| Sujet: DSR ◈ I'm such a bitch. Lun 11 Mar - 0:18 | |
| Denzel Swan Rosebury / Kat Dennings → habite à Londres. → âgé(e) de 23 ans. → né(e) le 1er avril 1990 à Londres. → est étudiante en Beaux arts - artiste peintre. → un t-shirt likes boys, likes girls ou bicurious ? bicurious. → est actuellement libertine. | → pseudo : Judith. → âge : 18 ans en août. → comment avez-vous connu le forum ? à vrai dire, je ne sais plus. Il me semble que c'était sur un TopRPG. En tout cas, quand je me suis rendue là, en lisant tout ce qu'il y a à lire, j'avais déjà la sensation que ce devait être un forum agréable. Et le design, la modernité, ohohoh! ♥ → code : [Code bon Jordan] → crédits : tumblr. → de quelle couleur sont les petits pois ? ca dépend, si on les colorie ? |
it's my life, it's now or never J'ai toujours été une personne intelligente. J'aurais pu faire ce que je voulais de ma vie. Mais voila, certains évènements vous amène à toucher le fond, à baisser les bras. Les capacités restent là, mais l'envie de s'en servir... Et bien elle a grandement diminué au fil des années. La tragédie qu'est ma vie a réellement débuté lors de mes 8 ans. Mon père s'est suicidé. Je considère cela comme une période assez troublante et terrifiante de ma vie. Malgré qu'il ait laissé une lettre à mon attention, disant que je comprendrais quand je serais plus grande, que je devais prendre soin de maman, qu'il m'aimait, je pensais que c'était de ma faute. Alors mon petit monde de princesse on pourrait dire, parce que j'étais véritablement traitée comme telle, il a commencé à crouler.
Mentalement, j'ai dû vite grandir. Je me suis rendue compte que ma mère était malade. Qu'elle avait de plus en plus de problèmes, qu'elle devait se faire soigner, qu'elle était la cause du suicide de papa. Je remarquais alors qu'elle prenait des médicaments, mais ca ne semblait pas suffire des fois. Il arrivait qu'elle devienne une inconnue à mes yeux. Heureusement, elle était tout de même souvent dans un état normal, mais je redoutais toujours le moment où elle ferait une rechute. Je profitais toujours du temps que j'avais avec elle. Depuis toute petite, elle m'a fait partager sa passion, la peinture. C'est notre occupation à nous, et sans vouloir me venter, j'y suis douée. Seulement voila, je finissais toujours par la perdre une nouvelle fois dans ses phases dépressives, de manies. Une fois fut celle de trop. Celle que je ne pus supporter, que je ne pus cacher aux yeux des autres. Elle a manqué de me tuer. Ca faisait pas mal de jours qu'elle était amorphe, qu'elle ne dormait plus. Puis elle a commencé à me dire que je ne devrais pas avoir à vivre dans un monde comme celui-ci, qu'il valait mieux de ne pas être vécu. Et elle m'a entrainé vers la fenêtre de notre vaste appartement, au cinquième étage de l'immeuble. J'avais peur. Elle me serrait si fort la main que mon sang ne devait plus y circuler. Les piétons dans la rue, les habitants d'en face, ils commencèrent tous à nous remarquer. Et je me mettais à pleurer. J'essayais de la réconforter, de la raisonner, je savais qu'elle n'était pas elle-même, qu'elle allait mal. Les idées semblaient se bousculer dans sa tête, à essayer de voir le pour et le contre de la chose. Et sans cette hésitation, les pompiers, la police, ils n'auraient pas eu le temps d'arriver et de nous sauver. Je venais d'avoir 13 ans, elle m'avait fait vivre un enfer à ce moment là, mais y a que mon âme-sœur qui sait à quel point je tiens à ma mère, que je ferais tout pour elle.
Les jours suivants, j'ai pu découvrir diverses articles sur ce qui c'était passé, et voir que ca avait amené un certain débat sur la dangerosité des troubles bipolaires. Mes grands-parents on fait en sorte que notre nom ou une photo de nous ne soient pas diffusés. Et ils ont eu ma garde lorsque ma mère s'est faite interner, peu de temps après l'incident, dans un hôpital psychiatrique. Ce sont ceux du coté de mon père, la famille de ma mère est l'héritière d'une longue lignée de malades mentaux... Bien qu'ils aient conservé le luxueux appartement dans lequel je vivais, je suis allée habiter chez eux. Ils étaient de bons millionnaires, tout comme mon père PDG qui m'a légué ses quelques millions. Ca aurait pu être la belle vie mais... J'ai commencé à mal tourner, à avoir une "mauvaise réputation", à être de ceux qui ne sont pas à fréquenter. Ce fut à partir du moment où j'en appris un peu plus sur les troubles bipolaires, où j'appris que cela pouvait être héréditaire. On m'a mis sous l'obligation de voir un psy, pour pouvoir prévenir si la maladie est présente dans mes gênes. Mais je n'avais pas besoin de ca pour être fixée. J'étais persuadée d'être infectée. Alors je me suis dit que le monde est pourri. Pourri jusqu'à la moelle, bien laid, au moins je n'en étais plus déçu. Ouais, je suis devenue d'une nature plutôt pessimiste, je n'envisage pas possible que de bonnes choses puissent m'arriver. Pas à moi ! Alors bon, j'en ris. Je ris de ma vie. Puis je me mets à profiter au maximum, tourne dans le vice de l'alcool, la drogue, et le sexe. Je n'ai pas honte de mon comportement. Les sales langues de vipères peuvent parler dans mon dos, moi je n'en ai rien à battre. Je n'aime juste pas parler de ma mère. Ou de mon père. Ils représentent ensemble l'unique sujet tabou. Autrement, j'ai l'esprit des plus ouvert. Vaut mieux, pour une bisexuelle, libertine, et très, très loin d'être pudique. Pas besoin de vous dire que mon caractère, ma personnalité bien trempée, gênent un peu beaucoup mes grands-parents qui ne savent vraiment plus quoi faire de moi. Dès qu'ils m'ont pris en charge, ils m'ont placé dans une école privée, pensant que ca m'aiderait à avancer. Mais ce qu'ils n'ont pas compris, c'est que je n'ai pas envie d'avancer. Je veux juste profiter de ce que j'ai tant que c'est pas trop la merde pour moi. Alors public ou privée, c'est du pareil au même. J'ai quand même eu mon bac section L au final. Peut être aidé par les relations de mes grands-parents, mais j'aurais pas été dans un sale état, je l'aurais certainement eu mention très bien.
Malgré la honte qu'ils avaient de moi, ils m'emmenaient dans des évènements mondain, pensant que ca me recadreraient un peu. Ils se sont bien foutus le doigt dans l’œil tiens ! Mais en parti grâce à cela, j'y ai rencontré le seul âme-sœur que je n'aurais jamais. Je le considère comme un grand frère, mais je ne pense pas possible que l'amour véritable me tombe un jour dessus, donc. Alexander Macallister. Ce mec la, c'est une perle. Mais je me retiens de le lui dire, il en serait trop fier. On s'est souvenu qu'on trainait ensemble gamin, dans les évènements mondain où mon père m'amenait. J'ai bien changé depuis. Ca nous à vite fait rapproché, mais ce qui a commencé à vraiment nous lier, c'est le soir où je l'ai dragué. J'avais 15 ans à ce moment là. J'avais squatté une soirée avec des gens plus âgés que moi, comme les trois quarts du temps, et je devais avoir plus d'un coup dans le nez avec certainement quelques doses illicites dans le sang. Je suis allée franchement le draguer, j'ai mis mon joli balcon en avant, et je me suis pris un lourd râteau. Il m'apprit qu'il était gay... Je trouvais ca si triste de ne pas pouvoir me faire ce si beau p'tit cul, certainement accompagné d'un bel outil. Au final, ca a bien collé nous deux, on se ressemble un peu. On est vite devenu du genre inséparable. J'suis sa Swan chérie et c'est mon p'tit ange gay. Il me l'a prouvé maintes et maintes fois, mais il y en a une que je ne pourrais jamais oublier. Lorsque ma bipolarité est apparue. J'allais bientôt avoir 17 ans, et bien que je connaissais les symptômes, je ne me rendais compte de rien. Je me sentais moi-même et pourtant, j'étais dans une phase grave d'excitation. Je n'allais plus à mes rendez-vous hebdomadaire chez le psy, je dormais à peine, passais mes soirées à des fêtes, me mettais à travailler comme jamais, à parler tout le temps. Je me sentais bien. Cependant, Alexander avait remarqué mon changement de comportement. Il ne comprenait pas : il ne savait pas ce qui était arrivé à mes parents, à ma mère. Alors il veillait sur moi, prenait soin de moi, et me suivait partout sans que je ne le remarque vraiment. Je devenais un danger pour moi-même et pour les autres. Je ne rentrais plus du tout chez moi, devenais particulièrement irritable pour la moindre petite chose, et commençais à avoir des excès de colère violents. Le moment critique est arrivé à une soirée. Je n'avais encore rien bu, rien pris. Justement, j'allais me fournir auprès d'un dealer. Le problème est que j'avais oublié l'argent. J'ai tenté de le séduire, de l'inciter à m'offrir une dose, juste une seule, mais il ne céda pas. J'étais alors partie quelques minutes et revenais à la charge avec un couteau pour menace. Il en ria. Moi face à lui, je semblais ridicule vu le rapport de force. Il m'ignora donc, ce qui ne fit qu'augmenter ma rage imbécile. Je retournais le couteau contre moi, le bout à à peine un centimètre de mon ventre. J'eus alors la sensation de décrocher avec la réalité. Je ne me rendais plus compte de mes propres gestes. Il me traita de folle, disait que je n'allais pas aller au point de me faire du mal. J'approchais alors la lame par défi, doucement, la sentant percer légèrement ma peau. Alexander débarqua de nul part et m'arracha le couteau des mains. Je devins hystérique, lui donnait des coups, tentais de le mordre pour qu'il me lâche, mais il tenait bon. Il me serra tant bien que mal contre lui, tentant de me calmer, et m'emmena prisonnière jusqu'à la voiture d'un de ses potes qui l'aidait à me maintenir. Ils me conduisirent alors à l'hôpital, et il apprit là-bas ma maladie. Sans lui, je me serais tuée. Ou au moins blessé gravement. Pourtant, je ne devins pas plus sérieuse pour autant. On me prescrit un traitement, mais je ne le respectait qu'à moitié. Je sautais un rendez-vous sur deux du psy, et continuais la drogue encore plus, ce qui n'arrangeait pas mon cas. Alexander faisait en sorte que je calme mes ardeurs, m'imposait certaines limites, ou tentait de veiller à ce que je me soigne comme il se doit. Il se chargeait de moi comme un grand frère le ferait. Mais en tout cas, j'étais devenue la tarée de service, même si j'avais l'esprit plutôt clair les trois quarts du temps.
Cette étiquette m'a suivi dans mes études supérieures. Je me suis dirigée vers les beau-arts après une année sabbatique, et me considère à présent comme une artiste peintre. Alex dit que je suis bourrée de talents, trop peu développé à cause de mes vices, que je suis plus intelligente que ce que j'en donne l'impression. Et il a raison, même si je ne l'avouerais pas. Je suis retournée vivre dans mon appartement luxueux dès ma majorité, qui est un beau grand bordel. Mes oeuvres trainent partout, y a de la peinture sur le sol, les meubles, mes cours sont répartis en pagaille dans toutes les pièces, il doit y avoir une ou deux seringues dans un coin, quelques bouteilles vides dans un autre, mon traitement est planqué je ne sais où... Aujourd'hui, les jours où je suis clean, ou sans crise, se font de plus en plus rares. Mais y en a tout de même pas mal, Alexander y veille... truth or (almost) dare Parce que c'est fun, que ça vous donne un aperçu du genre de situations dans lesquelles votre personnage pourrait se retrouver un de ces jours sur TTR et que ça nous donne, nous lecteurs, un aperçu des quelques réactions que votre perso' pourrait avoir, voici un mini Truth or (almost) Dare. Enjoy ! → Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? "T'as surtout remarqué mon balcon, ouais ! Non merci, j'fais pas dans les pornos."
→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? J'passe la main. On a chacun ses problèmes, pas besoin d'en faire une scène. Et puis, j'la connais pas moi cette fille !
→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? A chaud, j'suis certainement plus bourrée que lui. Ou elle. Alors vas-y, viens là. A froid, j'me dis qu'heureusement j'étais pas tout à fait moi. Répugnant.
→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Étant à Londres, j'vais pas me casser l'cul pour aller jusque Oxford ou Cambridge. Mais ce n'est certainement pas moi qui fera une sortie théâtre. Moi j'veux de l'alcool, de la drogue et du sexe.
→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? "J'ai une vie rempli par le vice et la maladie. La liste de mes erreurs est de ce fait bien trop longue."
→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Ma réputation est déjà anéantie et ma famille déjà brisée. J'ai plus rien à perdre, alors si je devais voler une bague aussi chère, je la revendrais pour gagner du fric, pas pour calmer les ardeurs d'un taré.
→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Stratégique. Mais de toute manière, le jour où "la personne de mes rêves" débarquera dans ma vie, elle a bien le temps d'arriver.
→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Sincèrement, je m'imagine pas vivre bien longtemps. L'alcool et la drogue ont déjà des chances de me finir, et si je termine enfermé comme ma mère, je préfèrerais qu'on me tire une balle dans l'crâne.
→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Daruth ? J'ai pas de problème à être franche et les défis donnent un peu de piment à la vie. (ca rime aussi !) they don't really care about us Enfin, pour conclure cette fiche de présentation, voilà une petite mise en situation concernant les facultés d'Oxford & Cambridge. Quelque soit l'endroit d'où provienne votre personnage, il vous faut répondre aux questions. Nous ne vous demandons pas de longs développements mais vos réponses nous permettrons d'évaluer votre compréhension du contexte et des détails ayant trait au forum. → En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » Cambridge semble la plus sérieuse, et puis là-bas, tu pourras toujours être la Reine des garces.
→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » C'est justement en évoluant dans le JCC que tu pourras devenir une véritable Reine pétasse.
→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Si tu veux être Reine, c'est sûrement pas avec eux qu'il faut que tu ailles. Et puis, ils ne sévissent qu'à Oxford.
→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Bonne question ! Il ne me semble pas cela possible. Surtout que tu te ferais sûrement lyncher en débarquant chez l'ennemi. Mais vas à Londres, c'est le territoire Suisse.
→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »
Dernière édition par Denzel-S. Rosebury le Lun 18 Mar - 18:59, édité 4 fois |
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