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Background story → A l’époque florissante où les femmes clamaient leur indépendance en s’offrant le luxe d’une sexualité décousue, Irene, elle, s’offrait le métier de prostituée. Elle aimait le sexe, elle aimait l’argent, alors elle a très justement lié les deux pour devenir cotée, prostituée de luxe, très demandée par ses clients masculins qui ne se doutèrent jamais que la préférence de la jeune femme allait… aux femmes justement. Pourtant, Irene ne cessa jamais de satisfaire les hommes qui la payaient. Peu intéressée par une vie sentimentale, de couple, ou de famille, Irene ne désirait même pas avoir d’enfants. Et puis, cet état d’esprit a largement évolué quand elle a rencontré Patricia Hastings-Bass, qui devint très rapidement sa meilleure amie, et qui elle avait décidé de fonder sa propre famille, couvant sa fille ainée d’amour et d’attention. Inspirée, mais dégoutée à l’idée d’épouser un homme, osant afficher son métier mais pas sa réelle sexualité, Irene a fait un enfant toute seule, oubliant le temps d’une soirée avant un charmant homme d’affaires la protection obligatoire pour les rapports sexuels de sa profession. Immédiatement enceinte, Irene accoucha neuf mois plus tard d’une petite fille qu’elle éleva dans la connaissance pure et simple de son propre métier (dis à tes amis que je suis prostituée, ils ne te croiront pas de toute façon) et dans une réalité un peu décadente. Après avoir accouché, Irene ne reprit pas ses activités cependant, se consacrant plutôt au métier de mac, Madame, organisant l’agenda de jeunes femmes triées et recrutées sur le volet. Quelques années plus tard, Irene perdit Trish, sa meilleure amie, qui mourut d’un cancer, et se lia d’une amitié profonde et parfois étrange avec son mari veuf, Bart. Lorsque Bart, très averti de ses activités, ouvrit un Casino à Oxford dans lequel il projetait d’exercer un certain nombre de choses illicites, il pensa immédiatement à Irene, lui demandant d’organiser son réseau de prostitution au sein des murs de l’établissement, lui garantissant la vie de luxe et la sécurité. Elle refusa, lui opposant la population d’Oxford, trop jeune et trop pénible. Mais maintenant que Bart a ouvert un établissement à Londres, Irene a accepté son offre, et la voilà donc Mac dans un bureau de luxe dans le grand Casino Londonien. C’est elle qui gère les rendez vous de « ses filles », casant leurs rendez-vous, en oubliant parfois un peu qu’elle a elle-même une fille, et une vraie, qui est bien loin de ce monde illicite.