| | NEM - how to get away with ... pretty much everything | |
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| Sujet: NEM - how to get away with ... pretty much everything Sam 20 Juin - 23:39 | |
| Je me présente, je m'appelle Nicolas Emmanuel Montravers, 37 ans. Je suis né(e) le jour mois année, à Paris (France) et j'habite à Londres, dans le très particulier quartier de Kensington. Je suis par ailleurs hétérosexuel, et puisque la question vous brûle les lèvres, je suis malheureusement célibataire. Que vous dire de plus si ce n'est que dans la vie je suis actuellement avocat aux barreaux de Londres & Paris et que mon rêve le plus fou serait de idk, j'aime ma vie comme elle est en fait, donc juste être en bonne santé et continuer à mener mon travail avec succès. Oh, par contre, il y a ce léger détail que vous devez savoir sur moi, je suis le meilleur dans tout ce que j'entreprends (sauf pour la monogamie et les relations avec les femmes en général, autres que sexuelles, bien entendu) et la modestie n'est pas vraiment mon fort . Voilà, c'est tout pour l'instant. And by the way, nice to meet you! | travel card ▬ feat. charlie weber « Imagination is the golden-eyed monster that never sleeps. It must be fed; it cannot be ignored. » |
Si on le lui demandait, Nicolas dirait qu’il avait choisi de suivre des cours de droit à Assas parce qu’il s’agissait là de sa vocation. Il dirait qu’il avait toujours su qu’il voulait devenir un avocat pénaliste et affairiste, et cela depuis sa plus tendre enfance. Il dirait que le droit était sa passion, qu’il s’était amusé à lire le code pénal et qu’il le connaissait par coeur depuis son adolescence. La vérité était tout autre, beaucoup plus banale. Alors qu’il était en terminal, Nicolas savait qu’il devait prendre une décision pour son futur. Oui, passer du temps avec des femmes était un loisir certes plaisant, mais cela ne lui ferait pas gagner sa vie. Et ambitieux comme il était, il y avait plusieurs choix qui s’offraient à lui : la médecine, la politique ou le droit. Alors il fit une liste de pours et de contres. Nicolas avait passé son enfance entre Londres et Paris. Si son oncle était français, sa tante était anglaise. Ayant perdu ses parents lorsqu’il était enfant, il avait été placé auprès de son oncle, qui l’avait accepté un peu à contre cœur, simplement pour ne pas le laisser à la rue – il s’agissait du fils de son frère, après tout. Mais autant dire qu’il était plus laissé livré à lui-même et qu’il avait pris pour habitude de flâner dans les rues de Paris ou de Londres, en fonction de l’emploi du temps de son oncle et de ses projets. Alors oui, avoir un emploi qu’il pourrait exercer dans les deux villes de son cœur faisait clairement partie intégrante de sa liste des pours. Comme il se voyait très mal travailler dans deux hôpitaux différents et que, pour la politique, il fallait au contraire rester au même endroit pour tracer son chemin, son choix se porta donc sur le droit. Forcément, vu ses résultats scolaires excellents, Nicolas fut accepté à Assas sans grandes difficultés. Le rythme de la fac fut tout de même difficile à prendre. Si son oncle n’était pas une personne vraiment présente dans sa vie et qu’il s’était toujours montré autonome, il y avait toujours l’ombre des représailles de ses professeurs ou de son directeur d’école qui planait en cas d’absences répétées ou de mauvaises notes. Mais à la fac, il était entièrement libre de faire ce qu’il voulait. Et malheureusement, Nicolas voulait beaucoup de choses qui n’étaient finalement pas vraiment en lien avec sa scolarité. Sa plus grosse faiblesse était très certainement les corps très avantageux de ses camarades de promo – ou simplement des autres étudiantes de l’université. A chaque décolletée – un peu trop plongeant ou non – qu’il croisait, c’était comme si son cerveau refusait de fonctionner correctement. Autant dire qu’avec cette nouvelle liberté estudiantine, Nicolas se ramassa amèrement et avec fracas lors de son premier semestre. Lui qui s’était toujours montré très studieux, et avait toujours été premier de sa classe, vécu très péniblement cet échec cuisant et s’en relever fut très laborieux. Mais il y parvint, bien entendu. Ses notes remontèrent en flèche durant les deux années et demie suivantes, au point qu’il fut accepté à Oxford pour y faire son master. Parce que oui, son objectif était resté le même : pouvoir travailler dans le futur dans les deux villes qu’il aimait et y pratiquer son métier. Il dut encore redoubler d’efforts pour ne pas se mélanger les pinceaux entre le droit français, qui est un droit codifié et le droit anglais, qui est quant à lui jurisprudentiel. Mais Nicolas n’avait jamais été le genre d’homme à se laisser abattre. Perfectionniste et passionné par ce qu’il faisait, il devint même major de sa promo. A la fin de son master, Nicolas repartit pour Paris pour y obtenir le barreau, avant de retourner en Angleterre pour l’obtenir aussi. *** Nicolas avait enfin réussi à prendre un rendez-vous avec son médecin traitant. Enfin, surtout, il avait enfin réussi à y aller réellement, sans devoir annuler à la dernière minute. Ces dernières années, l’avocat parcourait les quatre coins du globe pour défendre la crème de la crème des clients. Avocat pénaliste et affairiste, il vivait un conte de fée, et avait la vie de rêve que tous les avocats voudrait un jour obtenir. Que lui, d’ailleurs, avait toujours souhaité avoir. Il avait des filières un peu partout dans le monde. Ses principales restaient ses cabinets londonien et parisien, bien entendu, après tout, malgré les années qui étaient passées, Nicolas était toujours autant attaché à ces deux villes. Mais mois après mois, réussites après réussites, il avait ouvert de nouveaux cabinets. A New York, d’abord. Puis rapidement, il avait été demandé à Los Angeles par le PDG lui-même d’une grande entreprise. San Francisco avait suivi, puis Tokyo, Pekin, et d’autres villes encore. Sa vie ne se résumait plus qu’à des dossiers qu’il travaillait dans un jet privé sur le trajet. Il défendait ensuite son client, avant de célébrer sa victoire à l’aide d’alcool, de fêtes et de bras de jolies demoiselles qu’il rencontrait un peu partout. Nicolas était connu dans son métier, il s’était fait un nom. Comment pourrait-il en être autrement, alors qu’il ne cessait de réussir tout ce qu’il entreprenait ? Le téléphone de ses assistantes n’arrêtait de sonner et il se faisait une joie de sélectionner avec minutie chacun de ses clients. Polyglotte et expert en droit pénal et des affaires, il relevait chaque nouveau défi avec un immense sourire au visage, avant de potasser ses livres de droit. Peut-être était-ce aussi ce qu’il aimait : apprendre tous les jours de nouvelles choses, se spécialiser un peu plus chaque jour dans son domaine, connaître toutes les différences en matière de droit dans chaque pays – ou Etat, en fonction – où il mettait les pieds. Entre tellement d’autres choses, bien entendu. Le succès, la reconnaissance, l’argent, la chair des femmes qu’il rencontrait, les fêtes. Tout ceci combinés ensemble faisait qu’il avait une vie de rêve, une vie qu’il considérait comme étant parfaite. Autant dire que placer un rendez-vous chez le médecin dans son emploi du temps digne d’un Ministre se révélait être bien plus compliqué qu’il n’y paraissait. De toute façon, Nicolas n’était jamais malade. Il ne pouvait pas se le permettre, c’était aussi simple que ça. Jamais de rhume, encore moins de grippe, il avait une santé de fer. Alors son médecin traitant ne lui faisait qu’un bilan complet à chaque fois que Nicolas prenait un peu de temps pour le voir. Mais ce jour-là, il vit son médecin froncer des sourcils en le regardant. Ou plutôt en détaillant une partie de son anatomie. Un simple grain de beauté, qui n’avait – selon lui – pas une belle tête. Mais Nicolas ne s’en inquiéta pas plus que ça : ce n’était qu’un grain de beauté, après tout, qu’est-ce que cela pourrait bien impliquer ? Alors malgré les recommandations de son médecin de faire des analyses supplémentaires, l’avocat repartit à New York pour un procès. Puis il fit un détour par Los Angeles, et ses magnifiques plages. Bref, il se plut à profiter de sa vie, tout simplement, et de la mener telle qu’il l’avait toujours voulue. Ce ne fut que huit mois plus tard qu’il prit enfin le temps de faire analyser son grain de beauté par une dermatologiste. Avant de repartir pour Paris, puis Tokyo, comme à chaque fois. Il manqua les appels de sa dermatologiste, avant de voir un soir son médecin sur le pas de sa porte. Celui-ci avait appelé sa nouvelle assistante – la dernière avait été virée, elle n’était pas si bonne que ça finalement, dans tous les sens du terme – qui lui avait confirmé qu’il était bien à Londres en ce moment. Nicolas ne put s’empêcher de déglutir lentement en le voyant, l’air grave. Et l’annonce passa mal, forcément. Surtout lorsque celui-ci lui dit qu’il allait devoir s’arrêter de mener le train de vie qu’il vivait. Qu’il allait devoir se poser, suivre un traitement chimiothérapique, prendre du temps pour lui. *** Nicolas passait le peigne dans ses cheveux, avant de grimacer face au reflet qu’il renvoyait dans le miroir. Les premières semaines étaient les plus difficiles d’après son médecin, mais il avait bon espoir que son cancer ne soit bientôt plus qu’un mauvais souvenir. Pourtant, Nicolas se voyait dépérir jour après jour. Ses nausées se montraient de plus en plus fréquentes et violentes, au point qu’il était obligé de dormir avec une bassine à ses côtés, juste au cas où qu’il se réveillerait en plein milieu de la nuit pour régurgiter le peu qu’il avait réussi à manger. Il voyait ses cheveux – ses si beaux cheveux, auxquels aucune femme n’arrivait à résister d’y passer ses doigts – tomber à chaque fois qu’il se coiffait, et il ne parlerait même pas de sa pilosité qui avait pourtant fait sa fierté pendant de nombreuses années. Et pire encore, l’avocat se voyait dans l’incapacité à travailler. Il n’avait plus envie de rien, à part dormir dans son canapé, devant de vieilles rediffusions qui passaient à la télévision. Il avait dû se rendre à l’évidence et annuler tous ses rendez-vous avec ses clients. De toute façon, s’il s’en sortait – car oui, il avait tendance à être un peu négationniste ces derniers temps et à imaginer que la moindre douleur allait causer sa perte définitivement – il devrait probablement améliorer son style de vie. Il ne savait pas exactement comment, ni ce qu’il ferait. Il avait amassé assez d’argent pour vivre tranquillement pendant plusieurs dizaines d’années. Une nouvelle grimace étira ses – pourtant encore si beaux – traits à cette pensée. Ne rien faire de sa vie. Il lâcha un ricanement qui se transforma rapidement en toux, puis en gémissement plaintif, comme qu’il sentait déjà les hauts le cœur lui retourner l’estomac. Il jeta un nouveau regard à son reflet, avant de grimacer. Il avait maigri. Probablement trop. Finalement, ce n’était pas si étonnant que ça, vu le peu qu’il arrivait à ingurgiter. Lui qui était pourtant si bon vivant. Lui qui aimait toutes les spécialités culinaires de chaque pays où il posait valises pour quelques jours. Lui qui n’hésitait pas à claquer des fortunes pour diner dans les meilleurs restaurants du monde. Il se retrouvait incapable de manger les plats qu’il se faisait livrer. Entendant son téléphone sonner, il tituba jusqu’au salon, avant de s’avachir dans le canapé pour y répondre. Bart. Problème. Avait besoin de lui. Il soupira longuement, avant de dire qu’il verrait ce qu’il pourrait faire. Bart était le seul de ses clients qui était au courant pour son cancer. S’il avait laissé sa dernière assistante en date – oui, il avait une nouvelle fois virée la précédente, qui n’était donc restée que deux mois – laisser tomber ses autres clients, il s’était douté que Bart n’accepterait pas un simple « problème personnel » comme excuse. Alors il était allé le voir et lui avait expliqué la situation. Non sans faillir à le regarder dans les yeux. L’homme avait refusé qu’il arrête, malgré son traitement et les contraintes qui allaient venir avec. Pourtant, peut-être qu’il devrait aussi arrêter de travailler pour lui. Peut-être que tout ce stress n’était définitivement pas bon pour sa santé. Toute cette vie de débauche, remplie d’alcool, de drogues en tout genre. Bon sang, il avait même perdu l’habitude de se protéger en couchant avec des inconnues. Ce qu’il pouvait être stupide. Pour autant, cela ne l’empêcha pas de jeter un coup d’œil à son paquet de cigarettes posée sur sa table basse. Puis il grimaça à nouveau, à la simple idée, avant de s’allonger un peu plus confortablement sur son canapé, et d’allumer la télévision. Oh, une nouvelle rediffusion d’un épisode de Columbo … Il soupira, avant de lamentablement s’endormir. Ce fut cette fois-ci sa sonnette d’entrée qui le réveilla, en sursaut. Se relevant brusquement, il serra la mâchoire en sentant sa vision s’obscurcir et la pièce tourner. Il déglutit lentement, avant de rejoindre la porte d’entrée non sans mal. Bart. Sérieusement ? Il bascula la tête en arrière, toujours dans ce gémissement plaintif, avant de le laisser entrer. Et tout ce qu’il savait, c’était que le lendemain-même, il vit du personnel s’affairer autour de ses affaires, les mettre dans des valises, avant d’être escorté dans la demeure de son client. Oui, apparemment, Bart n’acceptait pas vraiment non comme réponse. ─ pseudo/prénom: Golden`Lies - Laure ─ âge: 23 ans ─ fréquence de connexion: C'est pour ce genre de questions qu'avoir un avocat comme personnage est une bonne chose. ─ comment avez-vous découvert ticket to ride et qu'en pensez-vous ? Un jour pas si lointain, je finissais mes cours et avais deux semaines de vacances. Pour célébrer cela, et parce que j'en avais très envie, j'ai cherché un forum où je pourrais déposer mes valises. Après avoir fait probablement toutes les publicités bazzart à la recherche du forum parfait (ou top site, je m'en rappelle plus, en vrai, vous savez, je vieillis et ma mémoire n'est plus aussi bonne qu'elle a pu l'être par le passé) je suis arrivée ici. J'ai découvert un pévario magnifique et il n'a suffit que d'une petite question (très très très courte, bien sûr, vous me connaissez voyons) dans la partie invités pour que mon coeur ne soit charmé par les petits TTRiens, ces habitants fantastiques de Ticket To Ride. Mon coeur a ensuite été volé par de nouvelles personnes et deux autres personnages (plus deux autres personnages sur un autre forum, mais la moitié des membres y sont aussi) et me revoilà à nouveau, avec un quatrième personnage pour lequel j'avais pourtant fait de la pub sur Bazzart, en espérant qu'il soit pris par quelqu'un d'autre. Ce fut après une heure passée sur la cb en la très charmante compagnie d'une Charlotte ayant ses règles et qui n'acceptait pas le très faible non que je lui disais, que ma décision fut prise. (étant donné la faible qualité qu'aura cette fiche, /me a décidé de se lâcher sur cette partie, parce qu'il n'y avait plus personne sur la cb, qu'il était un peu trop tard pour rp (et qu'elle n'avait pas réussi à rp de la journée) et qu'elle s'ennuyait. /me vous aime et vous keur (spécial dédi à toi Billie, love) et arrête ici ce pavé parfaitement inutile, en pensant qu'elle aurait finalement mieux fait de rp ce jour-là) (à savoir que l'absence de smiley est bien sûr fait exprès, c'était histoire de changer un peu et de rajouter un peu de sérieux /me aime n'utiliser aucun smiley d'un coup, ça a son effet de surprise et /me trouve ça cool) ─ inventé ou pévario ? pévario que Cha m'a vendu, obviously ─ code: auto-validation du code par moi-même, car j'en ai envie et que j'ai pas envie d'embêter une admin pour qu'elle édite ma fiche alors que je peux le faire moi-même comme une grande personne ─ crédits : tumblr | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Sam 20 Juin - 23:57 | |
| t'es canon |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 0:10 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 0:16 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 8:21 | |
| /me te face |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 9:07 | |
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OMG OMG OMG. (C'nul que tu sois hétéro, je t'aurais bien fait goûté aux plaisirs masculins, moi. ) NAON MAIS C'TROP COOL. La belle surprise du matin. (Enfin j'ai deux, puisque j'ai un nouveau RP d'ouvert avec Dexter. But, t'es la deuxième surprise du matin, cey cool aussi non ? ) Bref, je ne peux que valider ce choix, évidemment. Bon courage pour ta fichette et je crois que t'es chez toi ici alors welcome home sweetie. Hâte de lire la fichette tout ça tout ça.
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 9:44 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 11:23 | |
| D'où le "Even if it would be strange " (Faaaaaaut ! I mean, les pauvres, la majorité de la population masculine de TTR est gay ) J'ai bugué en lisant ta phrase, et j'ai failli recracher mon café Thanks, you're cute (but j'ai décidé de bâcler cette fiche, tho c'était dans les termes du contrat passé avec Cha, on a inscrit ça dans les conditions générales de vente ) |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 14:18 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 14:29 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 14:30 | |
| Connor couche avec tout le monde |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 14:35 | |
| Et il aime tellement mais tellement ça (usually but no one can blaim him for Dex ) |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 14:50 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 16:02 | |
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EUKAY, on se calme là. Je vais finir par mettre une pancarte sur le cul de monsieur Dexter parce que J'AI décidé que c'était mon MIEN. (Quoi comment ça il faudrait demander l'avis de l'intéressé ? Non, faut pas. C'tout, c'est comme ça. ) N'empêche, je suis le RP de près et j'avoue que ça doit être chelou de coucher avec la réplique parfaite d'un mec qu'on a vu crever. :hum: (/me arrête de flooder pour dire de la merde et s'en va goûter. )
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 16:18 | |
| Thaaaanks Ahlem Connor va s'attacher à lui tho normalement sauf s'ils se revoient pas (et t'as raison, FAUT JAMAIS DEMANDER ) Et Connor me fait te dire que, oui, ça l'est lui qui n'a jamais dû se forcer, même avec des clients peu ragoûtants il est dégoûté, car Dex is so hot (/me pense que le flood c'est le bien /me pense que ça lui accorde en plus une pause dans l'écriture de sa fiche mais /me te souhaite un bon goûter quand même ) |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 17:49 | |
| J'adore tes initiales |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything Dim 21 Juin - 20:14 | |
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| Sujet: Re: NEM - how to get away with ... pretty much everything | |
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