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 HSH▐ i will try to fix youuu

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MessageSujet: HSH▐ i will try to fix youuu   HSH▐ i will try to fix youuu Icon_minitimeLun 29 Fév - 17:09


Henry Simon Howard
citation en sous-titre

HSH▐ i will try to fix youuu 2mq3z3t
introduction
Henry est un type sympa, un voisin idéal, un peu psychorigide quand même, un désastre en cuisine et le papa d'une lycéene précoce pas bien vielle. Il est psychiatre et écrivain, en bref bien meilleur pour s'occuper des problèmes des autres que des siens. Sa femme Daisy (une actrice connue) est morte en 2005 de la main de l'un de ses patients.  Depuis il tente de refaire sa vie du mieux qu'il le peut malgré un « léger » traumatisme et une personnalité de base un peu difficile. Henry manque parfois beaucoup de tact en dehors de son job. Très solitaire, c'est un poète incompris, un homme intelligent qui noie sa soif de connaissance et ses passions multiples dans une vie professionnelle surbookée à l'extrême. Il est désormais papa de deux enfants qu'il a eu avec sa nouvelle compagne..

▬ âge : 39 ans (en 2016)
▬ nationalité : britannique
▬ métier : psychiatre
▬ quartier : hampstead
▬ orientation sexuelle : hétéro
▬ statut : fiancé
▬ groupe : travel card
▬ avatar : david tennant


en 2005en 2009aujourd'hui
En 200 mots minimum, dites où en est votre personnage dans la vie en 2009. Peut inclure ce qui se passe entre 2006 et 2009.

   Henry déprime de la même manière en 2009 qu'en 2005 donc je vais me permettre une légère impasse sur cette partie HSH▐ i will try to fix youuu 424623794
En 200 mots minimum, dites où où en est votre personnage dans la vie aujourd'hui. Peut inclure ce qui se passe entre 2009 et 2016. Si votre personnage est décédé pendant cette période, reportez les mots demandés sur les autres périodes de rp.

   Henry était un homme foncièrement gentil, peut être un brin indélicat et mal à l'aise avec les sentiments et la façon dont on les exprime, mais sensible et prévenant. Aussi, il n'avait pas oublié l'anniversaire d'une de ses petites nièces qui approchait à grand pas et avait pris un soin particulier comme chaque fois à choisir un cadeau pour la plus jeune d'entre elles. Ses relations avec Katharine étaient peut être compliquées, mais il avait toujours fait en sorte de faire passer les enfants avant, c'était quelque chose d'important pour le psychiatre. Violet elle même aimait passer du temps avec sa tante et Katharine n'aurait de toute façon pas laissé Henry éloigner la fille de Daisy d'elle, même si il l'avait voulu pour une raison ou une autre, elles étaient beaucoup trop proches. Henry acceptait les Lawrence telles qu'elles étaient, et il avait d'ailleurs toujours eu beaucoup de respect pour sa belle famille, même si évidemment tout prenait des proportions démesurées avec la plus jeune des sœurs qui lui reprochait en quelque sorte la mort de Daisy. Quelque part il acceptait la chose sans réellement rechigner, une part de lui ayant sans doute l'impression de la mériter dans une certaine mesure. Lui aussi se reprochait la mort de sa femme évidemment, lui aussi avait beaucoup de mal à avancer, à faire le deuil alors que pour d'autres il avait suffit d'une cérémonie et de quelques mois pour l'oublier aussi. Et quelque part, très ironiquement il se sentait moins seul lorsqu'il recueillait la haine de Katharine. Ils étaient au moins deux à ne pas pouvoir passer à autre chose, à subir encore les séquelles d'un meurtre inexplicable, même si Henry de son côté tentait de réapprendre à vivre, de s'ouvrir de nouveau à la perspective d'être heureux entouré d'une famille certes recomposée, mais aimante pour laquelle tout donner, mais cela restait ancré dans ses manies, ses élans de stress plus que post traumatiques. Des choses avaient changé oui, mais ils seraient tous les deux toujours marqué par une blessure plus profonde qui ne pourrait pas se guérir en un claquement de doigts, qui ne disparaîtrait peut être jamais complètement non plus, comme une vielle cicatrice avec laquelle on apprend à vivre... Juliet apportait de son côté énormément à Henry, l'éloignant par conséquent de la spirale aussi destructrice que désastreuse dans laquelle Katharine et Henry semblaient s'entraîner mutuellement, et c'était sans doute possible ce que Katharine lui reprocherait si ils en venaient à se croiser malencontreusement. D'avoir l'air d'avancer, sans elle, toujours aussi triste et révoltée pendant qu'il entreprenait de se reconstruire à côté doucement, mais sûrement. Si leurs emplois du temps leur ne l'avait pas permis, il aurait été difficile pour Henry d'éviter une confrontation directe avec Katharine, mais la situation aidant, il avait été capable de repousser l'entrevue de façon assez optimale dernièrement.

Ça c'était avant, qu'il n'ait la bonne idée de passer déposer le présent de la petite à la jeune fille au pair de Katharine à la sortie de l'école. Le plan de base était presque infaillible, tout aurait pu fonctionner sans heurt et sans que le psychiatre n'ait besoin de faire face à son ex belle sœur, mais c'était sans compter un désastreux concours de circonstances qui les avait réunis à l'école tous les deux ce jour là. Nez à nez avec la réalisatrice, un paquet cadeau sous le bras, Henry peinait à cacher sa nervosité évidente bien que vaine. Ça ne pouvait pas bien se passer, il avait imaginé cette rencontre des tas de fois dans son esprit malade, ça ne pouvait que mal se passer. Peut être aurait-elle un semblant de retenue devant sa fille, mais c'était tout ce qu'il pouvait espérer. Affronter Katharine n'était pas sa spécialité et le temps l'avait prouvé. Il ne faisait globalement que la laisser lui cracher dessus sans réellement protester, et cette fois-ci elle avait de « bonnes » raisons de lui en vouloir. Fatigué par la nouvelle routine qui s'était installé avec l'arrivée des enfants et les visites de maison toutes terriblement chères et pas forcément proche de son domicile, Henry n'était physiquement capable d'offrir mieux qu'un maigre : « Bonjour Kath, » extrêmement maladroit et surtout mal à l'aise. Il tenta donc de s'expliquer très rapidement, d'agir comme si il n'avait pas pitoyablement essayé de l'éviter une fois de plus après des mois de succès à cette pratique devenue experte. « J'avais un rendez vous pas loin et je voulais déposer ça pour Anne. » Il adressa un regard plus doux mais toujours anxieux à la petite à qui il offrit le cadeau timidement. « Joyeux anniversaire! » Il releva les yeux pour rencontrer le regard de Katharine. « Je suis en train de chercher une nouvelle maison. » Il ajouta comme pour anticiper sa future fuite en avant.
En 200 mots minimum, dites où où en est votre personnage dans la vie en 2005. Peut inclure ce qui se passe avant 2005. (enfance etc) Si votre personnage n'est pas né ou trop jeune, reportez les mots demandés sur une autre période de rp.

   Je m’appelle Henry Simon Howard, j’ai maintenant 38ans et je suis papa d’une petite fille de 12ans. Je n’ai aucun talent pour la cuisine, et les relations humaines dans la sphère privée ce qui est assez drôle en somme pour un psychiatre qui a pourtant écrit énormément sur le sujet. Ma femme Daisy est morte il y a de cela quelques années assassinée par l’un de mes patients, événement qui a fait de ma famille ce qu’elle est aujourd’hui. Certains vous diront que je suis un psychiatre exceptionnellement brillant, auteur de nombreux ouvrages de référence en la matière, alors que d’autres n’auront de cesse que de me blâmer pour tous ceux que je n’ai pas réussi à sauver. Je suis également le plus jeune d’une famille de deux enfants. Ma sœur Amy et moi même sommes d’ailleurs particulièrement proches, peut être parce qu’elle fait partie de ce peu de personnes qui m’ont toujours accepté tel que j’étais. Beaucoup de gens m’ont toujours trouvé difficile à suivre et à aimer finalement. A travers les années, je ne me suis pas illustré par mon étonnante capacité à nouer des relations amicales de longue durée, ni même pour déterminer le bon moment pour exprimer mes sentiments en admettant bien sur que j’ai été un jour capable de le faire convenablement. Assez tristement alors même que j’ai toujours recherché l’affection des autres, je ne peux pas dire que j’ai concédé à l’un d’entre eux un quart de ce que j’attendais de leur part. Daisy elle, ne m’a pas vraiment laissé le choix, me mettant au pied du mur, après avoir passé des années à penser que la trouvais idiote. Elle ne serait probablement pas heureuse de constater que la très bonne influence qu’elle avait eu sur moi jusqu’à présent est finalement morte avec elle.

Nous avons été très heureux et très malheureux aussi, mais c’est quelque chose que j’ai toujours voulu nier, probablement pour éviter la culpabilité. Mais en réalité ce n'est pas la première fois que je déçois Daisy. Notre sujet de discorde principal étant mon insatisfaction chronique et mon incapacité à prendre les bonnes décisions. Enfant naturellement doué, j'excellais dans toutes les activités qui exigeaient rigueur et réflexion et c'est tout aussi naturellement qu'une multitude de choix se sont offert à moi tout au long de ma scolarité. Passionné par divers domaines aux antipodes les uns des autres, j'ai alors cumulé les options et les heures de travail avec une facilité aberrante et dictée par une curiosité et une envie d'apprendre presque addictive. Ma plus grande angoisse résidait évidemment dans l'idée de devoir me décider un jour et renoncer aux reste, qui deviendrait alors que de simples rêves, ou au mieux des activités pratiquées à côté. Mais le simple fait d'en faire un loisir seul ou encore un domaine d’intérêt m'aurait alors empêché d'atteindre l'excellence et cette angoisse s'intensifiait chaque année un peu plus et à chaque spécialisation choisie dans mon cursus. Mais Daisy n'avait alors à l'époque aucune idée de ce qui se tramait dans mon esprit malade, se satisfaisant de nos instants volés, des répétitions tous les deux, des moments partagés sur scène, murissant des rêves qu'elle croyait partagés et j'y croyais moi aussi, une partie de moi en tout cas. Notre entente était en effet, merveilleuse, et lorsqu'elle s'imaginait foulant les allées de la Royal academy of dramatic arts à mes côtés, je rêvais avec elle oubliant presque l'indécision, ma plus grande ennemie. Personne n'aurait pu nier qu'elle avait su tirer le meilleur de moi, et c'est porté par nos perspectives d'avenir que j'ai alors auditionné en même temps qu'elle, croyant à son rêve, avant de le piétiner assez misérablement en fin de compte.

Malgré une audition réussie, malgré Daisy, malgré tout le bonheur que promettait nos projets communs, je n'ai jamais rejoint l'école, lui préférant l'austère Oxford, et la médecine, et le choix me représentait tragiquement assez bien, moi Henry, celui que j'étais sans elle, l'enfant laborieux et intellectuel que la peur et la lâcheté avaient pris pour habitude d'étouffer, idiot effrayé par la simple idée d'être heureux. L'annonce s'est fait dans les larmes et les cris et je me suis donc décidé pour une double licence en littérature et en médecine, compromis qui m'offrait au moins l'avantage de garder mon esprit occupé, mais aussi celui de ne pas m'aventurer à regretter mon choix, pendant que Daisy elle consumait tout son amour pour moi à essayer de me pardonner d'avoir fichu en l'air tout ce qu'elle ait jamais fait pour moi. Je n'étais pas plus satisfait en réalité et elle le savait, elle se fourvoyait cependant en s'imaginant qu'il en aurait été autrement si j'avais renoncé à Oxford pour l'accompagner. Je gérais l'insatisfaction comme un asthmatique gérerait ses crises, avec habitude dans une étonnante normalité, vivant avec le poids de mes regrets accumulés sans vraiment y penser. J'étais heureux, autant qu'il m'était possible de l'être avec une telle personnalité. Je suis devenu psychiatre et j'ai aidé des gens quand je ne pouvais pas m'aider moi même, et c'est par procuration que j'ai ressenti le bonheur de ceux qui s'en sortaient. Le choix le moins téméraire m'offrait alors la merveilleuse sensation de faire le choix le moins égöiste et c'en en aidant tous ces gens que j'ai finalement saisi le sens du mot vocation. Tous ces patients avaient besoin de moi, et j'avais presque autant besoin d'eux. Si je ne pouvais rien pour moi, eux le pouvaient, je les guérissais, et ils me guérissaient jusqu'à ce que l'un d'entre eux décide d'arracher la vie de la femme de ma vie.

Le monde s'est effondré ce soir là, lorsque j'ai passé la porte de l'appartement ou nous vivions tous les deux avec Violet, lorsque j'ai reconnu des parties son corps gisant sur le sol, altérées avec une barbarie intolérable, ses yeux exorbités et inexpressifs. Elle était morte dans les circonstances les plus terribles et mon cœur s'affolait déjà pour Violet, la plus belle chose qui me soit jamais arrivé et dont j'hurlais le nom dans un cri de désespoir alors qu'elle se cachait encore effrayée, dans un des placard de la cuisine. Mes bras se sont alors refermés sur elle, lorsque guidée par le son de ma voix elle est sortie de sa cachette apeurée. Et alors que les pires pensées traversaient mon esprit, je me suis accroché désespérément à elle, à sa vie épargnée à ce qu'elle impliquait. J'aurais pu devenir fou, mais je n'en avais plus le droit, parce qu'elle avait besoin de moi plus que jamais. Ce soir là j'ai su qu'elle est moi serions reliés à jamais dans une dimension réellement nouvelle. Violet était tout ce qu'il me restait et il n'était plus question d'être uniquement un père correct, je devais désormais être le meilleur d'entre eux. La dépression m'a frappé évidemment, longue est insidieuse, violente et destructrice, contenue et d'autant plus lancinante. Je revoyais alors son corps découpé et écorché, chaque nuit endormi ou éveillé tandis que je m'acharnais à agir comme si j'avais la force de tout gérer, lâchant mon travail pour faire saigner ma plume, enfermé entre les murs de mon nouvel appartement, ne sortant que pour elle. Ne pouvant psychologiquement plus exercer, j'ai du évidemment trouver une nouvelle source d'occupation, et c'est dans l'écriture et le théâtre que je me suis retrouvé une fois de plus. Enseignant, metteur en scène, dramaturge, écrivain, scénariste, je faisais tout ce qu'elle aurait voulu que je fasse pour elle, multipliant les activités pour purger à la fois ma peine et ma culpabilité, me dévouant corps et âme à faire honneur à Daisy, lui dédiant ainsi toute ma vie tout en veillant sur Violet, et en ne laissant aucune place à ma vie personnelle. Puis les problèmes de Violet se sont accentués et j'ai du la laisser partir dans une école spécialisée confronté une fois de plus à une impasse qui allait probablement la mener droit dans le mur si elle avait continué ainsi. Malgré tous mes efforts, malgré mon acharnement, je n'étais plus la seule personne que je ne pouvais plus aider, je ne pouvais plus aider Violet non plus. D'autres psys ont fait mon travail, lui ont suggéré cette école, et je me suis alors retrouvé seul une fois de plus, sans elle à mes côtés, me laissant avec la triste réalité de ma vie de solitude sans réel sens à passer cette fois mes nuits à aller chercher Amy dans les bars et à l'écouter me raconter ses nombreux mariages ratés,



─ pseudo/prénom : cecile. ─ âge : 25. ─ fréquence de connexion : all the time.  ─ comment avez-vous découvert ticket to ride et qu'en pensez-vous ? par moi même et je suis assez contente ça va. ─ inventé ou pévario ? inventé.  ─ code : quantium. ─ crédits : dreams.
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