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 henry in places he shouldn't be w/ Juliet

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MessageSujet: henry in places he shouldn't be w/ Juliet   henry in places he shouldn't be w/ Juliet Icon_minitimeDim 17 Nov - 23:54

Pitoyable réellement pitoyable, et ceux après deux coupes de champagne seulement. Je deviens comme ma sœur ? Peu probable si ? Oh dear lord je deviens comme ma sœur et nage en plein déni qui plus est, quoi que techniquement le déni impliquerait que je n’ai pas conscience d’être dans le déni, ce qui ne peut donc pas s’appeler du déni vous me suivez ? Parce que moi non je crois que j’ai perdu le fil tout en parlant délibérément à une entité inexistante qui occuperait mon esprit sans doute malade et pour ce que j’en sais bien trop alcoolisé. La vie est vraiment compliquée récemment. Je reprends une coupe, et laisse mon esprit virevolter tandis qu’un ami sans doute irlandais -au vu de son accent et de sa résistance à l’alcool hautement supérieure à la mienne- me parle d’un tout nouveau médicament placebo. Je ne veux pas le vexer mais tout de même, vu les composantes ce truc j’ai l’impression d’avoir à faire à une version plus ou moins améliorée d’une de ces merdes homéopathiques auxquelles je ne crois pas du tout, un peu comme l’osthéopathie. Je pouffe alors ironiquement de rire. « Sans vouloir te vexer, je pense que ça vaut rien ton truc, aussi déstressant qu’une tisane. » Je me montre sans doute un peu trop direct et familier comparé à d’habitude, mais il ne m’en voudra pas. Je tapote un peu son épaule et ne m’épanche pas sur le sujet regardant plutôt un couple danser au loin. « J’ai envie de danser moi aussi. Pas avec vous rassurez vous, en fait il m’arrive de fréquenter cette fille... Une très jolie blonde, elle vit à Cambridge, elle s’appelle Juliet.... » Mais il m’offre un regard constipé et réellement réprobateur, comme si je lui faisais la promotion d’un moyen de relaxation tout autre. Je hausse un sourcil et ajoute. « Oh non ce n’est pas ce que vous croyez. Elle s’appelle vraiment Juliet et on est vraiment, enfin, plus ou moins ensemble, je ne vous raconterais pas des cracs Norbert, d’ailleurs mon ami Ken a un... » Je décide qu’il est tant de me taire pour la soirée. Roxanne Curtis n’a pas tout à fait tort à mon sujet, je ferais mieux de la fermer quelque fois. « Ce fut un plaisir. »

Mon cœur s’emplit d’une joie difficilement contrôlable et alors que j’avais initialement prévu de rentrer directement, m’imaginant stupidement que ma raison l’emporterait sur mon envie quasi obsessionnelle de voir ma blonde étudiante nouvellement actrice. Mais c’est toujours le même problème avec les coupes de champagne de trop. Elle me poussent à faire des choses un peu délirantes, comme faire tous les bars de Cambridge pour trouver Juliet depuis que l’envie de danser avec elle m’a pris par surprise. D’après ce site pour le moins pratique qu’est facebook, avec sa géolocalisation assez approximative, elle serait au Fez Club. Quel nom stupide pour un club d’ailleurs. C’est donc en costume cravate, que j’entre dans ce temple de la dépravation pour y arracher Juliet, ma princesse en péril pour qu’elle danse avec moi (et certainement pas sur du beyonce). Bien sur je devrais trouver une explication décente pour justifier ma présence ici un soir de semaine, légèrement alcoolisé et surtout sans l’avoir prévenue, mais je fais confiance à la créativité de mon cerveau qui ne m’a jamais vraiment lâché, même dans des situations délicates comme celle-ci. Je redresse un peu mes lunettes fronçant les sourcils pour tenter de l’apercevoir parmi les clients de cette horrible discothèque.

Après avoir désespérément questionné le barman sur la présence de ma blonde et n’avoir récolté en échange qu’un cocktail avec une dose assez conséquente de rhum mixé à ce qui semble être de la menthe et du citron si j’en crois mon esprit scientifique aiguisé, je finis par avoir une illumination en regardant des gens pas très habillés se déhancher sous mes yeux. Je lâche presque instantanément mon verre que je ne retrouvais sans doute jamais, parce qu’il aurait fallu pour ça que je sois sure de la composition et m’élance dans la direction de Juliet qui danse collée serrée avec un autre les lèvres probablement scellées aux siennes , détail que je ne remarque pas vraiment, mon cœur réagissant bien trop violemment lorsque je la vois, déclenchant dans mon système nerveux comme une impulsion bizarre qui me pousse a formuler ce joyeux nonsense. « Juliiiiiet. Avant que vous ne me questionnez sur la raison de ma présence ici, j’aimerai vous inviter à danser. J’étais à cette soirée et... » Je marque une pause tentant de formuler le fond de ma pensée de façon cohérente ce qui ne marche pas vraiment. « Je parlais d’un tout nouveau médicament, je ne m’étendrais pas sur ce que j’en pense parce que je ne suis définitivement pas là pour ça et j’ai pensé à vous, au fait que j’avais initialement prévu de rentrer avant vingt deux heures trente...Et je ne suis visiblement pas rentré à vingt deux heures trente, parce que.... Le Fez Club c’est ridicule comme nom vous en convenez, je ne pouvais pas vous laisser là, avec cette personne vraiment bizarre qui plus est, même si je ne suis au courant de son existence que depuis quelques secondes. J’imagine qu’une part de mon inconscient aurait préféré regarder la guerre des étoiles avec vous ou … Peu importe, là ou je veux en venir et vous devez probablement vous en douter, c’est que vous me manquez terriblement et que... » Mon regard se pose sur l’homme qui se montre sans doute un peu trop tactile avec ma dulcinée, même si pour de sinistres raisons nous ne pourrons pas parler de relation entre nous avant un bon moment. « Qu’est-ce que vous faîtes au juste ? » C’est une bonne question sans doute pour parler du positionnement de ses mains sur la femme que j’aime, mais en toute honnêteté je crois que ne pas savoir s’avère être une option toute à fait appréciable également. Je crois que je ne suis pas vraiment à ma place ici. Juste une impression.
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MessageSujet: Re: henry in places he shouldn't be w/ Juliet   henry in places he shouldn't be w/ Juliet Icon_minitimeMer 20 Nov - 14:23

Je n’avais pas tellement envie de sortir et puis finalement, de harcèlement en harcèlement, une fille de l’équipe avec laquelle je m’entends bien a fini par me convaincre. Elle  est née ici, connait tous les bons plans et les bons endroits de la ville, et c’est donc très naturellement qu’elle s’est improvisée chef de soirée, me promettant une soirée riche en alcool, en danse en sorties… et en rencontres. La pauvre ignore plutôt que je n’ai pas l’intention de rencontrer qui que ce soit, mais je n’ai pas oser la casser dans son délire, d’autant plus que j’ai envoyé un texto à Henry en début de soirée qui ne m’a jamais répondu. C’est donc légèrement de mauvais poil que je débarque en boîte de nuit à une heure avancée, enchainant les mojitos en tendant ma carte bleue qui a trouvé de nouvelles ressources depuis que sa propriétaire est l’actrice d’une grosse production.  J’enchaine les verres et m’installe sur un des gros canapés, le videur nous ayant installé dans un coin qu’il se plait à appeler le coin « super » VIP depuis tout à l’heure, mais où nous ne pouvons en réalité voir personne tant l’accès semble réglementé. Je finis par jeter un œil las et alcoolisé à mon téléphone portable avant de décider d’abandonner, et passe une bonne partie de la soirée à danser seule sur la table, jusqu’à mourir de soif et à devoir urgemment me rendre au bar pour supplier le barman de me donner de l’eau. Etrangement, l’alcool qui était un peu monté est déjà redescendu et je me sens plus sobre que jamais quand je me laisse tomber sur un des grands tabourets attenant au bar. Il ne faut que quelques secondes avant que quelqu’un ne rejoigne le tabouret à côté du bien. Je devrais être flattée, j’imagine, mais avec des années de pratique à Oxford, je sais ce que veulent les hommes qui viennent s’installer à côté de vous en boite, quand ils pensent que vous êtes de toute façon trop bourrée pour émettre le moindre jugement sur leur personne. J’ai toujours attiré les hommes, d’autant que je me souvienne, de tous les âges et quelles que soient les horreurs qu’ils se plaisaient à dire dans mon dos une fois le lendemain matin arrivé. Des relations plus sympathiques sont nées de rencontres furtives et purement sexuelles, mais pour la plus grande part, les hommes qui s’installent à côté de vous sans la moindre inibition veulent vous ramener chez vous dans l’idéal, chez eux dans le pire des cas, vous sauter et vous congédier le plus rapidement possible. Ma réputation ne m’a pas encore suivie à Cambridge, bien que les journalistes et étudiants d’Oxford travaillent en étroite collaboration pour révéler au monde que sous l’actrice qui joue Alice Longdubat se cache une nymphomane harceleuse. Rien de bien étonnant, mon agent lui-même, un homme charmant, vieux comme le monde, engagé lorsque j’ai appris que j’étais prise au casting, m’a informée qu’il fallait que je me prépare d’ores et déjà à subir les esclandres des journalistes dans tous les sens.

Je tourne la tête vers mon inconnu, un grand blond aux yeux clairs, très baraqué. S’il savait qu’il est l’exact opposé de l’homme qui occupe mes pensées et mon cœur en ce moment, il abandonnerait peut être, mais je ne compte pas l’en informer. Je reste droite, assise sur ma chaise à siroter mon verre d’eau qui achève de me rendre sobre quand il glisse grossièrement sa main sur ma jambe sans la moindre classe. Je relève un sourcil sceptique tandis que je l’avise et soupire un peu. « Bonsoir », me lance-t-il, d’une voix sans doute supposée suave et séductrice qui me fait sourire un peu cela dit. « Bonsoir », je réponds, en le laissant profiter de ce contact for épanouissant entre la paume de sa main et mon collant noir. « Je peux t’offrir un verre ? » Je secoue la tête. « Non, merci ».  Mais Monsieur se montre insistant et à cours d’arguments pour refuser une offre aussi… généreuse, je finis par accepter. Me revoilà partie dans la spirale de l’alcool, même s’il semble ce soir n’avoir un effet que limité sur mon organisme. Cela dit, le type en question trouve le moyen de me susurrer des choses hautement déplacées dans l’oreille qui font instantanément réagir mon corps qui a été astreint à une abstinence qui lui pèse légèrement ces derniers temps, et de verres en verres, faibles, je le laisse attraper ma main pour me trainer sur le dancefloor au milieu de tous ces gens qui n’ont attendu personne pour se mettre à danser. Il me colle contre lui, sa main droite prenant immédiatement possession de mes fesses, la gauche de mes hanches, et me fais danser une demie seconde avant de se lancer et de m’embrasser copieusement. Il me rapproche de lui, si tant est que ce soit possible, et les minutes défilent en même temps que les chansons, ayant raison du peu de résistance que j’opposais encore. Je le laisse m’embrasser, je laisse ses mains se promener le long de mon corps, je n’entends presque plus la musique autour de nous. Presque plus, jusqu’à ce qu’une toute autre interruption ne vienne perturber cette danse peu pudique – mais qui ne choquera personne dans cette boite de nuit, personne, sauf sans doute l’homme qui se tient devant moi, merveilleusement bien habillé, beau, et visiblement un peu perdu aussi. « Juliiiiiet. Avant que vous ne me questionniez sur la raison de ma présence ici, j’aimerai vous inviter à danser. J’étais à cette soirée et... » Je fronce le nez en me demandant si je ne suis pas tellement bourrée que je suis en train de rêver, mais il faut croire que non. Le type s’arrête de bouger, laissant sa main possessive autant de mes hanches que la surprise m’empêche de retirer avec véhémence. « Je parlais d’un tout nouveau médicament, je ne m’étendrais pas sur ce que j’en pense parce que je ne suis définitivement pas là pour ça et j’ai pensé à vous, au fait que j’avais initialement prévu de rentrer avant vingt deux heures trente...Et je ne suis visiblement pas rentré à vingt deux heures trente, parce que.... Le Fez Club c’est ridicule comme nom vous en convenez, je ne pouvais pas vous laisser là, avec cette personne vraiment bizarre qui plus est, même si je ne suis au courant de son existence que depuis quelques secondes. J’imagine qu’une part de mon inconscient aurait préféré regarder la guerre des étoiles avec vous ou … Peu importe, là ou je veux en venir et vous devez probablement vous en douter, c’est que vous me manquez terriblement et que... » Mon cœur accélère sa course dans ma cage thoracique quand je réalise qu’il est là pour moi, qu’il est venu ce soir pour moi. Je lui manque terriblement, et ces paroles là sont prononcées, je ne suis pas en train de les rêver. Je fronce un peu le nez tandis que je sens l’homme à côté de moi qui se crispe, sa main refermant sa prise autour de ma hanche. Henry lui, détache son regard de moi pour aviser l’autre, visiblement nettement moins contente de le voir lui. Je me demande l’espace d’un instant si la situation peut éventuellement dégénérer et réalise que je me trouve finalement dans une situation assez étrange. Mon cœur se serre, j’espère qu’Henry ne m’en veut pas, et en même temps le pauvre type qui me fait danser avec l’espoir évident qu’il va dormir dans mon lit ce soir me semble être soudainement en bien mauvaise posture également.  « Qu’est-ce que vous faîtes au juste ? » Je me mords la lèvre et retire très délicatement la main de mon compagnon de la soirée de ma hanche. « Henry, mais qu’est-ce que vous faites ici ? » je demande en haussant le ton, tandis que l’autre tente désespérément de savoir ce qu’il est en train de se passer en me tirant par le bras. Je me dégage et tente de lui expliquer d’un regard désolé, qui ne semble pas vraiment prendre. Bien, très bien, heureusement que la situation ne peut pas être compliqué. Je regarde le type, puis Henry de nouveau, prise entre les deux comme une idiote. Ma main s’empare cela dit de celle d’Henry et j’attire son regard à moi, de nouveau, la joie de le voir ici un soir de semaine me faisant oublier tout le reste. « Sortons d’ici », je suggère en serrant sa main, abandonnant quand même au pauvre type un baiser sur la joue d’une modestie pitoyable.

Mais Henry refuse de me suivre et reste planté là, face au blondinet qui visiblement réclame des explications plus ou moins explicites de la situation. Je ne comptais pas lui en donner, mais Henry lui par contre semble y tenir particulièrement. « Je ne suis pas son frère, on est... » Il m’attire contre lui, et ses lèvres embrassent les miennes avec une ardeur et une passion que je ne lui ai jamais connu. Je presse mon corps et mon cœur contre les siens, entourant son cou de mes bras pour répondre à son baiser avec la même envie, ne me détachant que quand lui-même s’y décide pour aviser de nouveau l’objet évident de sa jalousie – quelque chose dans le genre.  « Vraiment dérangés. Mais mon timing est parfait. Vous avez raison sortons d’ici. » Je le fixe, éberluée, incapable de comprendre ou plutôt d’appréhender ce qu’il est en train de se passer, mais quand Henry m’entraine je ne me laisse pas prier, envoyant un sourire d’excuse au pauvre type que je plante tout seul sur la piste de danse. Je rattrape Henry et me colle contre lui pour le laisser m’entrainer dehors, plantant même mon amie toute seule à l’intérieur de la boite. « Je n’arrive pas à croire que vous êtes là », je lance une fois dehors, un sourire radieux accroché aux lèvres. « Il faut croire que je suis d’humeur téméraire et passionnée ce soir Juliet. » Je ris, lui s’approche et joue avec mes cheveux. « Je n’allais pas vous laisser passer la nuit au...  Fez Club, alors qu’on avait l’extrême chance de se trouver dans la même ville, ce qui n’arrive pas si souvent. » De nouveau, je laisse échapper un rire, puis une exclamation quand il me fait tourner sur moi-même. Je me mords la lèvre quand il me ramène à lui, plongeant mon regard émerveillé dans le sien. Il est là, je ne suis pas en train de rêver, Henry Howard est venu pour moi, Henry Howard m’aime même s’il ne le dit pas.  « Théoriquement j’étais censé rentrer juste après, je ne voulais pas vous le dire pour ne pas vous décevoir, mais... » Je hoche la tête et l’écoute avec attention poursuivre : « Ce n’est pas parce que je ne peux pas tout le temps vous arracher à vos occupations que je ne dois pas le faire quand j’en ai l’occasion. Vous êtes radieuse Juliet, j’ai déjà du vous le dire. » Je me presse contre lui et embrasse ses lèvres avec tendresse et passion. « Je ne sais pas, mais vous pouvez continuer à me le dire ça ne me dérange pas », je murmure and entremêlant nos doigts. « Je suis tellement contente de vous voir, merci Henry, merci d’être venu ». Je pose ma tête contre son épaule et garde sa main, amoureuse. « Vous voulez danser ? » Il détourne son regard de moi un instant avant de répliquer : « Je suis venu pour ça... » Je fronce le nez et secoue la tête. « Vous êtes venu pour moi », je corrige en le poussant légèrement, reprenant aussitôt possession de sa main. « Allons danser alors, mais pas ici », je lance en l’entrainant avec moi. « Je ne sais absolument pas où, mais pas ici ». Je ricane de nouveau, mon cœur bat tellement vite que j’ai l’impression que ma cage thoracique va exploser. « Où est-ce que vous allez dormir, Henry ? » je demande soudain, un peu inquiète et très fortement concernée. « A Londres, d’ici... » Je fronce le nez et secoue la tête pour tenter de le contredire mais ça ne fonctionne visiblement pas, il poursuit trop vite et je me sens un peu comme Cendrillon que l’on arrache à son carrosse. « Peu de temps. » Il me fait encore une fois tourner sur moi-même et j’attrape son col en revenant vers lui, la mine confite soudain. « J’aimerai pouvoir vous emmener avec moi. » Un sourire se forme de nouveau sur mes lèvres et je penche la tête sur le côté. « Emmenez-moi alors », je réplique en riant – encore – et en haussant une épaule. Il me serre contre lui et j’inspire son odeur, embrassant son cou avec tendresse. Il ne résiste même pas une seule seconde, ce qui m’arrache un sourire ravi.  « Je vous payerai le ticket de retour demain matin, c’est pas votre faute cette fois c’est moi qui avait envie de vous voir. » Je ris un peu et dépose un baiser furtif sur ses lèvres en serrant sa main. « Ce n’est pas comme si je n’avais pas envie de vous voir aussi, cela dit », je note sans me départir de mon sourire. Je me colle contre lui, appelant le contact de ses bras, profitant de l’instant pour le graver suffisamment longtemps dans ma mémoire, pour les jours plus vides de lui.


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