SPB ∆ Superman a enfin compris qu'un slip se met en-dessous et non au-dessus.

Tu te crois beau mec parce que tu t'es marié?Les gens disaient, lorsque j'étais petite, que je ressemblais à ma mère, que j'avais son regard, et son sourire communicatif. Malheureusement je n'ai pas pu la connaître assez longtemps pour pouvoir en juger par moi-même. Je me souviens de ce soir où je suis rentrée dans la chambre de ma mère. Je me suis cachée derrière la porte et je la regardais. -Maman... Pourquoi tu as pleins de bobos sur ton corps? l'image du corps dénudé de ma mère remplie de bleu me hantera à jamais... Ma mère me répondit simplement -Je suis juste très maladroite chérie. Une part de moi ne la croyais pas, car peu de temps avant mon père était parti boire dans un bar en claquant la porte et que les larmes qui coulaient sur les joues de ma mère, elles, n'étaient pas maladroite et innocentes... Ce soir-là, nous nous sommes couchées ma mère et moi. Ma mère dans son lit, et moi dans le mien. Mon père entra dans la chambre de ma mère en défonçant la porte à coup de pied, et j'entendis ma mère qui hurlait. Quand je courus pour rejoindre ma mère, il était debout, ma mère aussi, les cheveux de ma génitrice dans les mains de mon géniteur... -Je t'avais dis d'attendre que je rentre pour te coucher! Depuis quand me désobéis-tu? Ma mère tentait de faire comme-ci elle n'avait pas mal pour ne pas faire de bruit mai je la voyais serrer les dents et pleurer. Je ne pue m'empêcher d'intervenir.  -PAPA LÂCHE MAMAN. Son regard sévère s'éleva sur moi et il vint me voir, m'attrapant violemment le bras il me gifla et m'enferma dans une armoire où je commençai à hurler suppliant de me laisser sortir. Ma mère, elle hurla de me laisser et essaya d'ouvrir là où j'étais retenue enfermée... Mais après cinq minutes d'engueulade je n'entendis plus rien mise à part un BOUM. Après 15 minutes de silences je sortis, mon père me regarda dans les yeux, tandis que j'essayais de fuir le sien cherchant ma mère. -Maman est tombée les pompiers vont arrivés ma  chérie surtout ne dis rien de ce qu'il s'est passé. Je revis alors les bleus sur le corps de ma mère, les pompiers arrivèrent et l'emmenèrent...

Tu sais les filles comme moi, font pleurer les mecs comme toi.
JJe n'avais que cinq ans quand ma mère est morte. Elle n'a pas pu aller jusqu'à l'hôpital. Sa tête avait cogné le coin du meuble, elle était paralysée, et un Hamas de sang s'est formé dans son cerveau la privant ainsi d'oxygène... Depuis je suis en froid avec mon père, il s'est remarié deux ans après la mort de ma mère, avec une nana riche qui l'a sortie de l'alcool, et qui a cru qu'elle pouvait débarquer et remplacer ma mère... Quand j'ai eu l'âge de me rebeller je me suis mise à sortir. Dès mes 13 ans, je trainais avec des mecs plus vieux que moi. Puis un soir alors que je rentrais de soirée je passe dans la rue qui mène à chez moi et je vois un vieux ordinateur propre, mais cassé. Prise de folie je le récupère, le ramène chez moi. Maison déserte repas avec des hommes d'affaires, tant mieux. Je me mes dans ma chambre immense soit-elle, et commence à essayer de le réparer. Un mois après il était remis sur pied, comme neuf. Plus le temps passe plus je me spécialise dans l'informatique, je me spécialise dans le codage, puis dans le piratage, secrètement bien sûr ce n'est pas légal. Mon père et ma belle-mère sont heureux de voir que j'ai enfin trouvé ma voix, mais entre nous leur avis m'importait que peux.

Puis j'ai eu ma première relation amoureuse. J'étais dingue de ce mec, enfin je croyais mais un jour je l'ai trouvé dans son pieux avec une autre, ni une ni deux je l'ai dégagé de ma vie. Je suis quelqu'un de plutôt fière mais j'avoue que j'en ai souffert, je ne parle plus à mon père, ma belle-mère je la déteste, et ma mère est morte... Je ne supporte plus mon père.

Ce soir-là, je rentrais de cour quand mon père a décidé de me prendre la tête...-Soraya! Va vite t'habiller et te maquiller, fais un effort, utilise le maquillage de ma femme et prépare toi on va à un dîner je dois te présenter à un jeune homme prometteur. Halluciné je le regarde. Il voulait en gros que je rencontre un mec et que je l'épouse! -D'où tu te permet de me dire qui je dois rencontré ou pas. Tu veux que je rencontre ce type, je le connais pas j'ai pas envie de le connaître et t'as rien à me dire.  -Je suis ton père et tu ne discute pas! ON a besoin d'agrandir la famille et tu es ma seule fille, Monica n'a pas d'enfant et tu es la seule qui peux se marier. Mes sourcils se froncèrent. -Va te faire foutre et n'ose pas lever la main sur moi, car je sais que tu as tué maman. J'ai vue les bleus qu'elle avait sur le corps connard! Tu n'es pas mon père, mon père il est mort le jour où ma mère est morte. Sur ceux je me casse. Je courus m'enfermer dans ma chambre et attendis le soir pour pouvoir partir par la fenêtre.  
Je voudrais partir jusqu'à la mer
Oui j'ai fugué je ne pouvais plus vivre dans une baraque avec le mec qui a tué ma mère. Alors, j'ai vécue dans la rue j'ai trouvé un abri caché dans des rues sombres et puantes, un immeuble abandonné, où j'y ai mis un mattelat que j'ai laver avec de l'eau de pluie, une couverture et de quoi faire du feu. Tous les ordinateurs que je trouvais dans les poubelles, je les réparais, je me connectais au réseau wi fii du café d'à côté en piratant leur réseau. Ainsi j'allais sur le net gratuitement. Je piratais tout ce que je pouvais, de grands sites, comme des petits TOUT. Puis un jour j'ai rencontré ce type qui m'a proposé de partir d'ici et de partir avec lui à Londres, j'avais piraté son site internet et sans savoir que c'était un mec qui vivait à Londres et qui était agent au MI6. Son site était censé avoir le meilleur réseau sécurisé. Visiblement je l'avais impressionnée. -Pourquoi un Londonien aiderait-il une parisienne sans abris? Il me regarda et souris d'un air sadique. OUla... -Vous n'avez pas vraiment le choix vous avez piraté l'équivalent du FBI en peut-être beaucoup mieux de Londre, le MI6! Soit vous venez avec moi, sois vous allez avoir des ennuis. Dit comme ça..., suite à ça, bah je suis partit de Paris, j'avais 20 ans quand j'ai quitté Paris.

Un ange frappe à ma porte est-ce que je laisse entrer? Ce n'est pas toujours ma faute si les choses sont cassé. Le diable frappe à ma porte il demande à me parler, il y a toujours une part de l'autre attiré par le danger.
Londres... c'est gris, ça pleut et pourtant j'adore cette ville. J'ai été accueillis par l'homme qui m'a ramené de Paris le temps que je trouve un appartement. Mais avant ça, on me présenta alors au MI6. Je comprend alors que l'homme qui m'avait accueillit n'était pas un simple agent, mais le chef du service. -Alors mademoiselle Breeman, lisez le contrat et en quoi consistera votre boulot et vous signez. après avoir pris le temps de tout lire je fini par signer. En gros je devais utiliser mes capacités en piratage etc... En informatique pour pouvoir les aider dans les affaires qu'ils ont en court. On m'a donc assigné à une équipe. C'est avec mon jean un peux troué, mon vieux tee-shirt, et mes grosses lunettes que je me rend dans une salle de réunion avec mon nouveau pc portable. Je frappe alors à la salle où tous discute. -Excusez moi... il continue leur discussion et ne me remarque même pas. -EXCUSEZ MOI! Je peux enfin avoir leur attention -Désolée de vous dérangez mais je suis votre nouvelle informaticienne, enfin votre première informaticienne, bref ce n'est pas très important c'est un détail. Je m'appelle Soraya Penelope Breeman. Les regards sont figés sur moi. Je ne me sent pas super à l'aise et pourtant je prend sur moi. C'est alors que je vois un beau brun au yeux bleu se lever et venir vers moi me faire la bise. -bienvenue parmi nous princesse! Je me sentie rougir et eus un bel accueil avec le reste de l'équipe sauf une Coralie, une belle blonde sulfureuse. Et pourtant je ne pouvais que rester bloqué sur ce brun qui répondait au nom de Alejandro. -On a pas besoin d'une débutante en informatique dans ton genre tu peux repartir et retourner d'où tu viens ça fera de l'air. Les sourcils froncés, je regarde le tableau qui est en face de moi, ils ont l'air bloqués avec une mission. -Vous avez visiblement l'air bloqué dans votre affaire, votre cible à un compte en banque vous avez son numéro et ne pouvez y accéder sans empreinte ni rien. Moi je peux! Je prend alors mon ordinateur, me connecte sur le site de la banque de l'homme en question et grâce à ma magie j'arrive à entrer discrètement dans leur serveur et trouver tout ce don ils ont besoin. -Putain de merde! Comment c'est fort! Je sent qu'on va avoir souvent besoin de toi pour nous aider. Et la blondasse à deux bals sort.

Le temps passe au MI6 et j'ai une complicité avec les gens mais spécialement avec Alejandro. En très peu de temps on trouve une complicité que peu comprennent. Certains se demandent pourquoi nous ne sommes pas ensemble. Et moi j'ai envie de dire car, il a une copine ouai la blondasse de Coralie. Je suis installée dans un super petit appartement qui me plaît énormément. Alejandro avait refusé de venir à la maison après le boulot, je voyais bien que leur dernière mission l'avait énormément atteint, car il était en jeux un enfant battu, il l'alui-même été... Mon téléphone sonne, je suis sur le palier de chez moi prête à entrer. -Bonsoir beau brun de mes rêves. -Bonsoir baby girl. Je te téléphone pour m'excusez, j'ai été un peux froid aujourd'hui avec toi. -Ne t'en fais pas ce n'est rien. On fini par se dire bonne nuit et au moment d'entrer chez moi alors que je n'ai pas encore raccroché je vois ma porte entre ouverte à peine je passe le pas de chez moi et BAM je peux juste entendre alejandro hurler mon prénom pour que je lui réponde.

Quand je me réveil je suis attachée à une chaise dans un espèce de hangar. Il a bien du s'écouler 5 jours avant qu'on me retrouve, le mec qui m'avait agressé et retenue ici voulait tout simplement s'en prendre au MI6 et à la section où j'étais. En effet avec mon arrivée le MI6 a eu un taux de réussite qui a monté de presque 48% en même pas un an. Puis enfin... je les vis arriver, l'équipe, en premier Coralie suivi de deux autres membres de l'équipe et enfin Alejandro. Coralie resta près de lui un peu à l'écart arme pointée sur l'entrer tandis que les autres pourchassèrent le coupable. -Hey baby girl... Je suis désolé! Si j'avais été là... ça ne se serait pas passé...  J'avais froid, j'avais le visage pleins de bleu à cause des cous portés au visage pour me faire parler sans succès. -Je ne t'en veux pas... Je veux rentrer à la maison s'il te plaît... Je fus hospitalisé quelque jour, puis enfin je repris le travail. Coralie devenait de plus en plus possessive avec Alejandro et lui et moi on était toujours aussi proche... Je l'aime je l'aime tellement plus que je ne le devrais.... Je suis amoureuse de cet homme d'un amour que je n'aurais même pas imaginé. Et pourtant ça fais quelques mois que je prend mes distances, plus de surnoms ni rien... Coralie est bien contente... Après tout c'est elle qui est venue me voir en me disant -Alors la sans abris comment ça va? Je me retourna alors pour la regarder surprise -Je sais d'où tu viens, que ta mère est morte et ton père marié à une femme riche. Écoute si tu tiens à ton boulot je te conseil de reste loin de Alejandro car je peux le faire virer et toi par la même occasion. Ça serait dommage qu'alejandro soit viré à cause de toi, il est si simple de créer des preibes.... Si ce n'est que moi je m'en fiche de perdre mon boulot... Mais lui, je ne peux le concevoir.  J'essaie de faire comme-ci tout allait bien mais en ce moment on boss sur un mec qui bat des femmes pour en recevoir ce qu'il veut et les exploiter. Je ne peux m'empêcher de penser à ma mère décédée... j'ai mal et je ne le dis à personne.

→ Dans la vie, on cherche toujours à atteindre un but, quelque chose de vraiment personnel, un idéal de vie, un rêve, quelque chose qui vous rendrait heureux(se) finalement. Pour vous qu’est-ce que c’est ? J'ai tellement plus que je ne l'avais demandé. J'ai un boulôt de rêve, un super appartement. Et je suis amoureuse d'une personne exceptionnelle. Ma vie idéal? Un homme qui m'aime, un boulot au top, une maison, des enfants, un mariage... Et peut-être m'affirmer en tant que femme, il est temps de prendre soin de moi.

→ Et qu’est ce qui vous bloque en fin de compte ? Je ne sais pas... Surement la peur d'être heureuse et de tout perdre. J'ai vue ma mère mourir sous mes yeux... Comment je peux être heureuse quand je ressent un vide... Si ça se trouve LUI, pourra combler ce vide...

→ Je vois. Est-ce que vous avez des regrets ? Oui je regrette de ne pas avoir plus aidé ma mère, j'aurais peut-être pue la sauver. Je sais pas... J'arrête pas de me dire que si j'avais pris le téléphone et appeler les flics elle serait encore là, et j'aurais pas eus ce manque de présence féminine...

→ Qu’est-ce qui vous rends heureux(se) dans votre vie aujourd’hui. Une personne, une passion ? En un mot: lui
Ma passion? L'informatique.

→ Et est-ce que vous vous sentez seul parfois ? En ce moment oui puisque j'ai pris des distances avec Alejandro et donc du coup y a plus de surnom mignon, lui il me les donnes toujours mais moi je peux pas, pour le protéger...

→ Rien d’anormal je vous rassure, mais dîtes moi, qu’est ce que vous attendez des autres, qu’ils vous aiment, qu’ils vous comprennent ou qu’ils vous respectent ? Ça fait des années que je n'attend plus rien des gens, ça fait des années que j'ai laissé tomber l'idée d'être heureuse et épanouis en communauté.

→ Et qu’est ce que vous attendez de vous même ? Je ne sais pas du tout alors ça va être dur de répondre quoique ce soit.

→ Et Peut être que vous vous en demandez trop. Qu’en pense votre entourage ?Je n'ai plus de famille. Alors je ne sais pas, je suis une personne assez réservé, je ne parle pas de moi. Même Alejandro ne sais pas tout de moi, juste que j'ai 24 ans et que je viens de Paris, il ne sait rien sur mon père, ma vie dans la rue, la mort de ma mère...

→ Est ce que vous sentez soutenu(e) dans vos choix par votre famille et vos amis ? Cette réponse est assez similaire à celle du-dessus...

→ Bien, nous continuerons la semaine prochaine si vous voulez bien, n’hésitez pas à m’appeler si vous avez un souci d’horaire.