 |  Sujet: BCH ♠ Vous en d'mandez encore, et bien écoutez l'histoire de Bonnie  Jeu 27 Oct - 13:06 | |
| Bonnie Callista Hopkins w/ TroianHOTBellisario → habite à Oxford.
→ âgé(e) de 21 ans.
→ né(e) le 09 mai 1990 à Athènes.
→ est étudiante en journalisme.
→ un t-shirt likes boys, likes girls ou bicurious ? Bicurious.
→ est actuellement Célibataire. | → pseudo : Marina (Dites, vous m'aiderez à me trouver un pseudo ?  ) → âge : 19 ans et toutes ses dents. → comment avez-vous connu le forum ? De forum en forum apparemment. → code : OK by Rose→ crédits : Tumblr, SHIYA . → de quelle couleur sont les petits pois ? Euh vert ? |
Dernière édition par Bonnie C. Hopkins le Jeu 27 Oct - 16:38, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: BCH ♠ Vous en d'mandez encore, et bien écoutez l'histoire de Bonnie Jeu 27 Oct - 13:07 | |
| it's my life, it's now or never Il y a des parents qui veulent, à tout prix, maintenir le prestige de l'autorité et qui ne réussissent qu'à installer, dans leur foyer, le spectre hideux de la tyrannie. Ils font, de leurs enfants, des esclaves ou de sauvages petits rebelles. Mes parents se sont rencontrés à Athènes. Premier voyage international pour mon père en tant que diplomate. Troisième jour en Grèce, on l’avait invité à une exposition. Pas très porté Art et peinture, mais poli, il accepta. Lorsqu’il vit ma mère pour la première fois, ils étaient devant un des plus beaux tableaux de l’exposition. Mon père avait déjà bu deux coupes de champagne, et comme on dit, l’alcool délit les langues. Alors quand ma mère lui a demandé ce qu’il pensait de cette œuvre, sans lui avouer que c’était elle qui l’avait fait, il lui avoua qu’il n’était pas fan. Qu’il trouvait même ça moche et pourtant il savait que quelqu’un allait l’acheter (mais ne comprenait pas pourquoi) pour l’exposer dans son salon. Ma mère avait rit et lui avait avoué qu’elle ne comprenait pas non plus, pourquoi ce tableau avait beaucoup de succès. Ils avaient continué à discuter, toute la soirée et avaient passé la nuit ensembles. Ils s’étaient revus plusieurs fois mais mon père devait repartir au Royaume-Uni. Elle avait finit par le rejoindre. Bref, tout ça pour dire que je suis née à Athènes, ville natale de ma mère, mais que nous vivions tous les trois à Edimbourg. Je suis fille unique, très proche de mon père lorsqu’il est à la maison. Mais avec ma mère, c’est plus difficile. Pourquoi ? Elle s’était imaginée que son seul enfant allait hériter de son don pour la peinture et qu’il allait être aussi célèbre qu’elle. Sauf que moi, la peinture, à part en maternelle, ce n’est pas mon truc. Pas du tout. Et pourtant ma mère s’est mis en tête de m’apprendre les bases et ensuite, de laisser mon génie créatif se développer, seul. Ce qu’elle a finit par comprendre, c’est que je n’étais vraiment pas douée pour le dessin et que mon génie créatif préférait écrire des articles sur des faits que j’avais imaginé (vous n’avez jamais entendu parler de l’Aubergine volante ?), plutôt que de dessiner une corbeille de fruits. Vous pouvez imaginer la tête de ma mère quand elle a découvert des mots à la place de dessins. Depuis, elle a décidé de donner des cours à des personnes, sélectionnées d’après leur talent, qui la comprennent. De petits êtres qui la voient comme une sorte de génie et qui squattent beaucoup trop la maison. Ainsi je suis devenue presque inexistante aux yeux de ma génitrice, ce qui me laisse beaucoup de liberté.  Jeunesse. L'âge du possible. Beaucoup plus de liberté même. M’ennuyant à la maison, je m’amusais à l’école, finissant par relever tous les défis qu’on me lançait, faisant toutes les c*nneries du monde, ce qui m’a valu un certain nombre de problèmes de discipline et de comportement, gentiment réglés par l’argent de papa. Mais je vous arrête de suite, je ne suis pas pourrie gâtée, ni une fille à papa, qui passe son temps à faire du shopping grâce à la carte bleue reçu à 6 ans. Je suis consciente que mon dossier est presque exemplaire (notes irréprochables mais certaines de mes frasques y sont notées), grâce à notre fortune cependant ça s’arrête là. Tous les ans, il fallait faire un chèque pour l’école privée, le nôtre était juste plus gros que les autres. Puis mes amis ne s’arrêtaient jamais, inventant toutes les semaines toutes sortes de défis, que je finissais toujours par réussir (avec plus ou moins de casse). Voler des copies ? Fait. Briser un couple pour aider un copain ? Fait. Danser sur la table au milieu d’une réunion ? (Presque) fait. Passer la soirée avec un prof le sexy ? Fait (et personne ne saura ce qu’on a fait lors de cette soirée alors pas la peine d’insister). Tomber amoureuse de celui qui vous brisera le cœur ? Fait. Je crois que c’est celui que j’ai le mieux réussi.  L'amour meurtrier. L'amour infâme. L'amour funeste. Amour. Amour. Unique vie en ce monde. Il était une fois, une jeune fille de 16 ans, nommée Bonnie qui tomba amoureuse. Oh ce n’était pas la première fois mais cette fois-ci, c’était différent. James et moi, on était dans le même lycée. Il avait entendu parler des défis que je relevais toujours et m’en avait lancé un. Je l’avais réussi et la semaine d’après, il m’en avait lancé un autre. Toutes les semaines, pendant quelques mois, il me lançait un défi que je réussissais. Au bout d’un moment, on s’était rapproché, ayant quelques amis en commun. Et un jour, il m’avait embrassé. Suite logique des choses, nous étions devenus un couple. James était presque parfait. Il s’entendait avec beaucoup de monde, il était intelligent et arrivait à canaliser l’énergie que je mettais dans mes bêtises. J’étais complètement folle de lui et il me le rendait assez bien. Jamais je n’aurais pensé que cette histoire aurait pu mal finir. Je ne nous voyais pas terminer notre vie ensembles mais presque. Je ne sais même pas comment ça a pu arriver. Au bout d’un an, il m’avait annoncé que c’était terminé, que finalement il ne restait avec moi que pour le sexe. DING DING DING ! Bonnie vaincue par KO après cette révélation. Il m’en avait fallut du temps pour m’en remettre surtout quand j’ai découvert quelques semaines après, que cela faisait deux mois qu’il sortait avec une autre. Le cœur brisé, j’avançais durement dans la vie. Je finis par me faire une promesse : ne plus jamais tomber amoureuse. Plus d’amour, plus de cœur brisé. Mais cette promesse ne m’empêchait pas de m’amuser. Je sortais encore plus qu’avant, avec ou sans mes amis, rentrant avec des inconnus, me retrouvant dans leur lit. Je privilégiais les relations non exclusives, fuyant le moindre signe de sentiment amoureux, fidèle à la promesse que je m’étais faite. Certes, ce n’était peut-être pas une vie rêvée mais c’était la mienne. « Vivre d’amour et d’eau fraîche. » Tout ça, ce ne sont que des bêtises pour faire croire au Prince Charmant. Ca marche quand on 5 ans, mais pas à 18 ans, surtout quand on a eu le cœur brisé L'âge adulte, la période la moins sûre, la plus dangereuse en tout cas, parce que la moins simple. Comme si l'être humain en vieillissant oubliait le rythme naturel de la vie. Diplômée, je choisis Oxford comme Université, me montrant irréprochable lors des entretiens et mettant mes bêtises sur le compte de la jeunesse. J’étais mature maintenant et décidée à être journaliste. Enfin, mature pour les entretiens et entrer dans l’une des meilleurs universités du pays. Je continuais toujours les fêtes, les défis et les relations d’une nuit, non exclusives, tout en étant une élève presque modèle. J’avais choisi la Littérature anglaise, pour pouvoir entamer une carrière de journaliste, montrer à ma mère que mes mots m’ont emmené aussi loin que ses dessins. J’espérais aussi trouver un boulot, pour avoir mon propre argent et prouver aux autres que je ne suis pas une énième fille de riche, qui a réussi dans la vie grâce à l’argent de ses géniteurs. Qui n’a jamais rêvé d’un peu d’indépendance ? truth or (almost) dare Parce que c'est fun, que ça vous donne un aperçu du genre de situations dans lesquelles votre personnage pourrait se retrouver un de ces jours sur TTR et que ça nous donne, nous lecteurs, un aperçu des quelques réactions que votre perso' pourrait avoir, voici un mini Truth or (almost) Dare. Enjoy ! → Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? "Δεν μιλούν αγγλικά.*" (*Je ne parle pas anglais)
→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Sérieusement ? Je pense que je m'arrêterais un bon moment afin d'observer la scène. C'est bien réel ou c'est une blague ? Qui est assez désespéré pour chanter All by myself, en pleurs, en pleine rue ?
→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Le repousser, lui prendre son verre et s'éloigner le plus possible de lui. Le lendemain, lui parler de son sérieux problème d'alcoolisme avant de prendre définitivement ses distances.
→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Soirée arrosée au Carling à Oxford, avec en prime une nuit avec un(e) inconnu(e).
→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? "Ne pas avoir attendu le mariage, c'est grave ? Parce que là, je ne suis pas prête d'atteindre la paradis."
→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Ca dépend du secret mais je pense que je serais capable de relever le défi de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de mes amis. Après tout, je suis incapable de refuser un défi.
→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Ca fait longtemps que je ne crois plus à l'amour. Si c'est pour se faire piétiner le coeur une nouvelle fois, ce n'est pas la peine.
→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquerfort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Déjà, j'aime pas la nouvelle sauce roquefort-épinards. Mais je viendrais quand même manger dans votre resto moules-frites. Dans 10 ans, je me vois journaliste, voyageant à travers le monde et écrire des tas d'articles, les découper et les envoyer à ma chère mère pour lui prouver que je suis une artiste mais à ma façon.
→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) DARE. they don't really care about us De vous à nous, dîtes-nous. Votre personnage a-t-il déjà entendu parler des Trouble Makers ? Si oui, qu'en pense-t-il ? Désapprouve-t-il de leurs actions ou bien serait-il prêt à tout faire pour qu'ils le remarque ? Rêverait-il même d'en faire partie? Ou serait-il prêt à rejoindre le premier anti-fanclub de ces chers TM? À moins qu'il ne s'en foute complètement de leurs activités (raison à préciser)?
Et le Judging Cambridge Club alors, le connaît-il? Si oui, l'audace dont fait preuve ce groupe l'impressionne-t-il ou le révulse-t-il ? Et leurs critiques alors, les prend-t-il en compte ou pense-t-il plutôt qu'elles ne vous servent à rien ? Votre personnage serait-il du genre à vouloir impressionner cette élite et voire même la rejoindre ou aimerez-t-il au contraire la voir disparaître ?
Qui n'aime pas les ragôts, entendre des rumeurs sur une personne qui lui est chère ou justement qu'il déteste ? Nous avons tous une part d'hypocrisie, qui nous fait parler, lancer des rumeurs (qu'elles soient vraies ou pas) et une part d'auto-mutilation, qui nous fait écouter/lire les rumeurs qui circulent sur nous. Je ne suis ni pour, ni contre les TroubleMakers. Ils ne font qu'écrire ce qui circule déjà.
Pour le JCC, qui à Oxford se préoccupe de ça ?
Dernière édition par Bonnie C. Hopkins le Jeu 27 Oct - 17:06, édité 3 fois |
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