SAJ - Make the best of every time dude ! [Terminé | Lutte pour l'avatar x) ]

Je suis né le 26 Juillet dans un village perdu d’Ecosse. Mon père Bill Johnson, était un fermier comme on en voyait partout dans le fond de la plaine. Il était le portrait craché du fermier de base, assez ignorant sur le monde extérieur et les grandes villes, il était d’une paranoïa sans pareil quand il traiter avec les « smoking-men » comme il aimait les appeler. Autrement dit les divers représentants des usines voulant acheter ses produits. Pour lui les gens des villes étaient tous mauvais, emplis d’hypocrisie et de mauvais fond. Enfin c’était toujours mieux que son fond de bouteille cela dit. Il lui arrivait de rentrer complétement déchiré, mais ce n’était pas bien méchant, il était juste ivre mais en aucun cas il n’était agressif avec nous, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Non mon père aimait sa famille, pour lui la famille était une valeur sure. Donc un fermier bien reclus dans ses principes et ses idées. Ma mère Katty était la meilleure des mères, douce gentille elle arrivait à voir le bon en chacun quand bien même ce dernier était le pire des enfoirés, c’est une qualité rare que j’ai hérité, enfin à défaut que moi c’est plus de l’insouciance pure et simple. Elle aidait mon père dans ses travaux, et s’occuper de la maison entre temps. Bref je grandis dans un milieu tout à fait serein.

Mais comme les happy-end n’existe pas, il a bien fallu que drame se passe. Et pour cause J’étais gay, et cela ne faisait pas bon ménage avec les fermiers qu’étaient mes parents. Moi qui pensait qu’il m’aimer ben je me suis vite rendu compte que l’amour a ses limites que même les parents ne peuvent franchir. Ce fût donc à l’âge de 17 ans que je fus expulser de chez moi, enfin expulser carrément mis dehors avec quelques droites de mon père, qui refusait dorénavant d’entendre parler de moi. Je me rappelle de ma réaction comme si c’était hier, j’avais une telle haine en moi, je voulais leur cracher au visage a tous les deux. Je partis donc errant une bonne semaine dans la plaine, dormant dans la forêt, me lavant dans les rivières. Ben quoi quand on est fermier, et qu’on a grandis dans la campagne on apprend à se demmerder comme on peut. J’avais par la même occasion arrêter les cours en même temps je n’avais pas trop le choix cela dit. Et ce fut au bout de quinze jour que je pris une énorme décision, celle de partir pour une grande ville. Après tout il fallait que je trouve de quoi me rapporter de l’argent sinon j’allais être dans une misère. Et pour cause une fois arrivé en ville, j’étais complétement perdu, bon n’allez pas croire que j’avais jamais vu de ville, mais comment dire quand on voit à perte de vue des pâturages des champs de la verdure, arrivé ici avec autant de monde dans les rues, voir toute cette agitation, c’était juste… magique ! J’humais les différentes odeurs que cette ville dégageait, tout était grandiose. Mais ce n’était pas comme ça que j’allais me faire de l’argent, j’entrepris donc d’essayer de trouver un petit boulot, et c’était chose ardue, car que voulez-vous qu’un fermier fasse comme boulot dans une ville !? Ils n’avaient pas de champs à labourer, pas de vache à traire, rien de tout ça. Autrement dit je connaissais absolument rien d’utile pour ma situation.

Ce fut pendant ma marche emplis de penser, que l’idée me parvint, un monsieur venait de faire tomber son portefeuille, naturellement je le ramassais et l’appela pour le lui rendre. L’homme était choqué, à croire que ça l’étonnait que je le lui rende !? Avant de me remercier, il me dévisagea complétement, je ne le cache je trouvais ça plutôt impoli de sa part. Il reprit son du et avec un sourire assez effrayant me demanda « Tu ne rechercherais pas de travail par hasard ? » Quelle chance je faisais une bonne action et l chance me souriais, je lui rpeondais qu’effectivement j’en cherchais un mais que je n’avais aucun talent particuliers hormis savoir m’occuper d’un champ. « Oh un fermier a ce que je vois ? Tu dois etre musclé je me trompe ? » Je rougis, bien sur que je l’étais, va porter des botte de foin toute la journée sur les épaules, le travail au grand air, il n’y a que ça de vrai ! Il me tendis une carte me disant de venir faire un tour ce soir, histoire de voir si ça pourrait me plaire, et partit aussitôt.

Je ne savais même pas où était-ce, ni même ce qu’li faisait la bas, mais une chose est sur ce monsieur me donnait la chance d’avoir un job, je n’allais pas la refuser. Avec tant bien que mal, le soir même je réussis a trouver le dit endroit. C’était un bar avec une enseigne fluo rose, ça faisait assez oléolé, en même temps pour moi tout faisait oléolé à cette époque. J’avais montré la carte au vigil qui me terrifiait, et il m’avait laissé entrer. Du vestiaire on pouvait entendre la musique se déchainé, et les cris plutôt festifs d’une multitude de femmes. J’ouvris le rideau qui séparait la salle principal du vestiaire, et surpris de constater l’endroit j’en restais la bouche ouverte. C’était un club de strip-tease ! Plusieurs hommes se tenait sur différent podium entrain de danser bizarrement, devant des femmes qui hurlait des obscénités sans bornes, et mettant des billets dans ce qui devait être leur sous vêtement. L’homme de ce matin-là, me remarqua et passant son bras autour de mon épaule, il me gueula dessus avec son haleine emplis d’alcool. « Alors qu’en dis-tu !? Ça te dirait de travailler ici ? 100 livres la soirée, et tout ce qui rentre dans ton futal reste à toi. » Autrement dit, j’étais à coup sur payé 100 livres, et ensuite tout ce que je pourrais gagner était à moi ? Je venais de mettre la main sur une mine d’or excepté deux trois petites choses. Lui répondant que j’étais très tenter, malgré le fait que je n’y connaissais absolument rien, et que je n’étais même pas majeur, il m’interrompit brusquement en mettant la main sur ma bouche. « Ton âge je ne veux pas le savoir, tu s besoin d’argent je te propose une solution. Tu sais je ne fais pas cette offre à n’importe qui, tu as du potentiel tu sais » Potentiel ou autrement di j’avais un corps adéquate au métier de strip-tease. Foutu pour foutu j’acceptai son offre. Et c’était partit pour tout un entrainement, le matin j’avais rendez-vous avec Tony le type a la carte, pour qu’il me montre les mouvements de base et que je répète avec lui, le soir je donner mon premier show. J’étais terroriser, et les cris ne me calmèrent guère. Quand j’entendis Tony qui finissait la présentation du petit nouveau, c’est-à-dire moi, il fallait que j’entre en scène. C’était un collègue qui me poussa sur la scène, et ce fut le drame. J’avais les yeux écarquillé, l’impression de fondre devant des centaines de gens déchainé. J’étais tétanisé.
Par chance le cri d’une des spectatrices me fit revenir à moi, et c’était partit tant bien que mal pour amuser la foule. Je faisais les mouvements que Tony m’avait appris le matin, ils étaient plutôt simple comparé a ce que faisais les autres, et je m’étonnais de la facilité donc j’avais pour remuer mes reins de cette façon. Une femme mis sa main sur l’élastique de mon micro-boxer, au début j’avais super peur mais voyant qu’elle y déposait seulement un billet cela ne me donna que plus d’ardeur.
Et c’est ainsi que ma carrière à commencer, j’ai travaillé pour Tony durant 3 ans, m’ayant fait une nouvelle famille entre les gars qui bossait avec moi, Tony que je voyais comme un père assez particuliers mais un père tout de même, les clientes fidèles du club qui me courrait désespérément derrière quand bien même elles étaient au courant de mes penchants. J’étais Silas Ashe Johnson, streap teaser, et j’adorais ça. J’adorais tellement ça que je décidais de tenter l’expérience ailleurs, direction la capitale d’Angleterre, Londres. Tony avait même appeler un club qu’il connaissait bien, pour leur demander si il voulait une nouvelle recrue, bref il m’avait arrangé le coup.

Cela fait maintenant un an que je suis à Londres, âgé de 21 ans, je m’amuse toujours autant dans ma petite vie, entre mes sorties, mes amis, mes délires.

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→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? « Oh mon dieu c’est le plus beau jour de ma vie ! J’vais devenir célèbre ! » Puis je le regarde de haut en bas et ajoute avec une touche de cynisme dont j’ai le secret « Sérieusement ? Essayer de manipuler des jeunes pour te remplir les poches tu n’as pas honte » Et trace ma route.

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Vu que je suis super débile, et que j’adore m’amuser, pourquoi ne pas la rejoindre et chanter avec elle pendant deux minutes. Après tout je m’en fiche j’connais personne et puis qu’est-ce que j’en ai a foutre du regard des gens ?!
→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? Une phrase comme très clair et net : « Dégage tu fais ça t’es mort »

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Forcément une soirée geek avec mes potes et des jeux vidéo, sans oublier les bières

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? « Pardonnez-moi mon Père j’ai pêché…. Une truite ! » Et je me tire, je n’ai absolument aucun besoin de rédemption ou d’un quelconque pardon.

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Mais qu’est-ce que j’en ai à faire qu’il brise ma famille, elle ne me parle plus, un secret qu’il s’éclate j’assume tout, et franchement la bague de fiançailles d’un ami, ben si c’est son truc pourquoi pas hein. En gros je ne réagis pas j’en ai strictement rien à faire de son chantage.

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Oula, alors là si je souhaite vraiment cette personne je finirais par l’avoir, en amour comme à la guerre tous les coups sont permis. Mon pauvre ou ma pauvre concurrente risque fort de s’en mordre les doigts et d’avoir regretté de s’être mis sur ma route, car oui bien entendu je l’aurais prévenu des vus que j’ai sur son copain. A moitié fair-play a moitié manipulateur, voilà comment on gagne la guerre !

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Dans dix ans, je serais surement est encore strip-teaseur, après j’adore ça cet univers de fêtes de no-limite. Mais des choses auront changé c’est sûr, j’aurais déjà surement une relation longue sous le bras, un meilleur appart, voir même une maison, un chien et une voiture de sport noir. Après je resterais fidèle à moi-même avec un peu plus de plombs dans le crâne je pense.

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) Dare

→ En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » « Ecoutes ma petite j’ai une tête à avoir fait des études !? J’peux pas t’aider pour ça » Et en plus j’aime pas les gosses.

→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Cambridge Club ? » Là je perds patience « Mais qu’est-ce que j’en sais moi de ton truc !? Continue tu file au lit maintenant tu matte Gully tranquille et tu me fiche la paix. »


→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» « C’est toujours d’actualité »

→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » « Probablement, si t’as l’argent qui va avec, et les notes nécessaires je pense que ouais tu pourras »

→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »

[Vous en faites pas j’ai lu et relu le contexte trois fois histoire de bien capter tout ça xD]