NAM ♠ The dream cames true !

J'étais à une soirée, j'avais bu, fumé et m'étais droguée et ça me fis des effets carrément bizarre, je me souvenais du passé... De mon passé assez douloureux..

J'avais sept ans, c'était la première fois que j'allais chez ma psy « Bonjour Nina, je suis Miss Smith, je suis heureuse de te rencontrer, n'ai pas peur, je suis là, pour t'aider... » Oui, je me souvenais, j'avais carrément peur de me confier à une personne que je ne connaissais pas, alors je m'assis alors sur une chaise en face d'elle et elle me demanda de commencer par le début.. « Je suis née, ici, à New York, mais que puis-je dire d'autre, je n'ai pas de soucis particulier.. C'est maman qui en a, pas moi » Oui, ma mère se faisait battre par mon père, je l'entendais crier, je voyais mon père lever la main sur elle, mais je faisais la politique de l'autruche, je ne voulais pas avouer cette dure réalité. Alors la psy me demanda pourquoi ma mère avait des problèmes et je lui avouai tout. Elle haussa les sourcils et maintenant je crois qu'elle comprit pourquoi ma mère avait entamé la démarche de m'emmener consulter chez elle. On parla pendant une heure et demie de ce problème, elle annula les rendez-vous qu'elle avait après les miens. Car normalement une séance chez le psy, ça ne dure que 15 minutes... Le problème était grave..

Je me souviens que les séances avaient passées et je pleurais toujours autant en parlant de la douleur que ma mère pouvait subir.. J'avais de la haine contre mon père, mais j'en avais peur aussi.. J'avais maintenant 9 ans, cela faisait plus de deux ans que je subissais toute cette violence, mais maintenant cela faisait deux ans que je subissais la même violence que ma mère. Je ne l'avais jamais dis à ma psy, j'avais peur d'être jugée en fait.. Un soir, mon père rentra du travail très tard, à vrai dire, il n'était pas souvent, il était beaucoup en voyage d'affaire, mais il était tout de même là au moins une fois par semaine. Et ce jour-là, il devait rentrer, j'appréhendais cette venue de mon père, je savais très bien qu'il allait encore me frapper et que le lendemain je n'allais pas aller à l'école ou alors avoir une tonne de fond de tein sur le visage pour ne pas que les blessures se voient.. Ce moment, je l'avais imaginé toute la nuit de la veille, je n'avais pas dormi, j'étais torturée. Et là, j'avais décidée qu'il fallait mettre un terme à tout ça, mais je savais très bien que la discussion avec mon père, n'allait servir à rien, à rien du tout, il fallait que je frappe fort, très fort... Mais comment se battre contre son père qui lui, est un homme, est un adulte qui, a plus de force.. Il me fallait une arme, alors pendant la nuit, j'étais descendue dans la cuisine, j'avais pris un couteau, l'avait mis sous ma chemise de nuit au cas où si ma mère descendait... Et en remontant dans ma chambre, je le mis sous mon oreiller.

Ça y est, le moment crucial était venu... J'avais entendu la porte d'entrée claquer, ma mère pleurer même crier, elle le suppliait d'arrêter.. Je faisais mes devoirs tranquillement malgré que les larmes tombaient sur ma douce et ronde écriture... J'entendis les pas de mon père dans les escaliers.. Je fermai les yeux un instant... Il n'était plus très loin.... J'allai alors m'asseoir sur mon lit, pensant au couteau de cuisine sous mon oreiller, allais-je avoir la force de le frapper pour qu'il me lâche enfin ? La porte de ma chambre s'ouvrit d'un seul coup, mon père s'avança vers moi, et commença à lever la main sur moi, je le regardais, criais, pleurais en le suppliant de ne pas me frapper. Je sentis ma pomette s'éclater sous son coup, et ensuite, ma lèvre se couper, ma main chercha avec difficulté le couteau caché sous l'oreiller, je réussis alors à l'attraper, je frappai mon père avec le couteau dans son épaule, il me lâcha et moi, je me levai, je me rebellais, et je lui enfonçai je ne sais combien de coups de couteau dans le corps, il s'effondra, il y avait du sang partout... Je lâchai le couteau et descendis voir ma mère, elle, allongée par terre, pleurant, je lui dis alors d'une petite voix « Maman, tout est fini, on pourra être heureuse maintenant... » Ma mère me regarda incompréhensive, elle monta dans ma chambre, elle redescendit quelques minutes plus tard et me serra dans ses bras, elle pleurait.. Elle appela alors la police... Elle me dit alors que tout allait bien se passer, je fus juger au tribunal pour enfant et on m'acquitta, car finalement je ne faisais que de me défendre et que ma vie ainsi que celle de ma mère en dépendait.. Quelques heures plus tard, j'avais rendez-vous avec ma psy et je lui avais tout expliqué...

Mais je dû aussi lui dire adieu, ma mère voulait prendre un nouveau départ et aller loin de New York, loin de toute cette vie qui avait pu me blesser, nous blesser... A neuf ans, j'arrivais à Londres. Je grandis alors plutôt normalement, dans une bonne maison.

Mais sept ans plus tard, malheureusement, il se passa un nouveau drame.. J'étais avec un garçon, il me força à faire certains trucs. Mais je l'aimais, et je faisais ce qu'il me disait de faire. Et au bout de 3 mois, je ne pouvais plus supporter ce cauchemar, j'allai alors chez lui, et lui dis que tout était fini entre nous, et là, il me viola, je me débattai mais je n'arrivais pas à me sortir de cette mauvaise passe.. Je sortis alorsde chez lui, en pleurs, il m'avait volé ma première fois. Avant de rentrer chez moi, je me remaquillai, rentrai et ma mère ne vit rien, je savais me montrer forte. Il n'y avait personne d'au courant de cet épisode de ma vie à part : Nora.

Depuis cet épisode, je ne veux plus avoir d'histoires sérieuses avec des garçons mais plutôt des coups d'un soir...

Puis ensuite, je repensais à mes 18 ans, c'était si bien, je venais de rentrer à l'université d'Oxford pour ensuite devenir styliste, 5 ans plus tard, j'avais finis,enfin ! Je pouvais ainsi profiter et voler de mes propres ailes même si à Oxford la vie était bien : festive mais à la fois studieuse !

→ Ton heure de gloire est enfin arrivée, un producteur de cinéma vient de te remarquer dans la rue et te propose de devenir la star de son nouveau film. Que lui dis-tu ? " C'est une blague franchement ? Parce que si c'est une blague elle est vraiment de mauvais goût... "

→ Une pauvre fille en pleurs chante All by myself avec son cornet de glace à la vanille en plein de milieu de la rue retournant tous les regards sur son passage, y compris le tien. Ta réaction ? Je la regarderais, totalement éffarée et j'irais lui demander si elle va bien...

→ Ton(ta) cousin(e) t'avoue sous l'emprise de l'alcool son attirance pour toi, et tente de t'embrasser. Premières impressions à chaud ? Réactions à froid ? La réaction à chaud ce serait carrément de le repousser en lui disant qu'il est fou ! Et puis réaction à froid, je serais plutôt pédagogue et irais discuter avec elle ou lui...

→ Ton idée du parfait samedi soir : une soirée arrosée au Carling à Oxford, une nuit de folie au Fez Club de Cambridge, une sortie au théâtre de Londres ou une soirée geek avec plat commandé et partie de jeux vidéos avec tes meilleurs potes ? Je dirais plutôt une nuit de folie au Fez Club, j'aime m'amuser, faire la fête, danser, draguer et bien sur... Boire

→ T'es au confessionnal, tu peux avouer ta pire faute, ou encore un secret particulièrement pesant que tu n'aimerais pas voir révélé. Que dis-tu au père Patrick pour te soulager la conscience ? Mon père, je ne suis pas croyante, mais j'aimerais vous confiez un secret.. Vers mes 16 ans j'ai eu une relation avec un jeune homme plus agé que moi, il a abusé sexuellement de moi.. Et c'est un secret qui reste encore dur à porter aujourd'hui même si j'ai tourné la page."

→ Le père Patrick était en fait un vrai sociopathe fan de Pretty Little Liars, et t'envoie un sms anonyme où il vous demande de choisir entre un secret révélé qui pourrait anéantir ta réputation ou briser ta famille, et de voler la bague de fiançailles Cartier d'un de vos amis. Après mûre réflexion, qu'est-ce que tu choisis ? Je préfère qu'il révèle mon secret... Je suis du genre très loyale..

→ C'est le mec (la fille) de tes rêves, tu en es persuadé(e) et pourtant, celui(celle)-ci est en couple avec quelqu'un d'autre. Tu te la joues résigné(e), stratégique, ou éploré(e) ? On veut les détails ! Alors là, je suis très manipulatrice, pour le mec de mes rêves, je suis capable de tout... Demander à un ami de draguer sa copine, et qu'elle le trompe et ainsi, je pourrais aller chez lui et jouer la bonne comédienne... En faisant la bonne pote qui doit lui avouer que sa copine le trompe, qu'elle est pas pour lui... ETC... Enfin, vous voyez le genre quoi... Et après bien sûr... THE technique de drague et il sera à moi !! mouahahahahahahah *out*

→ Dans dix ans, je me vois bien ouvrir un resto spécialité moules frites avec Camille Jules Martin, marié, six gosses et à l'origine d'une toute nouvelle sauce roquefort-épinards et toi, des projets pour l'avenir ? Et bien... Dans 10 ans, je me vois bien comme grande styliste renommée et qui travaille avec les plus grands du milieu !

→ Et enfin, honnêtement, entre truth ou dare, qu'est-ce que tu préfères ? (oui ça rime !) La vérité bien sûr... Rien que ça... Je n'aime pas les gens faux.

→ En pleine soirée baby-sitting, l'adorable petite fille aux cheveux blonds que vous gardez s'installe sur vos genoux et vous demande, d'un air suppliant : « Moi plus tard, je veux être la Reine d'Angleterre. Papa m'a dit que pour pouvoir le faire, il fallait aller à l'université. Mais il a dit aussi qu'il fallait choisir entre Oxford et Cambridge, parce que ce sont elles les meilleures d'Angleterre. A ton avis, il vaut mieux apprendre à devenir Reine à Oxford, ou à Cambridge ? » Je lui répondrais avec un grand sourire " Ma grande, il faudra que tu choisisses par toi-même, quelle reine tu veux être... Si tu veux être une reine populaire, fêtarde, qui aime sortir, qui est arrogante, je te conseille d'aller à Cambridge.. Mais si tu veux être une reine qui a une grande ouverture d'esprit, qui sympathise avec d'autres cultures que la tienne, et bien... Va à Oxford. Ce sont deux universités complètement différentes ! "

→ Après avoir écouté votre argumentaire, elle s'interrompt une seconde et fronce étrangement le nez. « Mais, au fait, qu'est-ce que c'est, le Judging Club Cambridge ? » Hum... Ce sont des gens qui jugent tout le monde... Il faut être toujours bien habillé à la pointe de la mode, il faut avoir des bonnes notes, car ils font une liste ceux qui sont en haut de la liste sont les plus populares et eux qui sont en bas, son vraiment ceux qui ne snt pas populaires.

→ « Aaaah, d'accord. Je comprends mieux. Et les TroubleMakers, alors ? C'est la même chose ?» Les TroubleMakers ne s'occupent que d'Oxford, ils ne sont pas des comères, ce sont plutôt des personnes qui font des blagues aux atres. Des fois, elles sont vraiment de mauvais goût, ils peuvent par exemple, mettre des laxatifs dans les gâteaux apéro ou alors essayer degâcher ton couple, des trucs du genre, tu comprends ?

→ « C'est bien compliqué tout ça. Mais alors, si je choisis Cambridge et que finalement je préfère Oxford, j'ai le droit de changer en cours de route ? » Et bien ce sera très difficile car au final ces deux universités sont très cères et difficiles d'accès !

→ « Hm... Bon. Ca m'avance pas beaucoup. Mais en même temps, j'ai le temps. »