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 JKR ∆ juliet is the sun

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JKR ∆ juliet is the sun Empty
MessageSujet: JKR ∆ juliet is the sun   JKR ∆ juliet is the sun Icon_minitimeLun 22 Fév - 23:10


Juliet Howard
Juliet is the sun

JKR ∆ juliet is the sun W0br3Xs
introduction
Juliet est actrice, Juliet est maman, Juliet est amoureuse. C'est sans doute idiot pour les autres gens, superficiels pour certain, mais c'est à peu près tout ce qui rend sa vie si merveilleuse à ses yeux. Elle est solaire, toujours de bonne humeur, elle mange tout le temps et c'est une boule d'énergie, il faut y aller pour l'énerver ou la blesser.

▬ âge : 25 ans (en 2016)
▬ nationalité : Britannique
▬ métier : Actrice, Alice Longbottom dans les Maraudeurs et prépare Romeo & Juliet au théâtre
▬ quartier : Demandez à Henry
▬ orientation sexuelle : Hétérosexuelle
▬ statut : Fiancée à Henry Howard
▬ groupe : Travel Card
▬ avatar : Bille Piper


en 2005en 2009aujourd'hui
En 200 mots minimum, dites où en est votre personnage dans la vie en 2009. Peut inclure ce qui se passe entre 2006 et 2009.

   E« Mademoiselle Russell ? C’est à vous ». Je tire légèrement sur ma – nouvelle – robe rouge et repousse mes cheveux en arrière en prenant une inspiration. Le trac ? Non. Jamais. Hm. J’éteins mon téléphone et le fourre au fond de mon sac, ce qui veut probablement dire que je ne le retrouverais jamais étant donné le bordel ambiant qui y rentre. Marie Poppins et Hermione Granger me l’envieraient surement, je suis à peu près sûre que l’on peut y trouver autant de choses que dans les leurs. Je le repousse jusqu’au sommet de mon épaule et m’engouffre dans un petit bureau où une journaliste m’attend, lunettes sur le nez, dictaphone savamment déposée devant elle, et un énorme calepin noirci sous les yeux. « Bonjour Mademoiselle », me lance-t-elle d’une voix guillerette, tandis que je m’installe non sans angoisse sur la chaise qui lui fait face. Si l’on avait voulu se rapprocher plus d’Harry Potter, on n’aurait pu trouver meilleure imitation de Rita Skeeter, et l’idée en elle-même me donne déjà envie de rire. Je me retiens, observant ses boucles blondes et son tailleur rose d’un œil suspicieux. « Répondez le plus naturellement possible, sans pression, et ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger ». Je fronce le nez tandis qu’elle éclate de rire et je penche la tête, me demandant si c’est sa façon si particulière de traiter les jeunes acteurs inocents et sans la moindre expérience de la presse, avant de conclure qu’ils l’envoient sans doute elle pour tous les cas désespérés de débutants, avec son air trop gentil et son rire invasif.

« Alors, vous allez endosser le rôle d’Alice Londubat dans un film qui retracera les aventures de la génération antérieure à celle d’Harry Potter, le célèbre sorcier. C’est votre première expérience cinématographique ? » Je prends une inspiration et hoche la tête en joignant mes mains, essayant de me concentrer sur les pensées positives prodiguées par Henry lorsque je lui ai confié mon stress quelques heures plus tôt – et si les gens ne m’aimaient pas ? Est-ce qu’il y a une formule particulière pour répondre à cette question ? Est-ce que je suis censée dire quelque chose en particulier ? Si je dis seulement oui, la réponse va sembler maigre – qui sait ce qu’elle ira inventer ? Et en même temps, difficile de dire autre chose étant donné que ma seule représentation digne de ce nom reste celle exécutée devant mes camarades de classe en pleine répétition, lorsque j’ai embrassé mon professeur sans la moindre retenue – et je ne suis pas absolument persuadée que l’on puisse considérer ça comme un jeu d’acteur à un quelconque niveau. « Euh… oui, ma première expérience, oui ». Elle hoche la tête et écrit sur son calepin. « Qu’est-ce que ça fait d’avoir été prise pour un tel projet ? » Ouh. Euh. Qu’est-ce que ça fait ? En dehors de l’excitation, de la joie, de la fierté, du doute, des sentiments qui se disputent la place centrale à l’intérieur de mon crâne ? « C’est incroyable, j’arrive à peine à réaliser alors que nous avons commencé à tourner, c’est presque toujours comme si c’était un rêve et que j’allais me réveiller », je réponds en glissant une main dans mes cheveux, entortillant une mèche entre mes doigts. « Je n’aurais jamais pensé être prise, j’ai même plutôt hésité à passer l’audition dans un premier temps, pour être honnête. Surtout en sachant que je n’avais jamais rien fait avant ». Elle écrit pendant que je parle, et ne semble pas particulièrement irritée par ma réponse.

Je prends une inspiration encourageante, me sentant soudainement nettement plus à l’aise. « Qu’est-ce que vous faisiez, avant ? » Je ris doucement et me mords la lèvre. « J’étais étudiante, à Oxford. Je crois que je n’y suis entrée que parce que mon père est le doyen de la fac, ce qui n’est franchement un secret pour personne, même s’il s’imagine encore tendrement que je ne suis pas au courant. J’ai passé quelques années en psychologie, sans grand succès à vrai dire puisque je n’ai même pas réussi à décrocher une licence… Et puis un jour, j’ai rencontré quelqu’un qui m’a aidée à réaliser que les études n’étaient pas faites pour moi et qu’il valait mieux que je me focalise sur mes rêves, alors, j’ai arrêté », je raconte, en hochant vigoureusement la tête. Je tais tous les détails sordides des amitiés jamais tissées sur les bancs de la fac et des mois d’enfer que j’ai pu vivre, de toute façon, les gens que ça intéresse sont déjà au courant. « Vos parents vous ont laissé quitter la fac ? » Je la regarde et sursaute légèrement. Je n’ai pas du tout envie de porter préjudice à qui que ce soit, ni de faire de la peine à qui que ce soit dans cet article, mais la vérité n’est finalement pas très loin de ce que je réponds. « Au début, ils étaient réticents ? Je crois qu’ils ne pensaient pas que j’en étais capable, ni même que j’en avais vraiment envie. Nous avons eu quelques semaines de froid, mais tout est rentré dans l’ordre, aujourd’hui ».

« Vous avez subi l’accident terrible qui a secoué Londres au début du mois de juillet, on raconte même que c’était le jour de votre anniversaire ? » Je grimace, me demandant ce que la question a comme rapport avec le film, ou ma carrière d’actrice. « Oui. C’était horrible et j’ai perdu une très bonne amie. J’ai eu peur pour d’autres personnes qui me sont chères mais maintenant, il faut passer à autre chose », je réponds simplement en pensant à Henry pour lequel j’ai passé des nuits entières dans tous mes états. « Il y a quelqu’un dans votre vie ? » Je me fige et hoche doucement la tête. « Oui, mais c’est particulier. Disons que ça finira par venir, mais qu’il faut attendre ; chaque chose en son temps ». Je ris un peu, cette phrase ne me ressemble pas du tout – en réalité, on croirait plutôt entendre Henry. Mais il faut bien que j’explique les probables déboires que l’on me reprochera un jour dans la presse et le fait que  je n’affirme pas être célibataire, et même si je préfèrerai éviter toutes ces choses à Henry, il faut les envisager, me connaissant, comme une possibilité plus que probable.
« Votre meilleure amie a obtenu le rôle de Lily Evans, qu’est-ce que ça fait de poursuivre le rêve aux côtés d’une personne qui nous est chère ? » De nouveau, j’éclate de rire et hausse les épaules. « Je n’ai rien connu de tel. Jamais. Elle est avec moi tous les jours et nous réussissons ensemble un rêve que l’on a en commun, ça ne peut même pas s’expliquer ». Elle sourit et note. « Vous avez l’air d’être une jeune femme pleine d’ambition et de joie de vivre, vous êtes toujours comme ça ? » De nouveau, je ris, et hoche la tête. « J’essaye. Certains vous diront que je suis shiny » Je lui fais un clin d’œil comme si Henry pouvait me voir, plantée dans le petit bureau, me redressant légèrement dans ma robe, et je ris, me laissant enivrer par la légèreté que je ressens soudain.

Elle me remercie après quelques vagues questions supplémentaires et me congédie, donnant la suite au prochain acteur du casting. Je fais quelques photos dans une salle séparée et m’échappe, rallumant immédiatement mon téléphone après quelques fouilles archéologiques pour envoyer un message à Henry.

Merci.
En 200 mots minimum, dites où où en est votre personnage dans la vie aujourd'hui. Peut inclure ce qui se passe entre 2009 et 2016. Si votre personnage est décédé pendant cette période, reportez les mots demandés sur les autres périodes de rp.

JUILLET 2015

« Tu peux sortir, tu sais. Si tu emmenais Henry diner ? Je garderais les enfants. Ou tu pourrais même appeler une baby sitter, si tu en trouvais une bien. » Je manque de m’étouffer avec l’énorme Muffin qui vient de glisser malencontreusement dans ma bouche – j’ai à peu près retrouvé la ligne, à grands renforts de courses à pieds interminables et de sport devant ma télévision, contrat d’actrice oblige, autant en profiter – et fixe ma mère comme si elle venait de me suggérer la chose la plus incroyablement stupide au monde. « Une quoi ? » je répète, à moitié crédule. Elle me regarde et roule des yeux comme si elle avait enfanté une idiote, ce même regard que me sortait mon père et qui a pu me heurter mais qui ne me fait ni chaud ni froid quand il habille les yeux de ma mère. « Baby. Sitter. » Je grimace et secoue la tête. « Hors de question », je lâche en me levant pour poser le Muffin tentateur sur le plan de travail. « Il est beaucoup trop tôt, imagine que la baby sitter soit nulle, qu’elle préfère les laisser pleurer plutôt que de regarder la télé, imagine que la maison prenne feu, que les pompiers restent coincés dans une rue, qu’un des deux s’étouffe avec sa nourriture ou que sais-je encore ? Pire, imagine qu’ils se sentent abandonnés !! » Je finis la phrase dans un théâtral mouvement de bras et ma mère me fixe un instant sans rien dire – avant de lâcher l’affaire. « J’ai saisi », lâche-t-elle comme si être une mère qui abandonne ses enfants toute une soirée était la chose la plus facile et la plus réalisable du monde. Je redoute le jour où je vais retourner travailler pour de bon. En réalité, je redoute plein de choses qui n’ont pas encore lieu d’être redoutées, mais qu’importe. « Henry va rentrer, tu devrais faire pareil », je souffle gentiment en embrassant sa joue. Elle me sourit en retour et m’attrape le menton. « Tu es malheureuse ? » Je fronce le nez, et elle doit comprendre mon scepticisme car elle précise aussitôt : « Est-ce que tu as l’impression que je t’ai abandonnée quand tu étais petite ? Parce que je t’ai confiée à une baby sitter dès que j’en ai eu l’occasion, crois-moi. Après tes frères, j’avais compris la leçon ». Je ricane un peu et la prends dans mes bras. « Non, je ne suis pas malheureuse », je réponds. « Mais je préfère quand même rester là ». Elle me sourit avec tendresse et ramasse ses affaires en adressant un dernier regard à mes deux enfants qui sont allongés chacun dans un landau. Je me mordille la lèvre avec tendresse et une part de fierté, je n’arrive pas à croire que c’est moi qui ai réalisé deux si belles choses. Avec l’aide d’Henry, mais quand même.
En 200 mots minimum, dites où où en est votre personnage dans la vie en 2005. Peut inclure ce qui se passe avant 2005. (enfance etc) Si votre personnage n'est pas né ou trop jeune, reportez les mots demandés sur une autre période de rp.

   Babyyy elle a que 15 ans en 2005, c'est un baby JKR ∆ juliet is the sun 907793



─ pseudo/prénom : écrire ici. ─ âge : écrire ici. ─ fréquence de connexion : écrire ici.  ─ comment avez-vous découvert ticket to ride et qu'en pensez-vous ? écrire ici. ─ inventé ou pévario ? si pévario, merci d'indiquer qui l'a posté.  ─ code : écrire ici. ─ crédits : écrire ici.
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