| | on rêve tous de s'envoler | |
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| Sujet: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 19:03 | |
| Victor Bergen I know your rhythm
| introductionVictor c’est l’œuvre d’art de deux artistes suédois ; c’est comme ça que ses parents le considèrent. Comme une création artistique. Comme la matérialisation de l’amour puissant qui les consume. Ses parents sont des artistes chevronnés. Un peintre. Une photographe. Des âmes bohèmes. Le plus important pour eux, c’est l’art, sous toutes ses formes, et ils vagabondent dans tout Londres à la recherche de l’inspiration, cette douce transe si précieuse. C’est comme cela que Victor a cessé d’être le centre d’attention de ses parents. Victor, il a toujours été un gamin indépendant, provocateur, un enfant boutefeu qui ne reste jamais en place, qui a traversé l’enfance en aiguisant ses mots et en jouant des poings, qui a traversé l’adolescence en s’insurgeant. Aujourd'hui, trop vieux pour être un enfant, trop jeune pour être un adulte, il avance jour après jour, la main dans celle d’un homme qui lui donne le cap. ▬ âge : vingt-deux ans (2017). ▬ nationalité : anglais par le sol, suédois par le sang, les deux passeports dans la poche et les deux langues maîtrisées. ▬ métier : les crépitements des flashs, l'adrénaline du podium, il est devenu mannequin sans s'y attendre. ▬ quartier : la belle camden. ▬ orientation sexuelle : homosexuel. ▬ statut : en couple. ▬ groupe : single ticket. ▬ avatar : lucky blue smith. |
en 2006en 2010aujourd'huiIl attrape pantalons, pulls, fourre ses vêtements dans son sac de voyage. Il ne sait pas bien quoi emporter. Il ne sait même pas pour combien de temps il sera parti. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il n’a pas envie de rester ici plus longtemps. Il ferme la porte de son dressing et reste immobile un instant, au milieu de sa chambre qui n’a pas tellement changé ses dernières années. Les fenêtres sont toujours fardées d’une myriade de couleurs, mais la peinture s’est écaillée avec le temps. Ses peluches sont toujours amoncelées dans un coin ; il n’a jamais trouvé la force de s’en débarrasser, comme sa mère le lui avait suggéré. Il reste immobile, là, dans le silence le plus complet, et soupire longuement. Il ne peut se résigné à rester dans cette chambre, dans cet appartement plus longtemps. Il attrape sa veste et la jette sur son épaule. Il ne peut se résoudre à rester dans un endroit dans lequel il ne se sent plus chez soi. Il traverse le couloir et pénètre dans le salon. La cuisine ouverte lui donne des visions d’apocalypse. Il se demande si le foutoir est un des nouveaux projets de ses parents, mais la réponse est ailleurs : ils n’ont pas de temps à accorder à cet appartement, ces derniers temps. Et encore moins à Victor. Il soupire, à nouveau, un soupire de soulagement de partir d’ici pendant quelques temps. Une semaine. Un mois. Voire plus, si les parents de son amie ne posent pas trop de question. Il se débrouillerait autrement, sinon. Il ne peut pas supporter l’atmosphère étouffante de cet appartement, désert de tout signe de vie, froid et maussade. Il réajuste la lanière de son sac sur son épaule et se dirige vers la porte. Celle-ci s’ébranle avant même qu’il ait pu l’atteindre. Les silhouettes de ses parents se détachent de nulle-part et pénètrent dans l’appartement. -Victor ! Il se contente de leur sourire. Il se demande depuis combien de temps il ne les a pas vu. - On va quelque part ? Son père est couvert de peinture et regarde avec intérêt le sac que Victor porte sur son épaule. - Très bon sens de l’observation, souffle-t-il, alors qu’il échange sa place avec celle de ses parents. Il retient la porte avec sa main et se retourne vers eux. - Tu rentres dans combien de temps ? Il sourit. Sa mère se fiche de la réponse. Elle ne pose la question que par convention. Parce que c’est ce qu’une mère fait. Il hausse les épaules et ne leur offre qu’une moue interrogatrice. - Tu vas chez Julia ? Il soupire, à nouveau, plus fort qu’avant. - Si tu veux parler de ma meilleure amie, elle s’appelle Judie, corrige-t-il. Il ne peut pas leur en vouloir, il est même légèrement surpris que sa mère ait trouvé une syllabe sur les deux. - C’est ta petite-amie ? demande son père, un sourire moqueur aux lèvres. - Si seulement vous pouviez ouvrir les yeux, lâche-t-il, refermant la porte derrière lui en levant les yeux aux ciels. Depuis qu’il l’a rencontré, sur ce vol de la Scandinavian Airlines – n°SK9452, il l’a appris par cœur, ce cuméro –, depuis qu’il s’est penché vers lui, quelques minutes après s’être échangé regards et s’être prudemment effleuré les mains, depuis ce jour-là, Victor est fou de cet homme. Il ne se le cache pas, mais il avance prudemment, jour après jour, heures après heures lorsqu’il le faut. Il ne cache pas ses sentiments, même s’il garde une certaine pudeur dans les mots qu’il choisit de lui susurrer à l’oreille. Il a appris que des regards sont plus précieux que des mots. Bien plus sincères. Bien plus fort. Mais il ne peut nier ce qu’il ressent au plus profond de lui. Il ne peut nier l’embrasement de son cœur à chaque fois que ses pensées s’aventurent sur Charlie. A chaque fois que ses yeux se posent sur lui. A chaque fois que sa peau touche la sienne. C’est au bonheur qu’il goutte. C’est la fureur de vivre qu’il expérience. Et il n’a jamais éprouvé ça, il n’a jamais vécu les émotions qui le traversent depuis ces six derniers mois. Assis au dessus de Charlie, Victor appuie sur le déclencheur de son polaroid. Il attrape la photo qui en sort et pose l’appareil sur la couette, attendant patiemment quel les traits de son amant se dessinent sur le papier glacé. Il le regarde, un sourcil relevé, une grimace sur le visage. - C’est clairement pas un chef d’œuvre, souffle-t-il en tentant de garder son sérieux, avant de se mettre doucement à rire tout en se penchant vers lui. Le désir le consume totalement. Il brûle d’une passion enivrante qui l’effraie autant qu’elle le remplit d’un bonheur dont il ne connait pas l’étendue. Son corps est parcouru de frissons. Du bout de ses doigts, il dessine les lignes de sa bouche, l’arrête de son nez, l’ossature de sa mâchoire. Il le connait par cœur. Il connait chaque centimètre de son corps, des commissures de ses lèvres au grain de beauté perdue au milieu de sa cuisse gauche. Le contact de sa peau contre la sienne l’électrise. Son odeur l’enivre et le fait totalement chavirer. Il soupire, passe la main dans les cheveux de Charlie, avant de se perdre dans son cou que Victor conquiert de ses lèvres. Il s’y attarde, longuement, avant de glisser ses phalanges le long des bras de Charlie pour entremêler ses doigts aux siens. Il relève la tête, et Victor l’étudie du regard, plongeant ses yeux dans les siens, admirant leur intensité. Il se presse un peu plus à lui, avant de s’emparer de ses lèvres, épris d’une passion ardente. Il s’arrête subitement, les sourcils froncés. - J’ai complètement oublié ! J’avais raison, en fait, c’est bien … Victor a toujours raison. Toujours.
Depuis qu’il a déniché ce vieux trésor, Victor ne le quitte plus. Un polaroid usé par le temps qui fonctionne parfaitement, oublié dans un carton parsemé d’inscriptions en suédois. Il les a toutes déchiffrées. Unes à unes, elles sont passées sous son regard aventurier. Il est resté devant ce carton pendant plusieurs heures, à retracer son histoire, à en exhumer ses richesses, jusqu’à empocher le gros lot. Il a scruté l’appareil pendant de longues minutes, le tournant dans ses mains pour en assimiler le fonctionnement, se rassurant en découvrant dans le compartiment une pellicule entamée. Le polaroid est devenu comme une extension de lui-même. Victor s’est lancé dans une folle mission : voler des instants spontanés d’une pression de son index, capturer des visages surpris, dégainer son appareil pour glaner des clichés uniques. Le polaroid ne quittait plus son cou, accumulant des photographies à la banalité notoire n’ayant récolté qu’un simple haussement d’épaules de son père, des encouragements poussifs de sa mère, tous deux obnubilés par leur nouveau projet. Il avait découvert l’art à sa manière, réalisant qu’il pouvait traduire sur du papier une émotion unique et sincère. Ses clichés étaient tous identiques. Des portraits resserrés, figés dans un carré qui ne laisse aucune place pour la distraction dans un espace si restreint. Il n’avait que quatre pellicules, qu’il avait découvertes endormies dans leur emballage d’origine, sous des bibelots inutiles, et arriva le moment redouté où elles furent toutes épuisées. Un dimanche, tôt le matin, réveillé par le clapotis de la pluie sur sa fenêtre qu’il avait complètement peinte dans une succession de couleur criardes. Il avait retapé son lit après s’être levé, essuyant les dernières traces de sommeil sur son visage plongé dans le marasme, avant de passer le cordon qu’il avait attaché à son polaroid autour de son cou. Il posa le doigt sur sa lèvre fendue qui cicatrisait. Une bagarre, une énième, à l’école. Une langue bien trop pendue, une incapacité à se taire. Victor est mû par le besoin de dire ce qu’il pense et de faire ce qu’il veut, quitte à en froisser certains, de ses camarades à ses professeurs. La faible lumière qui perçait sa fenêtre était intéressante, ce matin. Embellie par la peinture, elle baignait sa chambre d’une atmosphère mystérieuse. Son attention se posa sur une de ses peluches, amoncelées dans le coin de la pièce. Appareil en main, l’œil sur le viseur, il presse le déclencheur. Un bruit délicat, sourd, lui retourna l’estomac. La pellicule était vide. Il dut le dire à haute voix pour y croire. - La pellicule est vide. - Man ? Il demande, entrant dans la cuisine. Il savait qu’elle n’y était pas, il n’y avait aucun bruit (sa mère faisait toujours du raffut), mais il avait découvert qu’il l’appelait souvent, avant d’entrer dans une pièce, récemment. Ses parents passaient le plus clair de leur temps si précieux dans leur atelier. Il se hissa sur la pointe des pieds pour attraper le paquet de céréales, dans le placard au dessus de l’évier. Il avait appris à faire lui-même son petit-déjeuner. Son déjeuner, quelques fois. Il devait pallier l’absence de sa mère bohème, de son père fantaisiste, du haut de ses onze ans. Il s’empara du sachet de pain, glissant deux tranches dans le toaster. Il attendit, patiemment, le regard perdu dans le vide, que la résistance fasse son travail. Il jouait, tout le long, avec le déclencheur de son appareil. La pellicule, vide. La détermination, affûtée. Il patienterait, autant qu’il le faut, que ses parents reviennent, et il se battrait autant qu’il faut pour avoir de nouveaux films, même s’il doit se mettre à crier en suédois, même s’il doit menacer ses parents d’appeler sa mormor. Sa grand-mère, rien que d’évoquer son nom l’aidait souvent à obtenir ce qu’il veut. ─ pseudo/prénom : skumring en ce moment, mais toujours loïc. ─ âge : 23, je suis un peu plus fichu dans une petite semaine. ─ fréquence de connexion : haute fréquence . ─ comment avez-vous découvert ticket to ride et qu'en pensez-vous ? bazzart, depuis pas mal de temps en fait, mais là, je suis revenu faire un tour, et j'ai sauté le pas. j'aime beaucoup le système de rp sur trois périodes différentes . ─ inventé ou pévario ? c'est le victor de charlie, et suis dingue de lui . ─ code : ok by roulia. ─ crédits : image de droite piochée sur tumblr, dog years de maggie rogers pour la citation et sweet disaster pour l'avatar tout en haut . | |
Dernière édition par Victor Bergen le Dim 5 Fév - 18:30, édité 19 fois |
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messages : 1191 dispo pour un rp ? : yes, always avatar : caspar lee age : vingt-quatre ans (24/04) occupation : youtuber and unofficial business student at westminster relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 19:28 | |
| hello, bonjour, bonsoir je sais pas quoi dire, tellement je suis contente que tu te sois inscris AH, SI, ON VA FÊTER TON ANNIVERSAIRE DIGNEMENT sinon, oui, jE SUIS ULTRA HEUREUSE, t'imagines même pas c'est un scénario qui m'est venu un peu comme ça, sans prévenir, parce que j'ai terriblement besoin que Charlie soit heureux, et boom, Victor est apparu, et maintenant, paf, te voilà, j'ai trop hâte de lire ta fiche du coup (mais pas de pression hein ), et j'ai terriblement hâte de rp avec toi, j'ai l'impression qu'on va bien s'entendre eT OF COURSE SI TU AS BESOIN, je suis dispo par mp, j'essaye de répondre vite le plus souvent, donc voilà, sonne-moi si tu as une question (ou même plusieurs), si tu as besoin d'éclaircir un point ou juste si tu veux papoter. BREF, VOILA, JE SUIS CONTENTE, JE T'AIME DEJA, bienvenue chez nous, j'espère que tu t'y plairas, BON COURAGE AVEC TA FICHE que j'ai trop hâte de lire. BISOUS BISOUS |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 19:59 | |
| Arghhh mais qu'est-ce que tu me fais là . Best accueil ever . J'ai pas de mots, je suis cloué . Tu sais déjà que suis tombé dingue de Victor, de Victor+Charlie, de Charlie, et j'ai tellement hâte moi aussi de pouvoir rp avec toi. On va bien s'entendre, même si tu me mets grave la pression là (fais pas genre j'ai lu dans ton jeu ). Sérieux, je suis content d'être venu par ici, je sens que je vais m'y plaire . Merci encore pour l'accueil . |
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messages : 1191 dispo pour un rp ? : yes, always avatar : caspar lee age : vingt-quatre ans (24/04) occupation : youtuber and unofficial business student at westminster relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 21:35 | |
| mais noooon, pas de pression je me tais, je ne ferai plus aucun commentaire sur ta fiche ou ce que tu pourrais écrire ou ce que ça pourrait m'inspirer, promis mais quand même, bon courage pour la rédaction, tout ça et sur ce, je file lire ton mp |
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messages : 146 dispo pour un rp ? : toujours ! avatar : timothée chalamet age : 24 occupation : étudiant en histoire de l'art relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 23:49 | |
| Yeahhhhh, un copain pour Charlie Très bon choix de pévario Je te réserve un lien (dommage, Fab était d'origine suédoise jusqu'à la semaine dernière, mais depuis j'ai écouté Skam et j'ai décidé qu'il serait d'origine norvégienne xD, ça nous aurait fait un lien facile !!!). Bonne chance pour la rédaction, très hâte de voir ce que tu nous réserves EDIT : Et j'oubliais BONNE FÊTE D'AVANCE au cas où j'oublie de te le souhaiter le jour j xD |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Sam 28 Jan - 23:58 | |
| Je voulais convaincre Charlie de le faire norvégien, surtout que je le parle un tout petit peu, mais suédois ça m'allait tout autant, donc je me suis tu Mais norvégien, suédois, c'est deux pays différents, mais ils se comprennent facilement quand même . Merci, en tout cas, je suis vraiment inspiré par ce Victor, j'espère que je vais pas vous décevoir . |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Dim 29 Jan - 12:19 | |
| Bieeeeeenvenuuuuue quel bon choix de scénario, tu vas voir c'est si cool de rp avec Julia ! amuse toi bien chez nouuuus, joyeuxanniversairebonneannéetoussatoussaaaaaaa |
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messages : 791 dispo pour un rp ? : yeah avatar : aaron tveit age : 34 occupation : réalisateur relationship status : marié
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Lun 30 Jan - 19:30 | |
| BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE |
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messages : 1191 dispo pour un rp ? : yes, always avatar : caspar lee age : vingt-quatre ans (24/04) occupation : youtuber and unofficial business student at westminster relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Lun 30 Jan - 21:05 | |
| EHO CA PARLE DE SKAM ET ON ME PRÉVIENT PAS je vous retiens, all of you là (pour ma défense, j'ai écrit Victor avant d'avoir bingewatché Skam, c'EST PAS DE MA FAUTE). |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Lun 30 Jan - 22:36 | |
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messages : 1191 dispo pour un rp ? : yes, always avatar : caspar lee age : vingt-quatre ans (24/04) occupation : youtuber and unofficial business student at westminster relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Lun 30 Jan - 22:43 | |
| Non, c'est la faute des internets pour ne pas m'avoir proposé skam sur un plateau au moment où j'en avais besoin j'AI DU REGARDER CA MORCEAU PAR MORCEAU SUR DAILYMOTION, la loose monstrueuse, j'en pouvais plus au bout de dix minutes mais j'ai continué et omg, SO MANY FEELINGS. Et puis bon, si tu y tiens, moi j'ai rien contre un changement de nationalité |
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messages : 146 dispo pour un rp ? : toujours ! avatar : timothée chalamet age : 24 occupation : étudiant en histoire de l'art relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Mer 1 Fév - 2:20 | |
| SKAM *okay je m'excuse de flooder, mais là, on m'a par les émotions* T'es pardonnée voyons, après tout, moi-même je viens de découvrir ça il y a moins d'un mois, mais j'ai pas pu résister à changer la nationalité de Fab Et puis comme Victor l'a dit, Suède/Norvège, ça se ressemble |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Dim 5 Fév - 10:55 | |
| Hey you ! est-ce que tu as besoin d'un délai supplémentaire pour ta fiche ? |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Dim 5 Fév - 18:33 | |
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messages : 1191 dispo pour un rp ? : yes, always avatar : caspar lee age : vingt-quatre ans (24/04) occupation : youtuber and unofficial business student at westminster relationship status : célibataire
| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler Dim 5 Fév - 20:52 | |
| ugh, déjà ton avatar, je meurs ensuite, que dire de ta fiche, sinon que c'est adorable et touchant et tout à fait ce que j'imaginais pour Victor, donc je suis ravie et comblée, et que tu es bien sûr validé tu peux dès à présent poster ta fiche de liens et aller faire un tour par là, où on a rangé les différents registres. ET EVIDEMMENT SI TU VEUX RP, JE SUIS LA #subtilité |
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| Sujet: Re: on rêve tous de s'envoler | |
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