JK ♦ I'm a angel of the lord Bitches

La vie de Jay n'est pas palpitante, et n'a pas n'ont plus connu d'évènement très marquant. De son point de vue, il n'y aurait rien à raconter. Ses parents se sont rencontré il y a 35 ans, ils se sont aimé, et se sont marié, avant de donner naissance à Jayson Ketnel premier du nom. Ils lui ont ensuite fait une petite soeur, Margareth, de 3 ans sa cadette. Ils s'entendaient bien, mais sans plus. Enfin vous connaissez les chamailleries classique de frère et sœur, et les coups foireux qu'ils peuvent monter. Le jeune homme a eu une scolarité normale. Ni grandiose, ni catastrophique. Juste de quoi passer la classe supérieur sans se fouler. Il abandonna l'école après le lycée pour travailler comme Bookmakeur avec son oncle. Puis il changea d'employeur, mais resta dans les paris, parce que c'est un métier facile, et que ça paie bien. Petit à petit, il coupa les ponts avec papa et maman, et s'éloigna de sa soeur. Il la revoie une fois l'an, a tout casser.

Ça, c'était pour la version soft. La version moins soft, Jay n'aime pas vraiment l'étaler. Vous savez, c'est comme la confiture, plus on en a, moins on l'étale. A moins que se soit l'inverse? Enfin bref, comme cette tête de bourrique ne vous dira rien, il suffit de le demander aux autres...

Extrait du journal intime d'Ashley Pineapple, 9 ans.
« Le 8 septembre 1992, Cher journal, aujourd'hui, j'ai rencontré l'homme de ma vie. Il s'appelle Jayson, il est dans ma classe, il est grand, il est beau, et il a des yeux bleus trop beaux. Mais genre trop bleus et trop beaux!! Et puis il est super gentil en plus! Il m'a sourit en cours de math, je crois que je suis devenue toute rouge! Trop naze quoi!
Le 27 septembre 1992 Cher journal, mon amoureux est trop génial! Je vais le garder pour toute la vie! Aujourd'hui, on a trop bien discuté en cours d'anglais. On avait un exposé à faire, et la maitresse nous a mis ensemble. Je suis sure qu'elle a fait exprès: ça se voit qu'on est trop fait pour être ensemble. Et l'exposé était trop bien, on avait trop la classe et tout. Je lui ai demandé, et il a pas d'amoureuse. Pas encore, bientôt se sera moi!
Le 30 Octobre 1992 Cher journal, je suis la fille la plus heureuse au monde! Avec Jay, on s'est marié ce midi à la récré!!!! Je suis TROP TROP TROP contente! On s'est même fait un bisou sur la bouche. C'était un peu dégoutant, mais on s'aime, et c'est ça que les grands ils font quand ils s'aiment. Plus tard, on aura trop plein d'enfant, genre... 2 équipes de foot!
Le 20 Décembre 1992 Cher journal, je demande le divorce!!!!! Je le hais! Je le hais! Je le hais! JE LE HAIS! Les filles elles m'ont dit que Jay il leur avait toutes déjà fait des bisous sur la bouche, même après notre mariage! C'est trop un con!! Je l'aime plus du tout du tout! Le pire, c'est que quand je lui ai demandé, il m'a dit « Je suis pas à une seule fille, il faut savoir partager ». Ouais, ben moi je partage pas, je veux plus rien du tout! »

Margareth Ketnel, 26 ans. «  Jayson, il est un peu particulier, je veux dire par là qu'il est très difficile à cerner. Un jour il va être ouvert, et le lendemain il ne va pas décrocher un mot. Même lorsqu'on était enfant, je crois que je ne l'ai jamais compris. Il était très sage à la maison, pas un mot de travers ou plus haut que l'autre. Un ange avec nos parents. Avec moi c'était un petit tyran, il me faisait des crises, m'obligeait à faire mille et une saloperies sous peine qu'il me tire les cheveux, me vole mes Barbies et tout un tas de trucs juste bon à terrifier une gamine de 10 ans. Mais ça va je vous assure, c'était un grand frère un peu tyrannique, mais pas de quoi s'alarmer non plus. Adolescent, son caractère s'est affirmé, il a commencé à dire « merde » aux parents, et il a arrêté de me martyriser. Il s'est éloigné aussi. Je ne me rappelle pas de conversations à cœur ouvert, ou de conversations sérieuse de plus de cinq minutes à vrai dire. Je ne sais pas à qui il pouvait bien parler. Il avait quelques potes, il était même assez populaire -surtout auprès des filles, un vrai Don Juan- mais je ne me rappelle pas d'un ami en particulier, ou de quelqu'un de marquant. Il était assez solitaire en fin de compte. Après le lycée, il est parti de la maison. A partir de là, j'ai commencé à le voir moins souvent. Et puis, il y a l'incident à la boutique de John, notre oncle chez qui il travaillait. Ça a jeté un froid dans la famille, vous n'imaginez même pas. Ça a coupé définitivement les ponts. Depuis, je le vois très peu. Une fois dans l'année, deux si je suis chanceuse. Il a vieilli ces temps-ci, entre les cernes et la barbe de 3 jours, j'ai l'impression qu'il a des ennuis. J'espère que je m'inquiète pour rien... mais connaissant un peu Jay, ça m'étonnerai qu'il vive dans le meilleur des mondes. »

John Farrow. « Le rejeton de ma soeur, c'est une sacrée enflure, et je dis ça en connaissance de cause. Ce gamin est à fuir comme la peste. Absolument pas digne de confiance. Je l'avais pris pour bosser avec moi à l'agence. J'avais besoin d'un peu de repos, à cause de quelques problèmes de santé. Il venait de finir l'école, pas plus bête qu'un autre, je me suis dit pourquoi pas, au moins ça reste dans la famille. J'ai été content quelques temps, et puis il me soulageait bien, jusqu'à ce que je découvre, un peu par hasard, que ce petit con avait truqué des paris, et se servait dans la caisse, sur le dos des clients. Il comptait sur mon état pour que je ne me rende compte de rien. Un beau manipulateur le petit! A peine 18 ans, et déjà malhonnête comme ça, elle est belle la jeunesse d'aujourd'hui! Alors je lui avait demandé ce qu'il s'était passé vous voyez, il m'avait répondu avec une insolence! Je l'aurait bien fait valser d'un bout à l'autre de la pièce, cet imbécile! Mais y avait des clients, c'était pas très professionnel. J'ai jamais rien pu prouvé, et on n'a jamais retrouvé l'argent volé. Alors je l'ai quand même viré. Il a eu l'audace de trouver un job dans une agence à l'autre bout de la rue. Ca m'énervait rien que de passer devant lui! A ce que je sais, aujourd'hui il est toujours Bookmakeur, dans un quartier un peu plus chaud de la ville. Ça m'étonnerait pas qu'il trafiquotte encore, avec les malfrats du coin. De toute façon je l'ai toujours dit, il finira mal! Maggie est beaucoup trop indulgente avec lui, je me demande pourquoi elle lui parle toujours... »


Grayson Franteck «  AAAh Jayson Jayson. Vous l'avez vu dernièrement? Il m'évite. Surtout, vous m'appelez s'il vous arrive de le croiser, que je lui fasse sa fête. Il me doit quoi... 2000 £ , au bas mot. J'avais parié sur un match de boxe dans son boui-boui, j'ai gagné -évidemment- mais il m'a arnaqué sur les cotes. J'aurais du gagner beaucoup plus. Évidemment, en plus des intérêts, et du préjudice causé, on arrive a 2000 livres, facilement. Sa tête est mise à prix dans le quartier, il se montre peu ces temps-ci, et il fait ses petites affaires discrètement. Allez savoir comment il fait pour toujours être en vie, il arnaque tout le monde, sans se soucier de quel type de truand il a en face de lui. Ça doit être ça qu'on appelle le bas-gout. Ou la connerie, j'hésite encore. Ah et en plus de sa petite arnaque à la noix, il me doit aussi 300 £ de notre dernière partie de poker. Ce type est accro aux jeux d'argent, il est bookmaker, et arnaque son petit monde. Il faut vraiment être idiot pour faire ça. Soit il aime vivre dangereusement, soit il n'aime pas vivre du tout, et cherche à se faire buter. Crétin. Et puis c'est quoi ce délire avec son trench coat?! Il l'enlève jamais ce truc?!»

→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? Jayson en star de cinéma, c'est un peu comme une évidence. Il ne faut pas se mentir, il est beau, intelligent, incroyablement charismatique (et modeste avec tout ça). En bref, il a la carrure parfaite pour devenir la nouvelle étoile montante d'Hollywood. Il serait donc certainement très flatté par cette proposition très alléchante. Mais la gloire et la célébrité apporte son lot d'inconvénient: Les fans hystériques, les paparazzis, l'exposition médiatique, et puis il parait que les heures de tournage sont infernale. D'autant plus que lorsque l'on est criblé de dettes -conséquentes- auprès de tous les malfrats de Londres, se payer l'affiche n'est pas l'idée la plus judicieuse qui soit. Jay dirait donc non, cela dit ca ne l’empêcherait pas de regonfler son égo, et de se vanter à qui veut l'entendre ce qui le rendrait encore plus insupportable que la normale pendant 2 ou 3 semaines. Au moins.

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Ce que les gens peuvent être pathétique alors. Et quelle idée de s'afficher comme ça en pleine rue, en chantant comme une casserole. Et puis les larmes et les sanglots, ça donne de l'urticaire à Jay. Par contre, il aurait bien envie d'une glace. Il aborda la jeune femme, avec un sourire de tombeur de circonstance. "Excusez-moi, je n'ai pas pu m’empêcher de remarquer à quel point vous chantiez bien. Attendez, je vais vous débarrasser de ça." Il lui prit la glace des mains, et s'en alla comme si de rien n'était. Voilà, au moins elle avait arrêté de chanter. A la place elle lui gueulait dessus... ce qu'il ignorait magistralement, un sourire aux lèvres,en savourant sa glace.

→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Wooow wow bas les pattes la cousine! Non mais il lui prend quoi à celle là?! Bon d'accord, elle a bu, elle a ce sourire de niaise de fille bourrée comme un trou, qui recherche de l'affection auprès du premier crétin qu'elle croise, mais merde, aux dernières nouvelles l'alcool ça fait pas oublier les liens familiaux! Sa dignité ou l'estime de soi oui, mais pas le fait qu'on partage une grand-mère, les repas de Noël et un héritage! Quoi que la dignité, Jay n'est pas certain qu'elle en ait vraiment. Il suffit de voir le dernier Francky qu'elle a ramené au mariage de leur cousin, pour voir que ses attentes en matière d'homme ne vont pas plus loin que le beauf de base, abonné à la chaîne sport, et dont la seule activité sportive se résume à bouger son gros cul du canapé jusqu'au frigo pour ramener une bière. Enfin la grande classe quoi. Hey mais, c'est à ça que celle blondasse identifie Jay?! Merde alors... Outch l'égo. Tiens, il va prendre une autre bière, ça fera digérer ce magnifique incident...

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Hum... et bien c'est à dire que ça dépend. Y a de la bombasse au Carling ou au Fez Club? Le théâtre, c'est pas top pour pécho, en général les gens y vont en couple. Alors bon, les coups de poing d'un mari jaloux ça le tente assez moyennement. Croyez-en son expérience, ça n'a rien de très agréable, des doigts qui atterrissent dans votre nez, ou dans vos dents. Et puis ça nuit au sourire Colgate en plus. Quant à la soirée Geek, merci mais il repassera. Un samedi soir, il y a quand même plus sympa à faire que de battre Adam ou Sean à Mario Kart, surtout que c'est trop facile. Non, le samedi soir, Jayson part en chasse, il arpente les clubs à la recherche de... de quoi au juste? Elles représentent quoi les filles qu'il se fait? Ah oui, rien c'est vrai! Mais un homme a des besoins il parait alors...

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Mais quelle idée d'aller au confessionnal franchement? Jay ne croit pas en Dieu, le peu de conscience qu'il a n'a pas besoin d'être soulagée, et encore moins étalé comme ça. Le déballage de sentiment le fait sourire gentiment et lui donne la gerbe, comme dirait la chanson. Alors pourquoi il est là en fait, parce qu'il a vu de la lumière alors il est rentré? Sans doute. Je ne vois pas d'autres explications logiques. Mais bref, il était bien et bien là, alors autant parlé. Etre un con tout le temps c'est épuisant à force, autant relâché les rennes. "Il y a eu Jody, Amy, Sam, Ellen, Jo, Cassie, Rose, Meredith, Hannah, Victoria, Bella, Suzie, Stephany, Emily, Naomi, Carol, Cassie, Tia,... et je vous passe celles dont je connais plus les noms. Je sais pas comment je passe pour un gars bien, c'est pas le cas. Je veux dire, je ment, je vole, je triche, je trompe, et je m'en fous. C'est marrant 5 minutes, c'est une vie facile, mais au fond... je me sens vide. Pas que je veuille changer. C'est un fait c'est tout" Mais pourquoi il raconte ça au juste? Non mais n'importe quoi! "Hum bref voilà. Ravi d'avoir discuté...plus ou moins. Au revoir!" Et il s'éclipsa le plus vite possible!

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Ah zut alors. Après une longue réflexion, faites de doute, de pour et de contre, qui dura environ 10 minutes -le maximum que sa conscience lui accorde- il décréta que sa réputation était beaucoup plus importante que les fiançailles de Peter. Il irait donc voler la bague. Par la même occasion, il sauverait la vie de Peter d'une longue et douloureuse agonie au côté de sa future femme. Pas de bague, pas de fiançailles, pas de mariage: une vie palpitante tendait de nouveau les bras à Peter, en le libérant de son fardeau! Merci qui?

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! La fille de ses rêves, c'est un peu exagéré, mais c'est vrai qu'elle a un corps de rêve, il serait dommage de laisser passer une occasion pareille, surtout vu les regards de braise, enflammé et langoureux qu'ils se lancent dès qu'ils se croisent. Si cette fille veut gouter au Jay, il serait ravi de la laisser en prendre une bouchée. Il se la jouerait donc stratégique. Pas besoin de mettre le petit copain jaloux entre eux deux. Ils auraient largement le temps de "faire plus ample connaissance" pendant qu'il travaille, qu'il rend visite à papa/maman ou quand il promène le chien... Un petit clin d'oeil par là, un effleurement de main, deux trois sous-entendus, et elle serait à ses pieds. Pouf, comme ça.

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Ses projets se limitent à peu de choses: être plus beau, plus séduisant, plus riche, et surtout ne jamais jamais jamais tomber dans les filets d'une fille. Pour résumer: rester le même, droit dans ses bottes, aucun petit changement majeur à l'horizon. Si, il aimerait bien changer d'appartement. La tuyauterie fait un peu trop de bruit, et ses voisins sont insupportables. Sa vie est parfaite non, alors pourquoi en changer?

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Dare, évidemment! Truth, c'est pour les andouilles sentimentalistes..

→ En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » Tu vois, pour devenir Reine, il faut que tu épouses un prince. Des princes, il en a des beaux, des laids, des intelligents, des moins intelligents. Enfin tu vois quoi: Il y a Harry, et William . Tout dépend duquel tu veux épouser. Si tu veux épouser un Harry, alors Oxford est sans doute mieux. Si tu veux épouser un William, alors Cambridge est toute choisi. Une différence de standing, de rigueur, tout ça tout ça. Mais si tu veux mon avis, c'est en allant dans l'université de ton prince, que tu auras le plus de chance. Comme Kate.

→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » Et bien tu vois, Cambridge est une université très stricte, un peu coincé du cul si tu veux mon avis. Surtout ne vas pas répéter ça à ta mère. Et pour maintenir l'ordre, et faire en sorte que tout les étudiants restent dans le droit chemin, celui de la vertu, du travail acharné, et du bon goût, il y a le Judging Cambridge Club. Il vaut mieux les avoir comme ami que pour ennemi, sauf si tu trouves ça drôle d'être considéré comme paria de toute l'université. Tu connais Gossip Girl? C'est ça, mais en pire.

→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Pas tout à fait. Eux tu les trouveras à Oxford. C'est un groupe clandestin, au contraire du JCC, et ça se comprend par leur action peu recommandable. Ils ont des valeurs un peu différence. Point d'excellence, de savoir vivre, d'étiquette à respecter. C'est le désordre pour le désordre, le chaos pour le plaisir. Une belle équipe de champion, qui rend la vie à Oxford bien sympathique...tant qu'ils ne décident pas de faire de ta vie un enfer

→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Ah je ne crois pas non. Si tu vas à Oxford, puis que tu décides de changer pour Cambridge, je doute que le JCC soit très tendre avec toi. Inversement, une petite Cambridgienne qui se retrouve à Oxford... C'est du pain béni pour ces grands méchants Troublemakers.

→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »