CEC - I'm gonna have it all

Suite d'anecdotes, extraits de journal intime ou autre, choisissez la manière qui vous convient et vous plaît de nous faire connaître votre personnage. On veut tout savoir! Des moments marquants de sa vie à son caractère, passant par ses goûts ou même manies, tout est bon à être connu. Après tout, ce sont les détails qui font le tout. (Un minimum de 40 lignes complètes est demandé.)
ps: Pensez à vérifier votre texte (ortho, grammaire, fautes d'inattention, cohérence, etc...) avant de déclarer que votre fiche est terminée.

« Quelle charmante enfant vous avez là Madame Castelli ! » Je lève la tête vers ma jolie maîtresse et secoue mes boucles brunes en riant légèrement. Ma mère passe une main aimante et attentionnée dans mes cheveux, un sourire de satisfaction flottant sur ses lèvres délicatement maquillées et finement dessinées. Ma petite soeur joue derrière elle, salissant sa belle robe bleue dans le bac de sable de la cour de récréation. Pourtant, nous ne sommes pas là pour jouer, Maman a dit qu'elle avait une réunion avec les maîtres et les maîtresses. Que ça voulait dire qu'il fallait rester près d'elle et être sages. Je fronce donc mes petits sourcils et lance un regard perçant à ma cadette. Je tente de lui faire un signe, mais mon père fond déjà sur elle, l'attrape par la main et la relève sans piper mot, avant de nous rejoindre. Mon enseignante continue à exposer à Maman quelle bonne élève je fais « Elle est si vive, si éveillée, toujours prête à participer, volontaire pour les activités... Vraiment, je ne pourrais rêver meilleure élève, c'est un plaisir de lui faire cours. Elle comprend si vite et elle a une telle joie de vivre. » Ma mère hoche la tête vigoureusement, tandis que Papa approuve avec fierté « C'est vrai ça, c'est notre petit rayon de soleil. » Il lâche la main de ma petite soeur pour m'ébouriffer gentiment les cheveux, suintant d'honneur et de bonheur. Finalement une seconde enseignante apparaît, un peu de nulle part. « Je vous laisse avec mademoiselle Catalano, la maîtresse de Morgana. » La jeune femme est avenante, dit que ma soeur est une petite fille gentille, réservée, bonne élève, bref des compliments mais rien qui n'égale les éloges que l'on m'adresse. Je souris à Morgana, pour la féliciter mais elle ne me regarde même pas. Maman lui caresse gentiment la joue, Papa hoche la tête. « Et l'année prochaine, elle sera dans la classe de Sylvia, il faudra être aussi douée que cette petite Calypso alors ! » Tout le monde rit, je me joins à la partie, Morgana elle, reste silencieuse. Elle n'a pas dû comprendre, elle est tellement petite. Je m'empare de sa main, tandis que nous marchons jusqu'au 4x4 de Papa, qui nous regarde et lance « Callie ma chérie, je suis tellement fier de toi, tu passes en CM1 avec les félicitations de ta maîtresse, elle est très contente de toi. » Ma mère intervient, doucement « Morgana, c'est très bien aussi, tu as été sage et tu as eu de bonnes notes. »

« Papa, je te l'ai dit cent fois et je te le redirai cent fois, non, je ne ferais pas de finance, non je ne ferais pas d'économie. Je fais faire une formation marketing en deux ans et me spécialiser en management évènementiel. Et ni toi, ni Maman, ni le Pape en personne ne m'en empêcheront ! » Je ponctue mon affirmation d'un sourire franc et lumineux, qui parvient généralement à faire passer mon opiniâtreté pour de la détermination, ou de l'ambition au pire. Ma soeur hausse un sourcil curieux, n'ayant visiblement pas la moindre idée de ce que je raconte, admirant simplement le courage dont je fais preuve. Non pas que notre père soit un homme particulièrement effrayant, mais il a tendance à croire que ses décisions et ses avis font office de Table de la Loi et que nous allons obéir sans broncher. C'est un homme d'autorité, qui a simplement l'habitude de se faire respecter et de ne pas voir ses décisions contestées. Mais il a engendré une fille qui a pour habitude d'obtenir ce qu'elle veut. Il en a toujours été ainsi, des cadeaux sur ma liste de Noël, aux rôles dans les pièces du lycée, en passant par les petits amis et la place de capitaine de l'équipe de natation. Je suis moi aussi une meneuse, une femme d'action et d'ambition. Les chiens ne font pas des chats. Ma mère me demande si j'ai bien réfléchi, jouant son rôle de voix de la raison, calme et sage. Je lui sors un dossier parfaitement rangé, comprenant la plaquette du BTS que j'ambitionne, ainsi que le programme détaillé de la licence professionnelle que je vise après ça, bref, un plan d'études pour les cinq années à venir parfaitement rôdé. Et calculé au centime près. Elle sourit doucement, reconnaissant bien là sa fille et tend la pochette à mon père. Il me regarde droit dans les yeux. Nous restons ainsi quelques secondes, puis il baisse les yeux pour lire mes notes, détailler les prospectus, revoir les comptes. Il relève enfin la tête et je sais déjà qu'il cédera. Tout le monde me cède, car j'ai l'agaçante manie d'avoir constamment raison. Je n'y peux rien, c'est ainsi. Autant l'accepter. « Très bien. Mais tu as intérêt à réussir et à ne pas nous décevoir. Si tu échoues, je ne te le pardonnerai pas. » Je ne pense pas qu'il plaisante, j'opine donc du chef d'un air solennel. Je laisse finalement éclater ma joie, après avoir gardé un visage très neutre pendant toute mon argumentation « Merci Papa ! » dis-je en le serrant dans mes bras avec force. Il rit, dérange ma chevelure brune comme il le faisait quand j'étais petite et mon rire se joint au sien. Lui et moi, nous sommes bâtis sur le même modèle. « Morgana va mettre la table s'il te plaît. » Je regarde ma soeur se lever, sous l'oeil tendre de Maman. Ces deux là aussi se ressemblent beaucoup, ma mère prend tellement soin d'elle, la bichonnant et la protégeant de l'écrasante influence que Papa et moi pouvons avoir sur les autres. Morgana est si talentueuse et belle, je ne doute pas qu'elle brille sur les planches comme elle en rêve...

Je jette un oeil au bureau de ma patronne, dont la grande paroi en verre donne évidemment droit sur notre open space. J'éteins l'ordinateur de mon bureau, attrape mon sac. 17h38. Je ne finis pas avant 22 minutes normalement. Mais vu les heures sup que je me coltine - et même pas payées - et les pauses café que je zappe, je pense qu'on me pardonnera. Je n'ai pas envie de confronter ma théorie sur le terrain cela dit, alors je profite de l'absence de ma chef pour enfiler ma veste et filer à l'anglaise, sous le regard complice et attendri de mes deux collègues. Ils me couvriront, Julia est un retard un matin sur deux et Claudio s'octroie régulièrement des week-ends de trois jours, ils ne me blâmeront certainement pas. Et ils savent pertinemment que je fête l'anniversaire de ma rencontre avec Antonio. Et allez savoir pourquoi, mais une cougar et un gay font partie des gens les plus enclins à s'émouvoir de ce genre d'évènement. Ou une déformation professionnelle peut-être. Je quitte donc le bureau et parvient à mon petit appartement très rapidement. Je me change en vitesse, détache mes cheveux et les brosse avec soin, retouche mon maquillage et alors que j'enfile quelques bijoux et une paire d'escarpins pour conclure, on frappe à ma porte. « J'arriveee ! » Je mets un trench du même bleu nuit que ma robe et ouvre la porte, tout sourire. Antonio me conduit dans le meilleur restaurant de la ville et je n'ose imaginer combien il a dépensé, simplement pour obtenir une réservation. On nous assoit et je ne peux pas m'empêcher de sourire constamment. Tout est si parfait. Antonio, lui, moi, mon travail et les perspectives qu'il m'offre. Je n'ai pas échoué et j'ai encore de belles années devant moi. Mon père est finalement pleinement satisfait de mes choix de vie et ma mère chérit mon petit ami comme le fils qui lui manquait. Je n'aurais pas pu tomber sur plus belle perle. Enfin peut-être que si, mais il me suffit. Il est divin. Les mets sont délicieux et il ne s'agite même pas en me regardant consulter la carte avec gourmandise, libéré de tout tracas financier. Il me gâte et je ne saurais m'en plaindre. L'heure du dessert arrive et je n'ai même pas le temps de m'intéresser à la carte qu'un serveur apparaît, avec deux coupes de champagne et une forêt noire à partager. Mon dessert favori. Je regarde Antonio avec un sourire, nous trinquons et alors que je m'apprêtes à boire je remarque quelque chose dans ma coupe. Je m'en saisis délicatement et manque de crier de joie. Une bague. Une bague sublime plus exactement. Et je m'y connais en bague de fiançailles. « Calypso Estrella Castelli, me ferais-tu l'immense joie de devenir ma femme? » demande-t-il alors en s'agenouillant. Tout le restaurant se tait, nous regarde avec une mine émue. Une vieille dame semble être sur le point de pleurer. J'enfile la bague, fais signe à Antonio de se lever et crie « Oui, oui, bien sûr ! » en le serrant dans mes bras. Le personnel et les clients applaudissent avec politesse et émotions. Le reste de la soirée est une sorte de tourbillon de couleurs et d'adrénaline et je ne saurais vraiment relater la suite de cette soirée, pourtant mémorable.

« Bien j'espère que vous êtes prêt. Que vous avez fait le plein de sommeil, que vos thermos de café sont prêts, que vous avez mis votre plus jolie paire de chaussures plates et que vous vous sentez capable de saluer tous les membres de la famille royale avec un air très professionnel. La première qui sourit de trop près au principe Harry, je la vire. La première qui fait des remarques sur la soeur de la mariée, je la vire et je lui colle un procès pour diffamation. La première qui fait un pas de travers je la vire, je lui colle un procès pour trouble de l'ordre public ou un quelconque motif et je fais en sorte qu'elle ne trouve plus jamais de travail dans ce pays. Bon courage mesdames et vive les mariés. » Joan tourne les talons, cale son bloc-notes sous son bras et file faire les derniers réglages. Nous regagnons toutes nos positions, concentrées et fermées, mais arborant un sourire poli et jovial de circonstances. Ce mariage, je ne sais même pas depuis combien de temps nous travaillons dessus. Je ne sais plus combien de journalistes ont essayé de nous corrompre, avec les propositions les plus rocambolesques. Une croisière et £2000 en liquide pour avoir une photo, même floue, de la robe de Kate. Robe que je n'avais pas vu avant aujourd'hui, étant donné que je suis affiliée à l'équipe en charge de la réception. Autant dire que nous verrons la cérémonie à la télévision, comme tout le monde. Mais nous aurons l'immense privilège de voir et de gérer ce que les caméras de télévision n'ont que partiellement le droit de filmer. Enfin personnellement, j'ai choisi les fleurs, avec Kate. Kate Middleton. William a donné rapidement son avis, mais il n'était pas vraiment dans on élément. Le prince William oui, oui. Ca me paraît encore un brin irréel et je suis presque contente que mon mariage n'ai jamais pu voir le jour, si c'est ce qui m'a donné l'occasion d'être dans les coulisses de celui-ci. Je prie tous les dieux que je connais pour les presque jeunes mariés n'aient jamais à rompre leur union. Fort heureusement, je me suis rendue compte que les choses ne marcheraient jamais vraiment entre moi et Antonio avant notre mariage. Cela dit, je m'ennuyais tellement que c'était comme si nous étions déjà un vieux couple. Et nous nous sommes donc séparés d'un commun accord, même si j'étais plus d'accord que lui... Mais l'heure n'est pas aux souvenirs, je dois revoir une dernière fois la décoration avec l'équipe, remplacer quelques fleurs qui font grise mine et me tenir prête. A quoi, je n'en sais rien. Mais nous avons été préparé au plus invraisemblable. Empêcher le prince Harry de trop boire, éviter de parler de Lady D en présence de Camilla, ne surtout pas encourager la princesse Anne à parler équitation ne sont qu'une infime partie de la liste de choses dont nous devons nous assurer. Si les mariés savaient. Enfin, ils savent en vérité, leurs obligations sont tout aussi pharaoniques et grotesques que les nôtres. Au moins, nous sommes tous sur la même longueur d'ondes et ce sera le mariage de l'année. De la décennie. Du siècle même.

« Vous êtes sérieuse? » La secrétaire éclate de rire et rétorque que oui, aux dernières nouvelles « recontacter Mlle Castelli, approuver candidature par téléphone, commence prochain jour ouvrable » signifie bel et bien que je suis prise et que je dois me présenter à mon nouvel emploi dès lundi. Je remercie chaleureusement l'aimable jeune femme, ne sachant pas encore qu'elle vient de m'offrir bien plus qu'un travail de rêve. Il faut dire que travailler sous les ordres de l'irascible Joan ne m'a forcément donné envie de continuer dans cette agence, où l'on m'a clairement fait comprendre que je n'aurais pas de possibilité d'évolutions avant cinq ans. Je veux diriger une équipe, je veux faire vraiment partie du coeur décisionnel, signer les papiers, travailler en collaboration directe avec les couples, les aider, tout organiser de A à Z, en déléguant les tâches. J'ai trop longtemps couru en tout sens pour trouver des serviettes bleu cyan et pas bleu ciel, visiter quatorze locations différentes en moins de douze heures, user mes talons et les pneus de ma voiture pour que le fruit de mon travail rapporte à quelqu'un d'autre. Je veux tenir la barre et même si le service d'organisation de mariage affilié au Claridge est un début prestigieux comme chef d'équipe. D'autant plus que le patron n'est pas désagréable. Il n'est pas dans mes habitudes de flirter avec mes supérieurs, mais Gregory Faure a un magnétisme hors du commun. Notre relation a vraiment démarré très vite et a pris de l'ampleur au même rythme. Nous ne faisons discrets bien sûr, mais comme j'organise le mariage de son fils dans son hôtel et que je le fréquente, il devient difficile de nous cacher. Son ex-femme est clairement au courant d'ailleurs, il n'est pas possible d'être aussi obsédée par la couleur des nappes, ce monstre en jupons m'en veut très clairement. Quand je repense au coup de téléphone qui m'a permis d'arriver ici, aujourd'hui, j'ai du mal à me dire que les choses se sont déroulées si rapidement. Et si simplement, du moins au début. Greg n'est pas l'homme le plus facile à vivre mais, cette relation m'apporte beaucoup plus que celle que j'ai eu avec Antonio, ou avec d'autres. C'est un challenge en quelque sorte, vis à vis de la société, des autres et de nous-mêmes. Notre différence d'âge, sa situation familiale, son caractère, son passé, mes aspirations, mon ambition, mes désirs, autant de choses qui peuvent nous éloigner comme nous rendre plus fort. Tout n'est pas forcément rose en ce moment, mais j'ai bon espoir que nous trouvions un terrain d'entente. Je veux vraiment que les choses fonctionnent entre nous. Il est le premier homme à véritablement gagner mon respect entier et absolu, à se targuer de pouvoir avoir un impact dans mes choix, à me faire réfléchir. Je sais qu'il m'aime, mais je sais aussi qu'il ne me laissera pas devenir l'éminence grise de son existence. Je crois que j'avais besoin d'un homme un peu plus page, d'un homme fort, d'un homme avec une telle aura. D'un homme à ma mesure en somme, qui puisse soutenir ma propre démesure. Je deviens aussi mélodramatique que Morgana. D'ailleurs, il faut vraiment que je passe la voir, elle ne pourra pas m'éviter si je frappe à sa porte, si?

→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? Je décline poliment, j'ai déjà un travail et de toute façon, personne n'accoste les gens dans la rue pour leur offrir un rôle au cinéma, on est pas à Hollywood les enfants.

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Je passe mon chemin, je n'ai pas franchement le temps de m'occuper de la misère du monde. Cela dit si je suis dans un bon jour, je lui offre un mouchoir et je la détourne de la vue de tous, histoire de conserver un peu de sa dignité.

→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Je doute que ma cousine m'apprécie à ce point

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? La sortie au théâtre, sans aucun doute

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Je n'estime avoir rien fait de répréhensible... Peut-être aurais-je dû prendre meilleur soin de ma soeur.

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Etant donné qu'il n'a rien de compromettant à mon propos, je le laisse dire. Et par la même occasion je le dénonce à l'archevêque de Canterburry ou au Vatican, bref, à ses supérieurs hiérarchiques.

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! J'adorerais dire que je me résigne, mais je suis plutôt stratégique en fait. Si je veux quelqu'un, je saurais me montrer patiente, enfin du moins si ce couple est vraiment incompatible. S'il est heureux, je tournerai la page et trouverai moi aussi chaussure à mon pied.

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquerfort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? J'aimerai être mariée, avoir un ou deux enfants, plutôt deux, une fille et un garçon. Et avoir monté ma propre société d'organisation de mariage.

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Je ne joue plus à ce genre de choses depuis longtemps, mais j'étais plutôt du genre dare.

De vous à nous, dîtes-nous. Votre personnage a-t-il déjà entendu parler des Trouble Makers ? Si oui, qu'en pense-t-il ? Désapprouve-t-il de leurs actions ou bien serait-il prêt à tout faire pour qu'ils le remarque ? Rêverait-il même d'en faire partie? Ou serait-il prêt à rejoindre le premier anti-fanclub de ces chers TM? À moins qu'il ne s'en foute complètement de leurs activités (raison à préciser)?
Et le Judging Cambridge Club alors, le connaît-il? Si oui, l'audace dont fait preuve ce groupe l'impressionne-t-il ou le révulse-t-il ? Et leurs critiques alors, les prend-t-il en compte ou pense-t-il plutôt qu'elles ne vous servent à rien ? Votre personnage serait-il du genre à vouloir impressionner cette élite et voire même la rejoindre ou aimerez-t-il au contraire la voir disparaître ?

Je ne connais pas vraiment ces deux organismes, j'ai eu vent de leurs principes par le biais d"Anna et lors de l'organisation du mariage d'Andrea et Tristan. Je ne saurais approuver le vandalisme de ces Troublemakers, après tout, tout est dans leur titre. Mais ce ne sont que des gamineries, je n'y vois rien de particulier néfaste, même si c'est stupide. Quant au JCC le concept m'échappe un peu, mais ils semblent avoir de bonnes intentions. Cela dit pour être honnête, je me fiche un peu de leurs activités.