Sujet: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 22:51 jessalynn elsy morgan w/ jane levy → habite à Cambridge. Situation récente cela dit puisque si elle y est, c'est avant tout pour le tournage du film des Maraudeurs.→ âgé(e) de 24 ans, elle est encore toute jeune et a encore beaucoup de chose à apprendre de la vie.→ né(e) le 28 février 1989 à Portsmouth.→ est caméragirl sur le film des Maraudeurs. Oui, elle est tout en bas de la hiérarchie, mais il faut bien commencer quelque part. Même Steven Spielberg a bien dû commencer par quelque chose dans ce style.→ un t-shirt likes boys , likes girls ou bicurious ? Il ne lui aura pas été facile de s'avouer son attirance pour les femmes. L'avouer aux autres aura été une épreuve de plus, mais le plus difficile reste de l'avouer à ses parents, cela lui semble impensable et impossible.→ est actuellement amoureuse, très certainement, bien que de l'avouer ne soit pas chose si aisée. Mais, quand bien même elle tente de se persuader du contraire, il s'agit là d'un amour à sens unique, ce qui fait d'elle une célibataire désespérément amoreuse.
→ pseudo : WestZone.
→ âge : 24 ans.
→ comment avez-vous connu le forum ? Par bazzart il me semble, mais cela fait un moment déjà, du coup je ne suis pas sûre de moi
→ code : you're right girl -henry.
→ crédits : Tubmlr.
→ de quelle couleur sont les petits pois ? Les petits pois sont rouges !
to be or not to be VIDEOWhat if while I’m waiting, I meet someone who is ready to give me what I want from you?
Le sourire qui s'étend d'une oreille à l'autre. Les yeux remplis d'étoiles. Le bonheur à l'état pur, celui qui chasse tous les mauvais moments, même s'ils ont été nombreux. Celui qui réchauffe le coeur dans les moments difficiles. Ce bonheur, c'était exactement ce que la petite Jessalynn pouvait lire sur le visage de ses parents lorsqu'elle regardait cette photo, prise le jour où ils l'avaient ramenée à la maison. Ce jour-là, les couleurs de peaux et de cheveux n'avait eu aucune importance. Personne ne s'était soucié de savoir pourquoi elle avait la peau si pâle et pourquoi ses cheveux prenaient déjà une teinte orangés alors que son père était noir et que sa mère possédait une chevelure ébène. Il n'avait été question que d'amour, pour ce couple qui avait eu tant de mal à avoir un enfant. C'était ce que Jessalynn pouvait voir sur la photo, c'était ce que ses parents n'avaient jamais cessé de lui répéter, pourtant, assise sur son lit, la photo dans la main, elle ne semblait pas transie par le bonheur, mais plutôt animé par le doute. Passant devant sa chambre, dont elle avait laissé la porte ouverte, sa mère l'aperçu et vint la rejoindre, s'asseyant à ses côtés. Jessalynn releva alors légèrement la tête pour la regarder. « Qu'est-ce qu'il s'est passé à l'école? ». La petite fille baissa de nouveau la tête. Depuis qu'elle était rentrée de l'école, elle s'était réfugiée dans un certain mutisme, ne voulant pas accabler ses parents. Elle n'avait pas voulu lui parler de ce que ses camarades avaient insinués et du mal que cela lui avait fait. Mais maintenant qu'elle se retrouvait seule avec sa mère qui semblait inquiète, l'idée de ne rien lui dire la mettait encore plus mal à l'aise. « Pourquoi je ne vous ressemble pas à papa et toi? ». Elle s'arrêta un instant, regardant alternativement sa mère et la photo qu'elle avait toujours dans la main. Mais s'est en fuyant le regard de sa mère qu'elle reprit la parole. « Il y a un garçon à l'école qui dit que ce n'est pas possible que papa soit mon père, que tu as dû le tromper. ». Bien qu'elle ait réussi à s'exprimer d'une seule traite, elle avait la voix tremblante. Elle ne voulait pas croire ce qu'on lui avait dit, peut-être parce qu'elle était témoin de l'amour qui unissait ses parents depuis huit ans, mais elle ne pouvait s'empêcher de se poser des questions malgré tout. Voir sa mère baisser le regard ne l'aida pas vraiment. Mais très vite celle-ci releva les yeux pour regarder sa fille avec un léger sourire. « Ce qu'ils disent est faux Jessalynn, je n'ai jamais trompé ton père et ton père ne m'a jamais trompé. ». La petite fille sembla alors rassurée, comme si on venait de retirer un poids de ses épaules. Mais le ton dans la voix de sa mère avait laissé sous-entendre qu'il y avait autre chose. Quelque chose qu'elle se retrouvait obligée de lui dire, mais qu'elle ignorait comment. Ainsi, un silence pesant s'installa entre la mère et la fille. Un silence que Jessalynn avait trop peur de briser. Finalement, le courage sembla revenir chez sa mère. « Tout ce que tu dois retenir Jess', c'est que tu es notre fille et qu'on t'aime plus que tout au monde. Promets-moi que c'est tout ce que tu retiendras de ce que je vais te dire. ». Et dans les yeux de sa mère, la petite fille semblait deviner une légère crainte. Comme si elle avait peur que ce qu'elle était sur le point de lui révéler allait tout changer. Elle se contenta d'un signe de tête pour répondre à sa mère. Rien ne pourrait changer le fait qu'elle les aimait aussi de toutes façons. « Il m'est impossible d'avoir des enfants Jessalynn. C'est un don dont j'ai été privée. Si tu ne nous ressembles pas Jess', c'est parce que tu n'es biologiquement pas notre fille, tu as été adoptée, quand tu avais à peine deux semaines. Et quand bien même je ne t'ai pas portée en moi pendant neuf mois, je t'ai aimé avant même que tu n'arrives dans nos vies. Et je sais que c'est pareil pour ton père. Tu n'es peut-être pas de notre sang, mais tu es notre fille, quoi qu'il arrive. ». Les larmes étaient montées dans les yeux de sa mère et la petite fille ne semblait pas réagir, ne sachant pas vraiment ce qu'elle devait faire de cette révélation. Elle n'avait jamais manqué d'amour venant de ses parents. Jamais elle n'avait pu ressentir le fait qu'elle n'était pas de leur sang, qu'elle avait été pour eux le dernier recours, celui qu'on utilise quand la médecine ne peut pas nous aider. Elle les aimait plus que tout, mais surtout, elle savait qu'ils l'aimaient en retour. Alors, bien que cette vérité soit perturbante et amenait bon nombre de questions avec elle, il y avait une chose dont elle était certaine. Peut-être qu'elle ne leur ressemblait pas, peut-être qu'ils ne partageaient pas le même ADN, mais ils n'en étaient pas moins ses parents. Et pour apaiser la crainte qu'elle lisait toujours dans les yeux de sa mère, elle alla se lover contre elle, passant ses bras autour de ses hanches. Sa mère laissa alors couler ses larmes en silence, sachant que tout irait bien.ƺƺƺ La mine de son crayon glissait sur sa feuille avec délicatesse mais avec peu de précision, transformant ce qui aurait dû être un croquis en vulgaire dessin d'enfant. Ce qui n'empêchait pas Jessalynn de continuer à donner des coups de crayon, l'air absent. La tête tournée vers la fenêtre, elle n'accordait aucune attention au professeur qui était en train de cracher son cours, comme on crache une poésie qu'on a apprise par coeur. Elle préférait observer silencieusement le groupe d'ami qui discutait à l'ombre d'un arbre. Parmi eux, la blonde au sourire mystérieux semblait l'intéresser plus que les autres. Elle ne savait absolument rien d'elle si ce n'était qu'elle avait un sourire magnifique et qu'elle semblait vouloir attirer l'attention des autres sur elle. Le genre de fille qui ne manque pas d'assurance, sans aucun doute. Tout son contraire, elle qui avait bien du mal à faire entendre sa voix et qui préférait qu'on l'oublie plutôt qu'on raconte n'importe quoi sur elle. Et il y avait de toutes façons peu de choses à raconter à son sujet, quand bien même certains inventaient des histoires. Parce qu'ils ne pouvaient la supporter. Soit disant qu'elle était trop sérieuse, trop travailleuse, trop secrète pour être honnête. « Jessalynn, pouvez-vous répéter ce que je viens de dire s'il vous plait? ». L'adolescente sursauta alors en entendant le professeur s'adresser à elle. Elle était bien incapable de lui répondre, n'ayant rien suivi, ce qui fit rire ses camarades, bien évidemment. Mais pour une fois, la chance sembla lui sourire lorsqu'elle entendit la cloche sonner. Elle ferma les yeux une fraction de seconde en soupirant de soulagement, ramassant ses affaires et quittant la salle de classe en hâte. Malheureusement, lorsqu'on ait au lycée, bien souvent, les salles de classe sont un paradis comparé à l'enfer qui nous attend lorsqu'on marche dans les couloirs. Ce fut le cas cette fois là en tous cas. À peine avait-elle ouvert la porte de son casier que déjà quelqu'un la refermait violemment. Une fois encore, elle sursauta. « Alors Morgan, qui est la pauvre fille que tu étais en train de reluquer cette fois? ». Une réflexion qu'elle se prit de plein fouet. Depuis quelques semaines maintenant, il semblait que le lycée tout entier ce soit mis à douter de sa sexualité. Tout simplement parce qu'elle avait été surprise à fixer une de ses camarade lorsqu'elle se changeait après le cour de gym. Un incident qu'elle avait jugé d'anodin, mais auquel le reste de l'école avait apporté beaucoup d'intérêt. Un regard mal placé et elle était devenue la cible de leurs railleries. On lui avait dit qu'ils se lasseraient, qu'ils passeraient bientôt à autre chose, mais en attendant, cela faisait mal. « Ne joues pas les timides et dis moi qui c'est, comme ça je pourrais la prévenir de ne surtout pas s'approcher de toi. ». L'adolescente ravala ses larmes, refusant de leur donner le loisir de la voir pleurer. Je ne suis pas lesbienne, j'aime les garçons . C'était ce qu'elle se répétait en boucle dans sa tête, comme si elle cherchait à s'en convaincre autant qu'elle ne cherchait à les convaincre eux. « Je ne reluquais personne. ». Elle avait parlé, mais faiblement. Elle n'avait pas l'assurance de cette jolie blonde qu'elle avait vu et elle était bien souvent démunie quand elle devait faire face à ces élèves populaires qui semblaient régner en maître dans le lycée. Et tout ce qu'elle réussit à faire fut de les faire rire. Malgré tout, elle avait dû les ennuyer suffisamment pour qu'ils décident de tourner les talons et la laisser tranquille. Mais cela n'empêchait pas les témoins de la scène de continuer à la regarder. Les railleries de ses camarades, elle les endurait depuis l'école maternelle, pourtant, elle n'arrivait toujours pas à les supporter. Elle serra les dents pour ne pas laisser ses larmes couler, prit son livre, qu'elle serra fort contre sa poitrine, et partit se réfugier dans un endroit désert du lycée. C'est seulement une fois qu'elle fut sûre qu'elle était seule qu'elle laissa ses larmes couler le long de ses joues. Je ne suis pas lesbienne, j'aime les garçons. Elle continuait de se répéter cette phrase dans sa tête, peut-être que si elle le répétait suffisamment, ils finiraient par y croire eux aussi. Elle essuya ses larmes du revers de la main, essayant de faire cesser ses sanglots, lorsqu'elle entendit des bruits de pas. À un autre moment, elle aurait certainement rit de voir ce garçon en costume de Batman, mais c'est à peine si elle lui accorda un regard, préférant cacher son visage, ne voulant pas qu'il la voit ainsi.ƺƺƺ Les yeux rivés sur l'écran de son ordinateur portable, elle semblait aussi intéressée qu'intriguée parce qu'elle y voyait. Il lui arrivait parfois de pencher légèrement la tête pour voir la scène sous un autre angle. Parfois elle ne pouvait réprimer une légère grimace et se demandait si tout ça était vraiment une bonne idée. Il faut bien que tu te documentes ne cessait de répéter une petite voix dans sa tête. Et elle n'avait peut-être pas tort, seulement la méthode utilisée n'était peut-être pas la meilleure. Seulement, elle n'en voyait aucune autre possible, ceci n'étant pas un sujet qu'elle pouvait aisément aborder avec n'importe qui. Mais elle referma brusquement l'écran de son ordinateur lorsqu'elle entendit quelqu'un frapper à sa porte. Et heureusement qu'elle eut ce réflexe, son père n'ayant pas pris la peine d'attendre qu'elle lui réponde pour entrer. Malgré elle et bien qu'il n'ait rien vu, elle se mit à rougir légèrement. S'il l'avait surprise... Non, elle refusait de penser à ce qui aurait pu se passer si'il l'avait surprise. Elle le regarda alors, se forçant à porter un sourire en enlevant ses écouteurs de ses oreilles. « Le dîner est servi. Ta mère nous a déjà appelé trois fois, je crois qu'il serait préférable de ne pas la faire attendre plus longtemps. ». Elle se leva rapidement, presque soulagée de quitter sa chambre et de mettre de la distance entre elles. Son père la regarda quelque peu intrigué par le comportement de sa fille, avant de hausser les épaules. Depuis quelques temps déjà, il avait remarqué que sa petite princesse avait changé. Plus précisément depuis qu'elle avait commencé à leur parler d'un certain Ludwig. Mais ces changements n'étaient pas bien méchants, sa fille restait la même au final, elle semblait même peut-être un peu plus heureuse, alors il ne s'en préoccupait que peu. Jessalynn déposa un baiser sur la joue de sa mère avant de s'installer à la table, sa façon à elle de se faire pardonner de l'avoir fait ainsi attendre. Son père arriva juste derrière elle et, lui, s'excusa plus clairement. Le repas se passa comme n'importe quel repas dans la famille Morgan. C'est-à-dire dans la joie et la bonne humeur. « Tu te changes avant qu'on aille à l'expo' ou tu y vas comme ça? ». Jessalynn, qui était en train de débarrasser la table, regarda sa mère avec un air interrogateur. Elle n'avait absolument aucune idée de quoi sa mère était en train de parler. Elle avait bien des projets pour la soirée, mais cela n'impliquait en aucun cas ses parents. « On devait se rendre l'exposition sur les peintres contemporains, tu t'en souviens? ». Son visage sembla alors s'éclairer, comme si une petite ampoule venait de s'allumer au-dessus de sa tête. Oui, maintenant elle se souvenait, malheureusement, elle avait déjà prévu autre chose pour sa soirée. Elle se sentit alors tiraillée. Elle ne voulait pas décevoir sa mère mais, en même temps, elle souhaitait vraiment se rendre à la soirée de Ludwig, d'autant plus qu'il y aurait Jessie, sa cousine qu'elle avait rencontrée récemment et qu'elle appréciait déjà. « Je suis désolé maman, j'avais complètement oublié et j'avais prévu d'aller voir Ludwig ce soir... ». Elle omettait toutefois de préciser qu'il ne s'agirait pas d'une soirée simple entre amis, passée à regarder un film en mangeant du popcorn. Mais ce qu'ils ignoraient ne pourrait pas leur faire de mal, c'était ce qu'elle se répétait sans cesse. Elle vit une légère déception sur le visage de sa mère qui la regarda un long moment. Un regard qui la mit quelque peu mal à l'aise. Madame Morgan avait elle aussi noté quelques changements dans le comportement de sa fille et même si elle se réjouissait de voir que sa fille s'était finalement fait de vrais amis, ou du moins ce qui y ressemblait, elle ne pouvait nier que cela lui faisait chaque fois un pincement au cœur lorsque Jessalynn repoussait une de leur sortie. Malgré tout, elle s'efforça de donner à sa fille un joli sourire. « Ce n'est pas grave, on ira une prochaine fois, j'ai entendu dire qu'elle resterait le mois entier de toutes façons. ». L'adolescente se sentit alors soulagée et se permit même de sourire avant d'aller déposer un baiser sur la joue de sa mère. Bien qu'elle aimait ses parents plus que tout au monde, elle appréciait ces moments qu'elle pouvait passer loin d'eux et elle ne pouvait pas nier que cela lui faisait du bien, qu'elle commençait à apprendre à connaître une partie d'elle qu'elle n'avait jamais vraiment soupçonné avoir, quand bien même certaines choses continuaient de l'effrayer. Mais c'est sans vraiment y penser qu'elle remonta dans sa chambre pour aller se préparer.ƺƺƺ La musique et les rires s'élevaient de la maison des Jenzell, rien de bien étonnant pour la bâtisse qui était habituée à ces fêtes lycéennes. Jessalynn se trouvait au milieu de la foule, un verre à la main et un sourire sur les lèvres. Avant de rencontrer Ludwig, elle n'aurait jamais cru ça possible, peut-être parce que de toutes façons, personne ne l'aurait invité. Pourtant, elle s'était montrée plus à l'aise qu'elle ne l'aurait pensé. Son aptitude à dire bon nombre de conneries, une fois quelques verres d'alcool ingurgités, aidait sans aucun doute. Et elle n'avait pas été la seule à être surprise par cette aptitude, ceux qui l'avaient connue avant avaient eu bien du mal à la reconnaître dans ce rôle. Elle était tout simplement moins plate et ennuyeuse qu'ils ne l'auraient pensé. Mais, assise sur l'accoudoir d'un canapé, elle ne se souciait pas le moins du monde ces gens-là. La blonde au sourire mystérieux qu'elle avait vu un jour à travers la fenêtre était là, à quelques pas d'elle. Juliet Russell. Depuis ce fameux jour, elle en avait appris un peu plus sur cette blonde, elle l'avait même revu à plusieurs reprises. Mais le rousse n'avait pas l'assurance de la blonde et elle était restée dans l'ombre, ne trouvant pas le courage d'aller la voir. Ce n'était pourtant pas l'envie qui lui manquait. L'admiration qu'elle vouait à cette étrangère n'était pas étrangère à cette envie. Mais celui qui a dit un jour que vouloir c'est pouvoir ne devait pas vouloir grand-chose, parce que Jean-Paul Sartre avait raison l'enfer c'est les autres et Jessalynn avait beau avoir changé, lutter contre sa timidité était encore une bataille qu'elle avait à livrer. Et, contrairement à Juliet, ce qu'on pouvait dire sur elle continuait de la toucher, qu'importe combien elle essayait de se persuader que cela n'avait aucune importance. Elle savait bien que fixer ainsi la blonde ne lui serait d'aucune aide, mais elle ne pouvait pas s'en empêcher. Si elle avait réussi à s'intégrer dans ce monde festif, elle n'était qu'une novice à côté de Juliet qui semblait être dans son élément ici. Pourtant, à ses yeux, la blonde n'avait rien de la trainée qu'on lui avait dépeint une fois. Jessalynn sursauta lorsqu'on lui donna un léger coup dans les côtés. Visiblement on s'était adressé à elle et elle ne s'en était pas rendu compte. Elle aurait préféré qu'on la laisse à ses rêves, malgré tout, elle accorda un sourire à la personne qui s'était adressé à elle, lui faisant aussi comprendre que s'il attendait une réponse de sa part, il faudrait qu'il répète la question. « On fait un action ou vérité, tu joues? ». Elle détestait ce jeu, trop timide pour oser prendre action, trop secrète pour vouloir prendre vérité. « Hum, non désolé, mais je veux bien être le juge pour éviter toute tricherie. ». Ainsi, elle ne s'excluait pas totalement, c'était déjà ça. Et cela sembla convenir aux autres qui ne tentèrent pas vraiment de la persuader de jouer. Elle essaya de garder son attention sur le jeu, mais le rire de Juliet lui parvenait régulièrement jusqu'aux oreilles, ce qui rendait la tâche quelque peu difficile. Si bien qu'elle se réfugia dans son verre, le buvant d'une traite avant d'en redemander un autre. Comme si l'alcool pourrait effacer le son de la voix de Juliet et l'effet qu'elle avait sur la rousse. Ce qui ne fut absolument pas le cas et le jeu avait à peine commencé depuis dix minutes que déjà son attention était de retour sur la blonde, oubliant le rôle de juge qu'elle était censée tenir. Mais cela n'avait pas vraiment d'importance, les joueurs ayant déjà oublié qu'elle avait promis d'assurer qu'il n'y aurait pas de triche. En reportant brièvement son attention sur eux, elle aperçut même Ludwig déguisé en... Elle n'aurait pas su dire en quoi pour être honnête. C'est en le regardant faire l'imbécile qu'elle prit sa décision. Si elle continuait de se cacher derrière sa timidité, elle n'irait pas loin. D'ailleurs, si elle voulait un jour devenir réalisatrice de film, elle devrait être capable de prendre des risques. Elle but une nouvelle fois son verre d'une traite, pour lui donner du courage. Une inspiration plus tard, elle se levait et marchait en direction de la blonde. Son coeur battait trop vite et elle se sentait légèrement étourdie, mais elle refusait de faire marche arrière. Elle voulait se rappeler de cette soirée comme celle où elle avait enfin eu le courage d'aller parler à Juliet. Quand elle arriva enfin au niveau de la jeune femme il lui fallut quelques secondes pour réussir à articuler quelque chose. « Salut. ». Il ne lui faisait aucun doute qu'elle devait avoir l'air complètement ridicule, malgré tout elle fut accueillie par un sourire, ce qui la rassura quelque peu. Comme quoi, parfois, tout ce dont on a besoin pour faire de nouvelles rencontres, c'est d'un peu de courage.ƺƺƺ Elle aurait aimé croire que le temps et la distance aurait fait en sorte que les déboires de Juliet lui fassent moins mal. Mais, comme souvent, elle s'était trompée. Chaque fois que Juliet venait lui étaler au visage sa vie sexuelle épanouie, son coeur se serait et les larmes lui montaient aux yeux. Comme c'était le cas à cet instant. Skype avait beau être une invention merveilleuse, elle était en train de la maudire, intérieurement. Tout comme elle maudissait Juliet, quand bien même elle lui aurait déjà pardonné dans moins d'une heure. Parce que cela n'avait pas vraiment d'importance combien Juliet pouvait lui faire du mal, Jessalynn était incapable de lui en vouloir bien longtemps, ce qui au final était son plus gros problème. Cela lui aurait rendu la vie tellement plus facile si elle pouvait tout simplement envoyer la blonde au diable et l'oublier. Mais la vie est cruelle, alors elle se retrouvait là, à éviter le regard de Juliet tout en l'écoutant parler. Plongée dans ses pensées, c'est à peine si elle continuait à l'écouter, si bien que Juliet fut obligée de hausser le son pour attirer de nouveau son attention. Seulement pour lui annoncer qu'elle devait la laisser. Jessalynn ravala ses larmes pour lui dire au revoir, juste avant de refermer son ordinateur, soupirant. Elle était heureuse que ni Ludwig ni Jessie ne soient là pour la voir, bien qu'elle pouvait presque entendre leurs voix réprobatrices. Mais ils n'y comprenaient rien et elle était bien incapable de leur expliquer. Elle sursauta quand la porte de sa chambre s'ouvrit, laissant entrer sa colocataire. Si elle avait espéré un peu d'intimité pour avaler les nouvelles frasques de Juliet, c'était loupé. « Tu pourrais au moins faire semblant d'être contente de me voir. ». Le sourire radieux sur le visage de sa colocataire lui mit du baume au coeur. Sa bonne humeur constante lui faisait souvent penser à Juliet, c'était peut-être pourquoi elle s'était rapidement attachée à elle. Ou peut-être était-ce simplement de se retrouver séparé de sa famille et de ses amis qui avait voulu ça. Dans tous les cas, elle était heureuse d'avoir quelqu'un comme elle auprès d'elle. Finalement, elle réussit à offrir à la jeune femme un léger sourire. Mais finalement, il eut plus effet d'alerter sa camarade que de lui faire plaisir. « Qu'est-ce qu'il s'est passé ? ». Jessalynn grimaça légèrement, elle ne tenait pas vraiment à en parler avec sa camarade. Se doutant très bien que, à l'instar de Ludwig et Jessie, cette relation lui déplairait. Mais elle ne savait pas quoi lui dire, sachant qu'il était de toutes façons trop tard pour lui faire croire que tout allait bien. La jeune femme alla alors s'asseoir sur le lit, auprès d'elle. « C'est encore ta blonde ? Tu as toujours une drôle de tête après vos conversations. ». La rousse fronça alors les sourcils, sa camarade lui avait toujours laissé l'intimité nécessaire lorsqu'elle était avec Juliet. Du moins, c'était ce qu'elle avait toujours cru. Mais à croire que son amie était bien plus observatrice qu'elle ne le laissait croire. Jessalynn aurait pu alors essayer d'inventer une autre raison, quelque chose de banal, quelque chose d'un tant soit peu plausible, du moment que c'était quelque chose qui n'aurait aucun rapport avec celle qui la hantait sans même le savoir. Mais son esprit, d'habitude assez inventif, semblait ne pas vouloir lui simplifier la tâche, si bien qu'elle se contenta de soupirer, confirmant à sa camarade qu'elle avait vu juste. « C'est... C'est compliqué. ». Après tout si ses amis proches ne pouvaient pas la comprendre, ce n'était pas une jeune femme qu'elle avait rencontré à la rentrée scolaire qui allait comprendre. Sa camarade se contenta alors de hausser les épaules. « Et cela le restera encore longtemps si tu ne te décides pas à lui dire ce que tu ressens pour elle. ». Une nouvelle fois, Jessalynn fut déstabilisée par la réponse de sa camarade, mais cette fois celle-ci ne laisse pas la discussion ouverte, préférant se lever avant d'aller dans la salle de bain. Ce qui en réalité était tout à fait son genre de réaction. La rousse se retrouva alors seule, assisse sur son lit à penser à ce que sa camarade venait de lui dire. Si elle n'avait pas tort dans le fond, Jessalynn savait qu'avouer ses sentiments à Juliet était une très mauvaise idée. Sauf si bien sûr son souhait était de faire fuir son amie. Non, elle devait simplement laisser à Juliet le temps de se rendre compte qu'elle est, peut-être, celle qu'il lui faut. Après tout, elle était patiente, elle pouvait attendre.ƺƺƺ Assise sur la balancelle sur le porche de la maison de ses parents, Jessalynn regardait le soleil se lever. L'été se mourrait peu à peu et dans son sillage les journées raccourcissaient. Elle porta la tasse de thé chaude à sa bouche, avalant quelques gorgées de ce liquide qu'elle aimait tant. C'était sans aucun doute les dernières vacances qu'elle aurait avant un moment. Adieu la vie étudiante, bonjour le monde du travail et sa dure réalité. Vacances qu'elle avait décidé de passer auprès de ses parents, après tout, elle leur devait tout. La porte de la maison s'ouvrit pour laisser place à sa mère, qu'elle accueillit avec un grand sourire, regardant celle-ci venir prendre place à côté d'elle. Dans deux jours elle partirait pour Cambridge, elle qui n'avait pourtant jamais envisagé une seconde se retrouver dans cette ville un jour. Mais on ne refuse pas une place de caméragirl pour un film comme celui des Maraudeurs, même s'il est tourné à Cambridge. Sa mère posa une main douce et rassurante sur son genou. « Tu as peur? ». Elle but une nouvelle gorgée de son thé. Non elle n'avait pas peur, ce n'était pas la première fois qu'elle devrait s'installer dans une nouvelle ville. Toutefois, elle appréhendait, l'idée de devoir se refaire une place quelque part avait toujours cet effet sur elle. Mais elle ne serait pas seule, Jessie et Juliet seraient là elles aussi. Bien sûr elle ne serait pas grand-chose à côté de l'héroïne du film et de sa meilleure amie, mais au moins elle ne serait pas complètement seule. « Non, pas vraiment. ». Elle gratifia de nouveau sa mère d'un sourire sincère. Elle savait que la plus effrayée des deux c'était bien elle. Mais après tout, cela ne devait pas être facile de voir sa fille unique se lancer dans la vie active, se rendre compte que le bébé qu'on a ramené à la maison n'est plus un bébé. Parce que même si Jessalynn avait quitté le nid familial depuis quelques années déjà, elle était restée plus ou moins dépendante financièrement de ses parents. Maintenant c'était fini, elle allait être totalement dépendante et la rousse savait que ce n'était pas aussi simple pour ses parents de se défaire d'elle. « Ton père attendra de voir ton nom apparaître à l'écran avant d'accepter de sortir du cinéma. ». Jessalynn laissa alors échapper un léger rire. C'était exactement ce que son père ferait et il devrait attendre un moment avant de la voir et devrait porter ses lunettes, tant ce serait écrit petit. Mais cela lui faisait chaud au coeur de savoir que ses parents étaient déjà fières d'elle alors qu'elle n'avait décroché que le post de caméragirl. Ils croyaient en elle et c'était tout ce dont elle avait besoin pour savoir qu'elle avait raison de continuer à croire en ses rêves. Dans quelques années, elle réaliserait des films à succès et son nom serait sur les lèvres d'un bon nombre de personnes importantes dans le monde du cinéma. Peut-être aurait-elle la chance de rencontre Spielberg un jour. En tous cas, elle y croyait et chaque fois qu'elle y pensait, elle avait des étoiles plein les yeux. « S'il ne s'endort pas avant. ». La mère et la fille se mirent alors à rire simultanément. Il était vrai qu'avec l'âge, monsieur Morgan commençait à s'endormir très facilement et n'importe où. Un sujet qui était devenu sujet de moquerie dans la famille. Ce n'était pas méchant, mais il était le seul homme et elles aimaient à le taquiner. « On devrait rentrer, ce serait dommage que tu attrapes froid avant de partir. ». La jeune femme n'avait pas vraiment froid, l'été était plutôt clément et elle appréciait pouvoir profiter de ces dernières soirées chaudes. « Et il y a une rediffusion de Doctor Who à la télé. ». Sa mère avait trouvé les mots justes pour la convaincre de rentrer. Elle s'accorda tout de même quelques minutes, laissant sa mère rentrer, lui promettant qu'elle arrivait bientôt. Le soleil continuait sa course lente vers l'ouest, bientôt il aurait complètement disparu. Mais elle n'attendit pas jusque là, finissant sa tasse de thé avant de rentrer dans la maison. Elle trouva alors ses parents installés dans le salon devant un épisode de Doctor Who. Son père semblait déjà piquer du nez, ce qui la fit sourire. Elle les regarda un moment avant d'aller s'installer auprès d'eux. Quoi qu'il arrive, elle avait beau grandir et devenir chaque jour plus indépendante, elle resterait toujours leur petite fille.
Dernière édition par Jessalynn E. Morgan le Lun 9 Sep - 20:34, édité 11 fois
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 22:51 that is the question Vous entrez dans un bar, il est près de quatre heures du matin. Vous êtes plutôt alcoolisé et dans une phase assez existentielle. C’est là que vous vous retrouvez assis(e) près de cette fille au taux d’alcoolémie proche du votre qui vous sourit et vous aguiche du regard. Vous décidez de lui prêter attention et de lui faire la conversation. L’alcool aidant, vous vous surprenez à répondre à des questions vraiment personnelles...
→ Mais je t'en prie, assieds-toi donc... Tu tombes bien, je reprendrais bien un... un verre. Tu me l'offres ? Je ne sais pas si c'est une bonne idée, toi et moi on a déjà beaucoup bu et on sait comment ça fini dans ces cas là... Bon d'accord... Mais parce que c'est toi et que de toutes façons, j'ai pas envie de boire toute seule. Une téquila pour moi et...→ Une triple vodka pour moi, de façon au point où j'en suis tu sais, je suis plus tellement à ça près. Et puis de toute façon, ça aide à voir les choses plus belles, tu crois pas ? Bof, tu sais, il y en a qui ont l'alcool triste, qui se mettent à pleurer dès qu'ils ont quelques verres dans le nez. Enfin, si ils se mettent les verres dans le nez, ça peut-être drôle au final. Peut-être que c'est de là que vient l'expression lui tirer les vers du nez . Et peut-être que je devrais arrêter de boire, je commence à raconter n'importe quoi. Mais c'est toujours comme ça avec moi, dés que je bois, je raconte des conneries et je fais des conneries aussi. En faite moi l'alcool ça ne me fait pas voir les choses plus belles, ça me donne le courage dont je manque cruellement quand je suis sobre.→ Je bois souvent, moi, il faut croire que les choses ne sont pas si belles dans ma vie de tous les jours... Je crois que c'est à cause de l'amour, quelque chose comme ça. T'as déjà été amoureux, toi ? Oui... Une jolie blonde au sourire envoutant, au regard mystérieux, à la peau douce et... Hum, pardon, c'était quoi la question déjà ?→ Moi je suis amoureuse de mon professeur de psycho qui n'est plus mon professeur mais entre nous, c'est impossible. Un peu comme Romeo & Juliet, d'ailleurs, ce qui est assez drôle mine de rien. Tu fais quoi dans la vie, sinon ? Je suis cameragirl, mais c'est juste en attendant de devenir réalisatrice hein. J'ai pas l'intention de passer toute ma vie au bas de l'échelle. Mais il faut bien commencer par quelque chose et franchement, c'était une occasion en ooooorrrrrr.→ Oh c'est drôle ça. Enfin non, d'ailleurs, pas tellement. Moi je suis actrice, ça c'est drôle tu trouves pas ? Tu veux un autographe ? Non mais je veux bien un baiser...→ Je crois que je vais t'embrasser maintenant, j'en ai vraiment trop envie. Non en fait, j'en suis sûre, tiens. T'embrasses bien, ça va. Tu viens souvent ici ? Parce que j'ai l'impression que c'est la première fois que je te vois, et pourtant je suis une habituée. Peut-être que tu m'as juste oubliée. Je suis un peu banale comme fille dans le fond et puis je suis pas vraiment du genre à attirer l'attention sur moi.→ Je vois. Mais, tu es venu tout seul ou tes amis sont dans le coin ? T'as des amis, pas vrai ? J'ai des amis, t'inquiètes pas, ils sont même géniaux, je te les présenterais si tu veux... Mais pas ce soir, ce soir ils sont parti faire la fête avec la reine.→ Et en dehors de tes amis, tu es célibataire ou pas ? Pourquoi ? Tu veux m'inviter à sortir ? → D'accord. Et tu vis chez tes parents ou tu as ton propre appartement ? Ne te méprends pas, j'aime énormément mes parents, mais à mon âge, j'aime avoir ma liberté aussi... Tu vois. En plus comme ils ne savent pas que moi mon trucs c'est les jolies blondes... Bref.→ Super, on peut aller chez toi alors ? J'ai pas fait le ménage par contre... J'ai pas eu le temps... Mais on s'en fou non ?
Dernière édition par Jessalynn E. Morgan le Dim 8 Sep - 0:21, édité 3 fois
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 22:57 Jane Levy
j'aime vraiment cette fille !!
Bienvenue parmi nous,
et puis trèèès bon choix de pévario !!
Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à poser des questions,
et surtout à passer sur la chatbox à tout moment !
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 22:58
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 23:04
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 23:10 Merci à vous
.
Cela fait toujours plaisir un accueil aussi chaleureux
.
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 23:24
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Mer 4 Sep - 23:30 Bienvenue !
Ca fait plaisir de te voir inscrite
Le prénom est juste superbe en tout cas, j'adore
Si tu as d'autres questions, n'hésites surtout pas, tu peux nous harceler de mps
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 10:13
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 10:35 Bienvenue sur TTR
Jane Levy est trop adorable
Bon courage pour la construction de ta fiche
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 12:33 Bienvenue parmi nous
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 13:08 omg ce pévarioooo
Bienvenuuuuuue
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 17:52 Merci à vous
Juliet : Je suis contente de rendre quelqu'un heureux par ma présence
.
Je ne vais pas hésiter à venir te harceler de MP, de toutes façons, je pense que j'aurais quelques questions pour toi au court de la rédaction de ma fiche
(d'ailleurs j'y vais, parce qu'elle va pas se faire toutes seule).
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 18:18
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 19:12 Bienvenue sur TTR, et bon courage pour ta petite fiche !
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Jeu 5 Sep - 20:18 trèèèèèèèèèèèèèès bon choix de scénar, bienvenue parmi nouuuuuuuuuuuuuuuus
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Ven 6 Sep - 16:03 Jane est tellement belle
Bienvenue et je plussoie l'occupation
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Sam 7 Sep - 12:12 Les questions omg xD J'aime
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Sam 7 Sep - 14:41 Merci à tous, vous êtes formidables
.
Henry : ah, je suis contente si tu aimes
.
/me croise les doigts pour que Juliet aime aussi et retourne à la rédaction de l'histoire.
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Sam 7 Sep - 14:44
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Lun 9 Sep - 21:41 Juliet est pas en forme ce soir, donc je te valiiiide, de toute façon ta fiche est parfaite, exactement comme je l'imaginais, et je t'ai engendrée so c'est une bonne chose je pense
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Lun 9 Sep - 22:00
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame Lun 9 Sep - 22:18 Merci vous deux
Et bon courage pour demain Juliet
.
Sujet: Re: JEM ƺ Love's to blame
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