| Sujet: CJF ♔ you taste like champagne. Lun 7 Jan - 20:06 | |
| calixte james foster w/ tom sturridge → habite à oxford, chez sa petite soeur préférée. → âgé de vingt-cinq ans. → né(e) le 3 juin à Oxford. → est sans emploi pour l'instant. → un t-shirt likes boys, likes girls ou bicurious ? likes girls, too much. → est actuellement célibataire et harcelé par une aristo blonde française et nymphomane. | → pseudo : Nat', la Tornade, la princesse de pacotille, la dramaqueen. → âge : vingt ans, ça y eeest. → comment avez-vous connu le forum ? humpfff. → code : code bon M. → crédits : Tumblr. → de quelle couleur sont les petits pois ? rouges. |
Dernière édition par Calixte J. Foster le Dim 3 Mar - 16:37, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: CJF ♔ you taste like champagne. Lun 7 Jan - 20:07 | |
| it's my life, it's now or never - Citation :
- Sweet child o mine
Elisabeth, Calixte, Rose et Thomas, par ordre d'âge, Calixte, Elisabeth, Rose et Thomas par ordre de grandeur et alphabétique. Dans tous les cas, nous étions les chers enfants du père Foster, reconnu et aimé par tous les croyants du quartier ou nous habitons. Si Elisabeth, Rose et Tommy s'en montraient dignes, je n'en tirais pour ma part que l'avantage des rations supplémentaires à la cantine le jour des frites et le petit surplus de bonbons à Halloween, fêté chaque année malgré le refus express de papa. Chaque dimanche nous nous rendions à l'église pour la messe, habillés comme pour assister à un mariage. « C'est un mariage, disait d'ailleurs notre père, entre Dieu et vous mes enfants, ne l'oubliez jamais. » Déjà à cette époque l'engagement me faisait flipper, c'est pourquoi je m'arrangeais pour sécher le sermon autant de fois que possible. Maladie contagieuse, jambe cassée, punition scolaire... Je crois que jamais un enfant d'Oxford n'a eu aurant de malchance volontairement. Je prenais également un malin plaisir à rechigner devant mon assiette de choux de Bruxelle, allant jusqu'à me faire vomir dans les cas où ma mère exaspérée me forçait à finir mon assiette. Rien de bien anormal, sauf quand on sait que je raffole des choux de Bruxelle.
Nico Teen Love
Nonchalamment appuyé contre le mur du lycée, je tirai avec délice sur ma cigarette déjà à moitié consummée. Je jouais au mec cool, toujours entouré d'une bande de gars tous nommés Steven, Johnny et Chuck, qui s'habillaient tous les jours avec le même tee-shirt trop large et un jean porté sous les fesses. Au milieu de ces ploucs, je paraissais plus élégant, plus intouchable et plus attirant. Je soufflai lentement la fumée, la laissant caresser ma joue alors qu'elle s'envolait vers le ciel. Je sortais juste de deux heures de contrôle de biologie, réussi haut la main mais bien trop stressant pour me passer de nicotine à la fin. Un petit groupe de filles passa devant nous, parlant trop fort, dévoilant trop de peau pour ce mois de mars. Un sourire avenant aux lèvres je m'approchai d'elles. Elles gloussèrent et se laissèrent embobiner par mes mots soigneusement choisis. Je repartis vers mes soit-disants amis trois numéros en poche. « Calixte, ton père arrive. » Sans me tourner vers la route, je passai la fin de ma cigarette à Bob, ou Ben, ou quelque soit son prénom et allais ensuite jusqu'à la chevrolet de mon père. Sur le chemin, je saluai les filles d'un signe de main. « Qui sont ces demoiselles ? » « Des filles à qui j'ai dit de s'habiller plus décemment. » Ma voix transpirait d'ironie, je laissai échapper un petit rire sec avant de m'enfermer dans un silence qui dura vingt minutes, le temps d'arriver jusqu'à ma chambre.
Misery Business
Cinq ans que je bosse comme un taré ma socio et ma théologie. Cinq ans de travail acharné, c'est 49 heures de planchage par semaine, des dizaines de rédaction, un mémoire exceptionnel et les meilleures notes dans toutes les matières. Aujourd'hui j'ai fini mes études, j'arrête. « Hey Calixte, c'est quel exam' qu'on a lundi. » Peu concerné, j'hausse une épaule avant de me rendre à ma voiture. J'ai eu 23 ans la semaine dernière que j'ai fêtés en compagnie de Rose et Thomas, n'ayant pas de nouvelles de mes parents depuis que j'ai claqué la porte du domicile familial le lendemain de mes 18 ans et sachant que je filtre les appels d'Elisabeth. Elle imagine toujours pouvoir me ramener ser le chemin de la raison, le chemin de Dieu. Elle a un peu renoncé depuis que je lui ai fait lire mon mémoire intitulé La religion, un autre produit de la société de consommation ? Ca l'a refroidie. Après cinq ans donc d'études, j'ai décidé de ne pas passer mes examens finaux. A quoi bon, je ne bosserai jamais là dedans de toutes façons. Alors que je roule en direction de mon appartement, je passe devant une boîte de strip-tease appelée le Jame's Club. Alors que je passe là devant tous les jours, je réalise pour la première fois qu'elle porte mon deuxième prénom. Amusé, je m'arrête et m'en approche. RECHERCHE SERVEUR Sourcil levé, j'entre dans le club pour en ressortir avec un emploi qui blanchira précocement les cheveux de ma mère. U-TurnJe sais que j'ai fait pas mal de trucs condamnables dans ma vie. Tourner le dos à mes parents, encourager ma petite soeur à suivre ma route, ne jamais obtenir de diplôme universitaire et gacher le mariage de mon aînée en sont de bons exemples. Pourtant, le souvenir de ce dernier point me fait toujours sourire. La tête ahurie de mon père en me voyant balancer mon poing dans le nez de... du mari de Liz. Le cri indigné de cette dernière, l'évanouissement de maman. Sans parler de ma brillante fuite vers le sud. J'y ai vécu environs une année, passant de villa en villa, de fille en fille. Le rêve de tout homme. Jusqu'à ce que je tombe sur elle. La folle. Jamais je n'aurais pu croire que cette petite poupée blonde deviendrait mon pire cauchemar. Elle était tout ce que j'aime, grande, élancée, et délicieusement moulée dans son maillot blanc Chanel. Je l'ai rapidement abordé, charmé par le cliquetis des joncs en or qui ornaient son avant-bras. Elle s'appelait -s'appelle toujours, malheureusement- Francisca Grimaldi, aussi française et distinguée que son nom l'indique. Oh bien sûr, pas une Grimaldi de Monaco, mais une Grimaldi quand même. Elle a succombé très vite, comme toutes les autres, et nous avons entamé une liaison passionnée et torride qui a duré trois semaines. Ouais, trois semaines, c'est le temps qu'il m'a fallu pour me rendre compte du grain qu'elle avait -a !- dans la tête. Fran est une dérangée. Une dérangée richissime, certes, mais dérangée quand même. Elle passait -PASSE PUTAIN- tout son temps à me harceler d'appels et de sms. Je suis sans le savoir devenu la chose d'une aristo nymphomane. J'ai donc fui vers le seul endroit où je pensais qu'elle ne me suivrait pas (à tort) : Oxford. J'ai rejoint ma ville d'origine, son froid et sa simplicité sans penser que l'autre tarée ferait de même, pour vivre chez ma petite soeur adorée le temps de me retourner. truth or (almost) dare Parce que c'est fun, que ça vous donne un aperçu du genre de situations dans lesquelles votre personnage pourrait se retrouver un de ces jours sur TTR et que ça nous donne, nous lecteurs, un aperçu des quelques réactions que votre perso' pourrait avoir, voici un mini Truth or (almost) Dare. Enjoy ! → Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? Pourquoi pas. Après tout, j'ai pas encore trouvé de taff, j'ai besoin d'argent (parce que même si je suis très content de vivre chez Rose, ça le fait pas de ramener des filles chez sa petite soeur) et acteur ça me semble pas mal comme métier. Ca choppe dans le milieu non ?
→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Ca dépend. Si elle est mignonne, je la console et la ramène chez moi pour lui offrir une autre glace. Sinon, je la ramène quand même chez moi sans la consoler.
→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Ma cousine vit actuellement sous le même toit que moi. J'ai jamais été très à cheval sur les principes, et June est plutôt canon dans son genre, mais je me vois pas lui faire du rentre-dedans. Après, si ça vient d'elle, pourquoi pas hein.
→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Le Caring était, et sera toujours mon endroit préféré sur Terre. J'ai arpenté les bar de de St-Tropez et d'Ibiza, rien n'arrive à surpasser le Carling.
→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Ouf... Honnêtement, je sais pas, j'ai pas grand chose sur la conscience... Tout ce que j'ai fait, je l'assume. A part peut être avoir quitter Oxford sans avertir personne, mais ça c'est pas vraiment un secret.
→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Comme je l'ai dit, j'avais rien à confesser au curé. D'autant plus que le seul que je connaisse, c'est mon père. Situation délicate donc.
→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Ca n'a jamais été un problème et je n'ai jamais eu à me la jouer résigné, stratégique ou éploré. Quand une fille me rencontre, elle s'arrange pour être libre dans la minute qui suit, c'est tout.
→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Mort dans un accident de voiture alors que je roulais à 180 sur la côte basque ou en train de cuire, allongé sur un transat' au bord de la Méditerranée, avec une maison blanche toute en bais vitrée derrière moi. La propriétaire aura vingt-cinq ans de plus que moi, sera très bronzée et très botoxée. Et très riche.
→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Dare. they don't really care about us Enfin, pour conclure cette fiche de présentation, voilà une petite mise en situation concernant les facultés d'Oxford & Cambridge. Quelque soit l'endroit d'où provienne votre personnage, il vous faut répondre aux questions. Nous ne vous demandons pas de longs développements mais vos réponses nous permettrons d'évaluer votre compréhension du contexte et des détails ayant trait au forum. → En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » Ecoute gamine, j'ai été à Oxford pendant cinq ans, tu trouves que j'ai le maintient d'une duchesse ? Sincèrement, si tu veux devenir Reine, va à Cambridge. A Oxford tu tomberas sur des phénomènes comme ma soeur cadette et crois-moi, elle a rien d'une dame de chambre. Par contre je t'avertis, Cambridge c'est pas un cadeau. Etre Reine non plus d'ailleurs. Sois rockeuse, c'est mieux. Et puis en plus, pour être Reine il aurait fallu que ta mère en sois une, et les Reines engagent pas un inconnu pour garder leur gosse quand elle sortent toute la nuit.
→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » Le quoi ? J'en ai jamais entendu parler, ça existait pas à mon époque, mais le nom me dit rien qui vaille. Ca m'aurait sûrement pas plu ça.
→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Ah eux, leur réputation les précède. C'est un groupe de gars qui s'éclate à longueur de temps en faisant les co... des blagues aux autres. Tu vois gamine, à Oxford, on sait recevoir.
→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Négatif ! Sinon, tous les pauvres pigeons qui ont choisi Cambridge voudraient revenir sur leur décision et déserter pour rejoindre nos rangs.
→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »
Dernière édition par Calixte J. Foster le Dim 20 Jan - 9:51, édité 3 fois |
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