste au cas où quelqu'un aurait l'idée de profiter d'un tel moment de faiblesse. Mais pas au point de venir l'aider moi-même, non merci.

→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Scandalisé et... oui, scandalisé, c'est à peu près tout. Même si on fait tous des conneries sous l'emprise de l'alcool, faut pas déconner non plus.

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Soirée geek, rien de mieux que rester tranquille chez soi avec une bonne pizza. Les soirées dans les night clubs, très peu pour moi.

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Quoi, vous voulez dire le fait que j'ai usé de mes charmes (non, pas ceux-là) auprès de ma tante pour être certain d'obtenir le rôle que je voulais? Non pas que cela me fasse un poids sur la conscience mais...

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Il peut bien aller révéler le secret si cela lui souhaite, avec l'armée d'agents et de publicitaires engagés sur ce film... Pas sur qu'il réussira à atteindre un seul journaliste avec l'armada que l'on a. Et puis, ce n'est pas comme si cette rumeur n'avait pas déjà circulé et été démentie, de toutes façons...

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Règle d'or: jamais les filles déjà prises. Question de principes.

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Un BAFTA, un Golden Globe, un Oscar. Au minimum.

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Dare.

they don't really care about us
Enfin, pour conclure cette fiche de présentation, voilà une petite mise en situation concernant les facultés d'Oxford & Cambridge. Quelque soit l'endroit d'où provienne votre personnage, il vous faut répondre aux questions. Nous ne vous demandons pas de longs développements mais vos réponses nous permettrons d'évaluer votre compréhension du contexte et des détails ayant trait au forum.

→ En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut  mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? »   Le mieux c'est Cambridge, comme ça tu peux prendre des cours avec ma maman et apprendre à être une vraie princesse qui ne se laisse pas marcher sur les pieds par les garçons.

→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » Un groupe d'étudiants qui se croit tellement au dessus des règles qu'ils pensent avoir tous les pouvoirs. Des fils à papa qui ne savent pas s'amuser et dictent leur façon de penser à toute l'université. Tu ne voudrais pas être amie avec ces gens là.

→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Non, au contraire. Là où le JCC fait les réputations, les TroubleMakers les détruisent. Eux, au contraire, s'amusent un peu trop.

→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Pas vraiment non. Surtout au prix que coutent les études.

→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »


Dernière édition par Leopold O. Lawrence le Ven 28 Juin - 15:37, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeJeu 27 Juin - 22:26

omg omg omg je suis trop contente, genre vraiment LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 907793

Faudra absolument qu'on rp, obviously LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 76110

et ce gif est trop chouuuu LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 424623794
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeJeu 27 Juin - 22:42

où tu veux quand tu veux pour le rp LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 4153354820
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeJeu 27 Juin - 23:22

LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 422474 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 422474 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 76110 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 76110 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 4153354820 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 424623794 j'aime bien m'exprimer en smileys LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 722431
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeVen 28 Juin - 0:00

yeah bestaaaah LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 424623794 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 4153354820 LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 907793 inlovee LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 99138
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeVen 28 Juin - 1:02

OWHHHH LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 907793 Bienvenue parmi nous !
Excellent choix de pévario ! (Et ce gif de faon dans ta signature. J'ai toute la série sur Tumblr, je fonds LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 861479)
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeVen 28 Juin - 15:38

merci WHAT A FACE ! 

et fiche express, finie en moins de 24 heures ! LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 887625 
je continuerais d'approfondir le perso pendant l'été mais le plus gros est déjà là (normalement) LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 310647
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeVen 28 Juin - 22:43

J'aime cette fiche LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 907793

Je te valide mon petit LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 76110

Et non, tu ne m'amadoueras pas avec ton gif d'animal mignon LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day 1232849476
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitimeVen 28 Juin - 23:39

mais mais mais...

LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Tumblr_mjyukvbOkr1s3oe2qo1_500
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MessageSujet: Re: LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day   LOL ✧ The O is for the Oscar I'll win one day Icon_minitime

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