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 so ... William still loves boobs

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MessageSujet: so ... William still loves boobs   so ... William still loves boobs Icon_minitimeSam 6 Juin - 20:04



WILLIAM & TAMSIN
❝ so ... William still loves boobs ❞

Du bruit dans le couloir de l’hôtel me fit me retourner dans mon lit dans un soupir, basculant sur le côté. Des rires. De mieux en mieux. Mais allez-y, amusez-vous, pendant que je suis là, seule, incapable de bouger de cette fichue chambre. Je n’aurais jamais dû venir. Enfin si, c’était mon métier après tout, et la promotion en faisait partie. Mais … Peut-être que j’aurais mieux fait de me louer un appartement, à l’écart d’eux tous. Je n’y arrivais plus. Simplement en posant mon regard sur l’un d’entre eux, mes muscles se contractaient, ma mâchoire se serraient et je me sentais juste … exclue. Si cela avait commencé après que William ait rompu avec moi, les derniers évènements n’avaient fait qu’aggraver ce profond sentiment de solitude. Je n’arrivais tout simplement plus à sortir, à aller dans des bars pour boire et faire la fête. Leo savait, il savait tout, et n’insistait plus, maintenant, pour que je vienne avec eux. Et j’étais même persuadée qu’il ne m’invitait plus que pour la forme. Je lâchais un autre soupir, plus soulagée, comme le silence se faisait enfin entendre. Voilà, j’étais devenue une petite vieille, à peine âgée de vingt-cinq ans. Pathétique. Oh, j’avais tenté, pourtant. Réellement. Ce soir, je m’étais même préparée, bien décidée à y aller. Je m’étais habillée d’une jolie robe, osant même mettre en valeur cette poitrine que j’aimais tant par le passé. Je m’étais maquillée, aussi et m’étais trouvée magnifique, comme d’habitude, en me regardant dans le miroir. Puis j’avais ouvert la porte de ma chambre … et je m’étais figée, incapable de faire un pas de plus. J’étais pathétique. J’attrapais mon téléphone, à deux doigts d’appeler Chris pour pleurer un bon coup, mais me ravisais. Il avait d’autres choses à faire et j’aurais encore l’impression de le déranger. Je séchais les quelques larmes qui coulaient sur mes joues, avant de pousser un grognement en entendant de nouveaux bruits provenant du couloir. Je me levais d’un bond, bien décidée à faire taire cette personne, peu importe le moyen que j’utiliserais. J’ouvrais la porte en grand, vivement, oubliant totalement que je n'étais vêtue que d'un petit déshabillé, avant de soupirer en voyant qui était la cause de mon nouveau tourment. Je ne savais même pas pourquoi j’en étais encore surprise. Il était la cause de ce tourment-ci, et de tellement d’autres encore. « William. Bonne soirée ? » le saluais-je en forçant un sourire, faisant quelques pas pour m’adosser contre le mur. « Super... dis moi juste une question comme ça, c'est parce que je suis passé devant ta chambre et que ton sixième sens t'a prévenue ou tu te balades vraiment en nuisette dans les couloirs de temps à autre ? » me répondit-il, me faisant lâcher un petit rire, avant de secouer la tête de droite à gauche. Pour autant, je déglutis lentement, réalisant que n’importe qui aurait pu me voir dans cette tenue, finalement. N’importe qui aurait pu être dans ce couloir, complètement bourré. Ce que je pouvais être inconsciente. Et ensuite, je me plaignais qu’un homme m’ait droguée et ait tenté d’abuser de moi. Je forçai cependant un sourire, avant de hausser une épaule, et de croiser les bras sous ma poitrine. « Oh, la vue te dérange, peut-être être ? Fut un temps où tu appréciais tant me voir dans cette tenue, pourtant … » répliquai-je en soutenant son regard, avant de faire un tour sur moi-même comme pour accentuer mes dires, puis de me radosser contre le mur comme si de rien n’était. « J’aurais pu ne pas t’imposer l’horreur de mes magnifiques attributs féminins, si seulement tu avais fait moins de bruit et n’avais pas cru que l’hôtel t’appartenait. » repris-je en penchant ma tête sur le côté, dans un sourire entendu. « Lies. A ce prix là les chambres sont bien isolées. Si on s'envoyait l'air personne ne t'entendrais crier mon nom alors s'il te plait sois un peu honnête. Tu m'attendais. » Je lâchais un nouveau rire, avant de rouler des yeux. S’il savait … Enfin, il savait, en fait. Ou du moins, il savait qu’il s’était passé quelque chose, même si je n’étais pas rentrée non plus dans les détails. Lorsque j’étais venue pour le remercier de m’avoir sauvée dans cette ruelle, d’être venue à mon secours, son froncement de sourcils et son air interloqué m’avait montré que je m’étais trompée sur toute la ligne, et que, non, William n’était pas celui qui était intervenu. Oh, pendant un moment, j’avais cru – ou espéré, plutôt – que tout n’avait finalement été un cauchemar. Avant de réaliser ce qu’en fait, William n’étant pas mon sauveur voulait dire qu’une personne lui ressemblant comme deux gouttes d’eau l’était. Pour autant, un peu amusée par ce qu’il venait de dire, il fallait bien l’avouer, je me rapprochai de lui. « Bien sûr que je t’attendais. Tu sais que je n’attends que ça : toi me prouvant que les murs sont parfaitement insonorisées. » murmurai-je à son oreille, avant de me reculer pour lui lancer un sourire. Je ne savais pas vraiment à quoi je jouais, mais étrangement, je n’avais pas peur. Pas peur que cela ne dérape, ou qu’il ne me fasse du mal. Parce qu’il était William, finalement, et que je savais qu’il ne forcerait jamais à faire quelque chose que je ne voudrais pas faire.

Je déglutis cependant en le voyant rentrer dans ma chambre d’hôtel, pas certaine de la marche que je devrais suivre à présent. J’avais ce manque en moi, il fallait bien l’avouer. Un manque de William, déjà, très certainement. Et j’avais comblé ce manque en couchant avec à peu près tous les hommes désirables que j’avais croisés sur mon chemin. J’avais toujours aimé le sexe, en même temps – William pourrait en témoigner, puisque lorsque nous étions ensemble, j’étais particulièrement demandeuse, il fallait bien l’avouer – et pourtant, j’étais incapable de le faire depuis … Depuis l’incident. Ou de tenter de le faire, tout du moins. Je restais cloitrée chez moi – ou en l’occurrence ma chambre d’hôtel, en ce moment – tétanisée à l’idée d’en sortir. « Fallait envoyer un texto, j'aurais pu prendre l'ascenseur de droite et manquer ta chambre. D'ailleurs elle a l'air mieux que la mienne. » reprit-il en s’adossant à son tour contre le mur de ma chambre. Je me mordillai la lèvre, avant de rentrer à sa suite et de fermer la porte derrière moi. William s’arrêterait, si je disais non. Il s’arrêterait. Même bourré. Non ? Je déglutis une nouvelle fois en le regardant, avant de forcer un petit sourire. « Et encore … T’as pas testé le lit … Tellement confortable … » soufflai-je en m’approchant de lui, avant de m’arrêter à quelques centimètres, cette pointe de peur toujours au creux de mes tripes. « Je parlais juste de la taille. D'ailleurs si c'est tellement confortable, pourquoi tu dors pas ? » me demanda-t-il, me faisant rouler des yeux. C’était William, et pour autant, je me sentais incapable de faire le premier pas. C’était si facile, pourtant, de le faire craquer. J’étais même persuadée qu’il ne me suffisait que de retirer ma nuisette et qu’il ferait le reste. Mais, malgré tout, j’avais peur. Je le connaissais, pourtant. Je savais qu’il ne me ferait pas de mal mais … Cette histoire m’énervait, atrocement. Je pourrais l’avoir, là, tout de suite, et je ne tentais rien, me contentant de quelques phrases réchauffées. « C'est vrai t'es plutôt une couche tôt. La fille qui arrive toujours fraîche sur le tournage quand tout le monde a la gueule de bois. » Oh, voilà quelle réputation j’avais, maintenant ? D’une couche tôt ? Ce n’était pas vraiment surprenant, en même temps, vu que je déclinais toutes les invitations depuis plusieurs semaines. Je forçai pourtant un petit rire, me rapprochant un peu de lui, lentement.   « Je suis simplement professionnelle. » Je claquai presque ma langue contre mon palais en me remémorant un certain lendemain d’anniversaire, avant de reprendre. « Et bonne actrice, aussi. Assez pour ne pas montrer que ma tête va exploser. » repris-je en roulant des yeux. Je m’avançais à nouveau, ne me retrouvant qu’à quelques centimètres de lui, avant de pencher ma tête sur le côté pour mieux le regarder. « Et quant au pourquoi je ne dors pas … Peut-être que j’attendais quelqu’un … Tu sais, histoire de ne pas dormir de la nuit … » Je lâchai un petit rire, avant de me mordiller la lèvre. « Tu sais comment je peux être, parfois, si … inépuisable. » Allez Will, juste rentre dans le jeu et embrasse-moi, qu’on en finisse. J’observais William en biais, ou plutôt la façon qu’il avait de me regarder. Il avait beau tenter de faire des efforts pour regarder mes yeux, les siens finissaient inévitablement par dériver plus bas, vers mon décolleté – fortement mis en valeur par la nuisette que je portais, il fallait bien l’avouer. « Et on peut savoir qui tu attendais ? Juste comme ça ? » Je roulai des yeux, amusée. Ces derniers temps, la seule personne avec qui j’arrivais à coucher était Leo. Et autant dire que ce ne serait pas à son meilleur ami que je le dirais. Cependant, je ne l’attendais pas, pas ce soir en tout cas. A vrai dire, avant d’entendre le brouhaha provoqué par mon ex petit-ami dans le couloir de l’étage, je n’attendais personne. Mais, ça non plus, je ne le lui dirais pas. « Hm … Quelqu’un qui préférerait arrêter de parler et utiliser cette jolie bouche à bien meilleur escient, peut-être ? » répondis-je dans un sourire amusé, comme je posais un doigt sur ses lèvres.

U.C



Dernière édition par Tamsin C. Graham le Mar 11 Aoû - 23:25, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: so ... William still loves boobs   so ... William still loves boobs Icon_minitimeSam 27 Juin - 21:29

Être une star, avoir de l'argent, tout ça mène tragiquement à vivre dans l'excès et à se manger d'affreuses gueules de bois de temps à autre. Je devrais être rodé après tout ce temps, pourtant ce n'est pas le cas, car même pendant la tournée promotionnelle, je suis bien incapable de manquer une tournée tout aussi éprouvante, la tournée des bars. Avec mon acolyte Leo et une irlandaise qui ne fait pas semblant, je ne pouvais pas décemment m'attendre à m'en sortir indemne. Et encore Juliet n'était pas là. Toujours est t-il que mon cerveau marche au ralenti et que je peine réellement à me fait comprendre de la réceptionniste à qui j'essaye d'expliquer dans un français très approximatif que j'ai perdu mes clés et que ce serait sympa si elle pouvait me fournir un double. Oh elle parle très bien anglais, mais je crois qu'elle essaye de ne pas me vexer en me laissant m'exprimer dans la langue de Molière. Quant à moi, disons que je l'ai sûrement dragué un peu avant de récupérer mon pass. Enfin j'aurais tout le temps d'oublier ça après une bonne nuit de sommeil, si j'arrive à retrouver le numéro de ma chambre qui est pourtant écrit en chiffre troubles sur mon trousseau. Et parce que la chambre en question n'est pas simplement au bout du couloir, encore faut il se repérer et la retrouver dans ce dédale de couloirs tous identiques et qui ne m'était pas apparu si compliqué lorsque l'alcool n'avait pas encore fait tant de ravages dans ma boite crânienne. Il faudrait qu'on m'explique un jour. Pour couronner le tout, c'est Tamsin qui apparaît en nuisette sous mes yeux sans que je ne comprenne vraiment pourquoi. Une hallucination de ce genre ne me rassure pas beaucoup si c'est une hallucination, mais apparemment elle a l'air bien réelle et s'adresse à moi. Je me stoppe donc pour entamer cette conversation...inattendue. « William. Bonne soirée ? » Bonne, oui, alcoolisée encore plus. Là tout de suite je rendrais bien le restaurant mexicain qui a précédé toute cette tequila. « Super... dis moi juste une question comme ça, c'est parce que je suis passé devant ta chambre et que ton sixième sens t'a prévenue ou tu te balades vraiment en nuisette dans les couloirs de temps à autre ? » C'est pas comme si on avait les sanitaires au fond du couloir. Elle s'envoie forcément en l'air avec quelqu'un du cast. « Oh, la vue te dérange, peut-être être ? Fut un temps où tu appréciais tant me voir dans cette tenue, pourtant … » Bon elle marque un point c'est sûr, et pour être tout à fait honnête, le pire c'est que je continue de regarder. S'envoyer en l'air avec un mec ne change pas ça, si c'est ce qu'elle croit. Mais elle continue sur sa lancée, comme si parler de ses seins étaient un passage obligé dans chacune de nos conversations. « J’aurais pu ne pas t’imposer l’horreur de mes magnifiques attributs féminins, si seulement tu avais fait moins de bruit et n’avais pas cru que l’hôtel t’appartenait. » Du bruit ? J'ai beau avoir la démarche un peu lourde quand l'alcool circule dans mes veines en quantité honorable, je n'avais pas l'impression de réveiller tout l’hôtel pour autant. « Lies. A ce prix là les chambres sont bien isolées. Si on s'envoyait l'air personne ne t'entendrais crier mon nom alors s'il te plait sois un peu honnête. Tu m'attendais. » Je la taquine un peu, je n'ai tout de façon pas assez de neurones en stock pour me comporter autrement.

En revanche, je m'attendais à ce qu'elle me rejette directement, ne serait-ce parce que la drague alcoolique déguisée pseudo cynique, n'a rien de franchement excitant si on en croit la réceptionniste. Mais après tout Tamsin doit bien avoir ses raisons pour être encore éveillée à une heure aussi avancée de la nuit. « Bien sûr que je t’attendais. Tu sais que je n’attends que ça : toi me prouvant que les murs sont parfaitement insonorisées. »  Bien trop éméché, ma méfiance envers cet énergumène blond à forte poitrine est plutôt limitée et en bon bouffon, je me laisse avoir par ses minauderies entrant clairement dans son jeu et dans sa chambre alors qu'il serait beaucoup plus prudent de regagner la mienne de toute évidence. La faute à ses énormes seins, qu'aucun hétéro ou même bisexuel dans mon cas ne pourrait s'empêcher de regarder. Pour être tout à fait honnête, je crois que même Teacher remarquerait leur taille lui aussi. Je relève un peu le nez, parce que je suis aussi un gentleman et m'adosse moi aussi contre un mur. « Fallait envoyer un texto, j'aurais pu prendre l'ascenseur de droite et manquer ta chambre. D'ailleurs elle a l'air mieux que la mienne. » Je constate en m'invitant à l'intérieur sans la moindre gêne. « Et encore … T’as pas testé le lit … Tellement confortable … » Oui bon, qu'elle me nargue pas avec son lit, je suis sûr que la literie est la même dans tous l'étage en plus.  Non elle essaye de me piéger et je me laisse faire comme un abruti,  parce que oui quand j'ai bu j'en ai tout l'air d'un. « Je parlais juste de la taille. D'ailleurs si c'est tellement confortable, pourquoi tu dors pas ? » Je demande en haussant un sourcil sceptique. Toujours se méfier de Tamsin Graham, toujours. Dieu sait ce que cette fille pourrait faire. M'étouffer avec ses énormes seins par exemple, je suis sûre qu'elle en serait capable. « C'est vrai t'es plutôt une couche tôt. La fille qui arrive toujours fraîche sur le tournage quand tout le monde a la gueule de bois. » On se rappelle encore de l'anniversaire de Patrick. Ouais on ne risque pas de l'oublier celui-là.  « Je suis simplement professionnelle. » Rétorque la toujours frâiche Tamsin. Je ne peux pas m'empêcher de pencher la tête sur le côté en accompagnant le tout d'un sourire sans doute un peu taquin.. « Et bonne actrice, aussi. Assez pour ne pas montrer que ma tête va exploser. » Je me demande vraiment de quoi elle parle, peut être de sa tête qui depuis un moment déjà, ne devrait plus passer les portes. « Et quant au pourquoi je ne dors pas … Peut-être que j’attendais quelqu’un … Tu sais, histoire de ne pas dormir de la nuit … Tu sais comment je peux être, parfois, si … inépuisable. » Je hoche la tête, inépuisable ça elle sait tout à fait l'être c'est indéniable, son attitude enjôleuse est cependant plus que surprenante. Mon regard fait un allez retour de ses yeux à son décolleté, puis je tente de rassembler mes pensées. « Et on peut savoir qui tu attendais ? Juste comme ça ? » Je demande faussement innocent. Ou alors trop saoul pour le paraître en tout cas.

uc
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