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| oh baby, I think I wanna marry you → Andrestan ♥ | |
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| Sujet: oh baby, I think I wanna marry you → Andrestan ♥ Sam 21 Jan - 17:13 | |
| Les projets se précisent. Nous avons loué un chalet indécemment grand pour notre lune de miel et j’ai trouvé une résidence on nous pourrions tous partir pour le jour du mariage, la soirée et le lendemain matin, à une centaine de kilomètres d’Oxford. Nous n’avons pas encore posé d’option mais ce que je pensais encore être impossible il y a de ça quelques mois prend soudain une assurance qui manque de me faire défaillir à chaque fois que j’y pense. Notre bonheur du moment, le mien en tout cas, est presque surréaliste. J’inspire, enfonce la clé dans la porte de mon appartement. Il n’y vit pas encore officiellement, mais c’est tout comme. J’entre et me débarrasse de mon manteau. Je m’avance dans le salon et l’avise, installé sur le canapé. Mes bras s’enroulent autour de son cou et mes lèvres s’approchent de son oreille. « Oh baby, I think I wanna marry you ». Je laisse tomber un paquet soigneusement enveloppé sur ses genoux et fais le tour pour m’installer près de lui. « Je devais faire amende honorable, on ne peut pas franchement dire que celle-ci soit digne de toi », je lance, en prenant sa main pour en retirer la bague que j’avais achetée dans ma période de pauvreté intense. « Certes, emmène donc cette horreur chez le ferrailleur ! » Je ricane légèrement, amusé. « Bon sang, qui t’a rendu aussi snob, Tristan Faure ? »
J’ai passé l’après-midi à errer entre Cartier et les boutiques alentours, pendant que la vendeuse faisait regraver ma propre bague à son inscription d’origine. J’ai rencontré Carolyn, qui m’a aidé à faire le choix final, tout ça au prix d’heures entières de débat interne pour finalement tomber d’accord non seulement avec la meilleure amie de mon fiancé et futur mari, mais aussi avec moi-même. « Est-ce que je t’ai déjà dit à quel point je t’aime ? » Ma tête s’échoue contre son épaule. « Très souvent t’en fait pas pour ça, faudrait pas que tu te lasses. » Il dépose un baiser dans mes cheveux et je ris un peu, amusé. « Ca ne risque pas. » J’inspire, regarde sa main qu’il fait parader devant nous. « Les bagues Cartier sont elles aussi de très belles preuves d’amour tu sais. » Je ris doucement, hoche la tête. « Si le prix et proportionnel à l’amour, alors j’imagine que c’en est une très belle preuve, oui. » J’embrasse son cou et poste ma main à côté de la sienne pour exhiber ma propre main, qu'il agite. « Heureusement qu’il n’y a pas de témoins, on a l’air complètement idiots et à deux doigts de se refaire l’intégrale de Sissi impératrice. » Je soupire un peu, toujours amusé par le ridicule qui effectivement ponctue la situation. « En même temps, on va se marier, le ridicule deviendra bientôt notre meilleur ami. On a même déjà un chien. » Je jette un œil à Simba, couché un peu plus loin, et me mords un peu la lèvre. « Est-ce que je vais m'appeler Andrea Faure ?. » Je me tourne vers lui, un sourcil haussé, me mord la lèvre. « J’en sais rien je suppose que tu peux garder ton nom de jeune fille... » Visiblement très amusé, il entreprend de jouer avec mes cheveux. Je souffle un peu, ricane. « Je te préviens, mariage ne signifie pas anéantissement de la vie sexuelle et mièvreries, on a une réputation à tenir. » J’hausse un sourcil et me marre, sincèrement, l’anéantissement de notre vie sexuelle n’est pas franchement quelque chose que je redoute, même une fois qu’il m’aura passé la bague au doigt. « Un grand sage disait pourtant que la frustration avait du bon, si je me souviens bien. » J’hoche la tête et dépose un baiser sur ses lèvres. « Je ne me rappelle plus son nom, par contre. » Sa main s’empare de ma cuisse et j’arque un sourcil intrigué en baissant un peu les yeux. « Quoi qu’il soit, il doit bien le regretter, surtout si son copain est dans ton genre... » Je ris un peu tandis que ses lèvres se déposent sur mon cou avec une douceur rarement opérée. « On dirait qu’il a du mal à s’appliquer ses propres théories, en effet ». Je m’amuse et glisse ma main le long de son bras, jusqu’à sa nuque que je caresse doucement. Je dépose un baiser sur son front et sens mon rythme cardiaque s’accélérer déjà. Sa main s’empare cependant de son écharpe, posée non lui de lui, qu’il m’enroule autour des yeux. Je me mords la lèvre, me demande ce qu’il est en train de faire exactement. Il me pousse, me forçant à m’allonger sur le canapé, et s’installe sur moi. « Blind taste ? » Mes mains glissent à l’aveuglette sur ses cuisses et j'inspire un peu, il fait soudainement chaud. « Pervers », je souffle, amusé et réceptif. Il dépose ses lèvres sur les miennes un instant et descend ses baisers sur mon torse, jouant diaboliquement avec mon rythme cardiaque qui connait une accélération des plus notables. Le bouton de mon jean saute, et ma main se resserre un peu sur sa cuisse. Inspiration, je sens les vibrations de mon téléphone portable dans ma poche. Il y glisse sa main et quelques secondes plus tard, lance un « Allo ? » sur le ton parfait de la conversation. Je tends l’oreille mais ma curiosité est rapidement satisfaite. « Le nouvel aspirateur Bosch ? Je suis plutôt occupé, je vous passe ma femme. » Il rit et me fourre le téléphone dans la main, j’inspire un peu quand le combiné entre en contact avec mon oreille, lançant à mon tour un « Allo » très peu convainquant et qui manque cruellement de concentration. Sa main s’amuse de la fermeture de mon jean, ma main libre escalade sa cuisse avec empressement, tandis que j’essaye tant bien que mal de me concentrer sur le blabla de la vendeuse au bout du fil, qui ne s’est pas formalisée un instant de ma voix masculine. « Un aspirateur sans sac, vraiment ? » Je me mords la lèvre, fermerai les yeux si je n’étais pas déjà plongé dans le noir. « Ca à l’air formidable. Il aspire tout ? Je crois que mon mari est en train de faire des cochonneries dans le salon. » Je retiens un rire tandis que Tris ne m’aide pas franchement à être cohérent. « Oh, Chéri, la dame me dit qu’il est puissant et facile à manier. Ca alors ! » Ma main remonte sa cuisse et s’achemine doucement sous son t-shirt. Je me mords la lèvre. « Est-ce que tu veux le prendre ? » Je demande à Tris, laissant poireauter la vendeuse qui ne semble pas avoir compris ce qu’il se passe réellement. « C’est pas déjà fait ? » Sa main est trop basse, bien trop basse, et il devient franchement difficile de formuler une pensée cohérente pour la vendeuse qui semble tellement fière de ses arguments. « Mon mari m’indique que nous l’avons déjà pris dans une autre taille. » Elle tique un peu, me demande de quoi je parle. « Désolé, il faut qu’on réfléchisse. » J’inspire tandis que ses lèvres s’emparent de mon cou, laisse tomber le téléphone je ne sais pas trop où et m’accroche à son t-shirt avec un peu plus d’insistance. Ma main libre glisse sur sa nuque pour le forcer à remonter, et je m’empare de ses lèvres, tremblant un peu sous ses caresses. Ma main dérive, l’approche un peu plus et glisse à son tour dans son dos, puis dans son jean. Je mords un peu sa lèvre et soupire, retenant un sourire, entourant son bassin de mes jambes. « Elle te gênait la vilaine vendeuse... » Il se cambre un peu, visiblement amusé, et je me mords la lèvre en signe d'acquiescement. Il se stoppe quelques secondes. « Un commentaire à faire sur la frustration ? » Je souris un peu à mon tour. « Je réfute la théorie... » Il revient vers moi et je me laisse entrainer par l'emmêlement de nos corps sur mon canapé.
Dernière édition par Andrea S. Leroy-Duchesne le Lun 23 Jan - 11:24, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: oh baby, I think I wanna marry you → Andrestan ♥ Dim 22 Jan - 0:31 | |
| Je geeke, c’est la zone, j’ai même pas fait les courses et y’a plus de soupe déshydratée, c’est la fin des séries en streaming, et je vais maintenant devoir payer trois fois par semaine, si je veux suivre et gossip girl, et pretty little liars et glee. Non je ne télécharge pas, c’est illégal voyons. Andrea est parti faire du shopping, une vraie fille depuis qu’on a décidé de se marier, à moins qu’il n’ait un amant. Ne soyons pas pessimistes, il a peut être fait les courses ? C’est pour ça que je ne les ai pas faites, j’ai anticipé le fait qu’il passerait sa journée dehors, et donc qu’il n’aurait aucune excuse pour rentrer à la maison les mains vides. La porte finit par s’ouvrir, et c’est un Andrea de très bonne humeur qui vient enrouler ses bras autour de mon cou et chanter des chansons de BRUNO MARS, à mon oreille. « Oh baby, I think I wanna marry you » Je ris un peu alors qu’il dépose un paquet sur mes genoux, avant de venir s’installer près de moi. « Je devais faire amende honorable, on ne peut pas franchement dire que celle-ci soit digne de toi » Il prends ma main et me vole ma bague de substitution. Je lève un peu le nez et joue les précieux. « Certes, emmène donc cette horreur chez le ferrailleur ! » « Bon sang, qui t’a rendu aussi snob, Tristan Faure ? »J’ouvre un peu le paquet et tombe sur une merveilleuse bague Cartier, prête à concurrence celle à son doigt. Je l’enfile tandis que sa tête se pose sur mon épaule. « Est-ce que je t’ai déjà dit à quel point je t’aime ? » « Très souvent t’en fait pas pour ça, faudrait pas que tu te lasses. » Je ris un peu et dépose un baiser sur ses cheveux tout en paradant avec ma nouvelle bague. « Ca ne risque pas. » « Les bagues Cartier sont elles aussi de très belles preuves d’amour tu sais. »
Je plaisante, ses lèvres viennent rejoindre mon cou, alors que sa main vient briller à côté de la mienne. On a l’air franchement ridicule. « Si le prix et proportionnel à l’amour, alors j’imagine que c’en est une très belle preuve, oui. » J’agite ma main et la repose sur ma cuisse. « Heureusement qu’il n’y a pas de témoins, on a l’air complètement idiots et à deux doigts de se refaire l’intégrale de Sissi impératrice. » Il soupire vraisemblablement amusé par remarque. « En même temps, on va se marier, le ridicule deviendra bientôt notre meilleur ami. On a même déjà un chien. » Hors de question, j’ai un mari génial, je n’ai pas envie de le transformer en ménagère du dimanche. « Est-ce que je vais m'appeler Andrea Faure ? » Bonne question je n’ai pas vraiment eu le temps de me pencher sur ce genre de détail, c’est peut être d’ailleurs le moment. « J’en sais rien je suppose que tu peux garder ton nom de jeune fille... » Je ricane et joue avec une de ses boucles. « Je te préviens, mariage ne signifie pas anéantissement de la vie sexuelle et mievreries, on a une réputation à tenir. » « Un grand sage disait pourtant que la frustration avait du bon, si je me souviens bien. » Je me demande honnêtement de quoi il parle, qui aurait pu sortir une connerie pareille ? « Je ne me rappelle plus son nom, par contre. » Je hausse les épaules et laisse ma main naviguer sur la cuisse de mon amant. « Quoi qu’il soit, il doit bien le regretter, surtout si son copain est dans ton genre... » Mes lèvres pour appuyer mes dires, viennent se poser dans son cou avec une douceur volontaire. « On dirait qu’il a du mal à s’appliquer ses propres théories, en effet. » Je l’emmerde, tout en continuant de caresser sa cuisse. Son bras glisse le long du mien et ses lèvres se déposent sur mon front. Ma main se saisit de mon écharpe que j’enroule autour de ses yeux et attache derrière sa nuque. « Blind taste ? » Je le pousse un peu pour qu’il s’allonge sur le sofa et m’installe à califourchon sur lui. Ses mains me cherchent, et je lui offre un sourire qu’il ne peut pas voir. « Pervers » Je me baisse, viens chercher ses lèvres une minute avant de descendre mes baisers sur son torse. Mes dents heurtent le bouton de son jean qu’elles font sauter avec une certaine dextérité. Son téléphone sonne dans la poche de son jean. Je passe ma main à l’intérieur et décroche. « Allo ? » Une démarcheuse tente de me vendre un tout nouveau modèle d’aspirateur. « Le nouvel aspirateur Bosh ? Je suis plutôt occupé, je vous passe ma femme. » Je ris et colle le téléphone dans la main d’Andrea que j’apporte également jusqu’à son oreille. Ma main de nouveau libre retourne s’occuper de la fermeture éclair de son jean. « Allo» Mes mains défont soigneusement son jean, sa voix elle semble légèrement altérée par mes gestes. « Un aspirateur sans sac, vraiment ? » Je pouffe un peu de rire tandis qu’il se risque à effleurer mes cuisses, nous sommes tout de même un sacré couple de pervers et ce n’est pas sa prochaine réplique qui change la donne. « Ca à l’air formidable. Il aspire tout ? Je crois que mon mari est en train de faire des cochonneries dans le salon. » Ma main passe de son torse à bien plus bas que raisonnable alors qu’il tente sans grande réussite de stopper mon geste. « Oh, Chéri, la dame me dit qu’il est puissant et facile à manier. Ca alors !» Ca alors comme il dit. Mon sourire s’accentue en même temps que mes caresses, il ne devrait pas tenir longtemps comme ça, pauvre vendeuse. « Est-ce que tu veux le prendre ? » « C’est pas déjà fait ? » Je laisse un rire passer la barrière de mes lèvres avant de plonger avec une fougue toute particulière mes lèvres dans son cou. « Mon mari m’indique que nous l’avons déjà pris dans une autre taille. » Une autre taille, ne nous perdons pas dans les détails. « Désolé, il faut qu’on réfléchisse. » son téléphone finit par tomber à terre et sa main s’agrippe à mon haut. Dégagé de son obligation téléphone Andrea s’avère bien plus productif niveau caresses. Je m’approche de son oreille et murmure. « Elle te gênait la vilaine vendeuse... » Je me cambre un peu alors que sa main se veut plus aventureuse. Ses jambes encerclent déjà mes hanches. Je me stoppe un moment. « Un commentaire à faire sur la frustration ? » Je ris et viens chercher ses lèvres alors que nos corps fusionnent sur le sofa de son appartement, back to basics.
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